5 résultats pour "1165"
- Paris sous 1165 - 1223: Philippe Auguste.
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PHILIPPE II AUGUSTE
(21 août 1165-14 juillet 1223)
Roi de France (1180-1223)
Fils de Louis VII et d'Adèle de Champagne, Philippe vient d'avoir
quinze ans lorsqu'il monte sur le trône.
musulman Saladin. Malgré les forces engagées, le seul véritable succès des croisés est la prise de Saint-Jean-d’Acre , après un siège pénible et interminable. Philippe Auguste, malade d’une sorte de typhoïde, rentre en France. Il laisse Richard sur place. A-t-il déjà en tête d’envahir la Normandie ? C’est ce qu’il fait en apprenant que Richard, après quatorze mois passés en Terre sainte, a été capturé sur la route du retour par le duc d’Autriche (1193), puis livré à l’empereur de Germanie. Rich...
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PHILIPPE II AUGUSTE
(21 août 1165-14 juillet 1223) Roi de France (118O-1223)
Fils de Louis VII et d'Adèle de Champagne, Philippe vient d'avoir quinze ans, lorsqu'il monte sur le trône.
une cohue mais une véritable armée qui s’embarque pour délivrer Jérusalem de l’emprise du musulman Saladin. Malgré les forces engagées, le seul véritable succès des croisés est la prise de Saint-Jean-d’Acre, après un siège pénible et interminable (1191). Philippe Auguste, malade d’une sorte de typhoïde, rentre en France. Il laisse Richard sur place. A-t-il déjà en tête d’envahir la Normandie ? C’est ce qu’il fait en apprenant que Richard, après quatorze mois passés en Terre sainte, a été capturé...
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v. 1140 T . L. F.
1149 L évy
v. 1150 F
v. 1 165 F . E . W . Le R om an d e T hè be s mil. XII e F . E . W . et d ern ie r q ua rt XII e ; v . 1160 (e n d éca sylla be s) Lévy v. 1 185 T . L . F . Le R om an d ’A le xa nd re XII e F . E . W . 1160 L évy pre m iè re r é dactio n d u Monia ge G uilla um e XII e F . E . W . 1185 L évy se co nd e r é dactio n d u Monia ge G uilla um e 1150 (F . E . W .) → 1140 (P èle rin a ge d e C ha rle m agne ) → 1144 (C ha rro i d e N îm es) 1153 L évy; 1 145-1...
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commentaire d'arrêt civ 1 ère 30 avril 2009 (droit)
telle cession ne pouvait avoir effet à l'égard du créancier qui n'y avait pas consenti ». Cette solution présente un double intérêt. Elle révèle, d'abord, qu'en dépit d'une forte opposition doctrinale, la Cour de cassation ne semble pas hostile à l'admission de la cession de dette (I) et livre, ensuite, l'un des principaux traits de régime de la figure : l'opération ne peut déployer ses effets sans l'accord du créancier (II) I -La reconnaissance implicite de la validité de la cession de...