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Consommation à travers la mode

Publié le 14/11/2013

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La consommation à travers la mode : nécessité ou plaisir ? Pour débuter, nous pouvons définir la consommation comme l'utilisation de biens et de ressources dont on ne peut se servir qu'en les détruisant ou en les transformant : pour la satisfaction des besoins ou des désirs (consommation finale) ou alors pour la réalisation d'autres produits ou services dans les entreprises (consommation intermédiaire). Dans notre cas, c'est la consommation finale qui nous intéresse et plus particulièrement la consommation vestimentaire. La mode vestimentaire quand à elle désigne la manière de se vêtir, conformément au goût d'une époque dans une région donnée. C'est un phénomène impliquant le collectif via la société, le regard qu'elle renvoie, les codes qu'elle impose et le goût individuel. Tout le monde consomme des vêtements dans un but principal : s'habiller. Mais ce comportement peut différer selon les personnes et surtout devenir une addiction. C'est souvent le cas des jeunes. À l’adolescence, le jeune recherche une nouvelle identité car il cherche à rompre les liens de dépendance à ses parents. Nous verrons comment au travers de sa consommation vestimentaire, il s’identifie à d’autres modèles en même temps qu’il revendique son individualité. Il affirme sa position dans la société, position donnée par son âge, sa place au sein de sa famille, son statut d’élève, son identité sexuelle et ses gouts personnels (sportif, passionné de musique ou autre activité extra-scolaire...). Nous voulons donc savoir si la consommation vestimentaire des moins de 25 ans est une nécessité ou un plaisir. La nécessité à un caractère obligatoire, c'est ce sont dont on ne peut se passer tandis que le plaisir est un état d...

« ne peut se passer tandis que le plaisir est un état de contentement que crée chez quelqu'un la satisfaction d'une tendance, d'un besoin, d'un désir.

Le déclencheur de l'achat est souvent le besoin ou le désir c'est là que cela devient une nécessité, mais le shopping peut être aussi considéré comme un loisir à part entière ou comme un moyen de compenser une frustration ce qui s'apparente au plaisir.

Le lieu d'acquisition des vêtements est décidé en fonction de la stratégie d'image-mode (rappeur, skateur, cool, punk...) et de la stratégie budgétaire des boutiques.

Je pense donc que des boutiques telles que H&M ou Zara remportent de nombreux suffrages en combinant une offre mode variée et actualisée régulièrement, et des prix accessibles pour la catégorie qui nous intéresse c'est à dire les jeunes.

Pour ceux qui optent pour une stratégie de différenciation, ils iront dans les boutiques adéquates en fonction de leurs styles et de leurs revenus (Abercrombie, QuickSilver...).

Cela souligne que la mode est avant tout une manière de façonner son identité. Par ailleurs, la connaissance des vendeurs est un élément de fidélisation, leurs conseils sont souvent appréciés pour leur justesse et leur authenticité, et la relation avec les vendeurs est de mon point de vue très importante.

Il existe de nombreuses enseignes avec des stratégies différentes mais elles ne sont plus seules... Internet est, depuis quelques années, apparu comme un nouveau moyen d'achat vestimentaire, on peut principalement le justifier par sa facilité d'accès.

Tout ces modes de consommation différents incitent de plus en plus les jeunes à acheter des vêtements car c'est fréquent de voir une publicité à la TV pour un vêtement ou un accessoire, de passer devant une vitrine, de voir une promotion sur internet... On sait d'après des enquêtes que les jeunes qui effectuent des achats dans ces enseignes cités précédemment (H&M, Zara) y vont une à quatre fois par mois pour un panier d'achat variant de 50 à 100 euros.

Ainsi le budget consacré à l'habillement rien que dans ces enseignes est conséquent pour ces étudiants ou jeunes actifs.

Ces pratiques de consommation frénétique me poussent à comparer ces magasins à des supermarché, car le fort. »

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