Résultats pour "nous"
- Avons-nous à nous respecter nous-même ?
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«Quand nous nous tournons vers nous-même, nous nous détournons de la vérité.
Palumbo Lola 6A ci-dessus que semble se livrer Descartes dans les Méditations métaphysiques. En effet, dans ce texte, Descartes s'emploie, par la méthode du doute, à rechercher la vérité et ses critères de distinction. Or, la première vérité qui résiste au doute est la proposition « je pense donc je suis ». La propriété de cette vérité est selon Descartes l'évidence, et les propriétés de l'évidence sont pour lui la clarté et la distinction. Dès lors, une idée sera vrai si elle se donn...
- Lorsque nous évoquons le passé, nous affirmons sans hésiter que nos souvenirs sont vrais. Pourquoi nous fions-nous à notre mémoire ? Avons-nous raison de nous y fier ?
- Nous nous saluons, mais nous ne nous parlons pas.
- Nous oublions fatalement De nous payer ce que nous nous devons.
- VOLTAIRE : Nous nous saluons, mais nous ne nous parlons pas. Commentaire.
- Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être.
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La morale nous enseigne, non pas comment nous devons nous
rendre heureux, mais comment nous devons nous rendre dignes du bonheur ?
Cette dernière proposition, notons-le d'abord, n'est pas très heureusement formulée, car, prise hors ducontexte, elle risque d'être interprétée à contresens :elle pourrait faire croire, en effet, que nous pouvonsrester centrés sur le bonheur par rapport auquel tout le reste ne serait que moyen. alors que comme on l'a vu,c'est tout le contraire que KANT affirme : il n'y a qu'une fin morale,' la vertu qui consiste dans la fidélité à là loi pour la loi elle-même; .cette fidélité nous rend...
- Nous lutterons en avant de Paris, nous lutterons en arrière de Paris, nous nous enfermerons dans une de nos provinces et, si nous en sommes chassés, nous irons en Afrique du Nord, et, au besoin, dans nos possessions d’Amérique.
- Sommes-nous ce que nous sommes ou ce que nous paraissons ?
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Sommes-nous conscients ou avons-nous à nous rendre conscients ?
seulement à nous par l'intermédiaire de nos sens. Tous les objets de ce monde, tout ce qui le compose, lesévénements, les personnes, les choses, etc., sont construits par le langage. Le verbe n'est pas miroir, il estcréateur. Une fleur, par exemple, n'est pas un objet en soi, existant par elle-même, indépendamment du regard quise pose sur elle et que la vue ne ferait que découvrir. Deux individus ayant les mêmes yeux verront deux fleursdifférentes: si l'un est botaniste, il y dist...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
impatience ou légèreté d'esprit, au lieu de prendre le temps de considérer avec clarté, distinction et évidence, lesdonnées du problème qu'il faut juger. La découverte de la vérité està la portée de tous, puisque nous disposons tous du même instrument universel qu'est la raison, mais il convient des'y employer avec patience et persévérance. Nous devrions nous fier à la seule lumière naturelle ou intuitus mentis,et nous méfier plus souvent de nos instincts ou impulsions naturelles qui, si elles v...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
porter des jugements sans limites. En revanche notre entendement est fini. En ce sens, l'erreur provient de la méconnaissance ou de l'infraction aux règles prescrites par Descartes. Mais au fond, il n'y a pas là matière à problème ! Cependant : La formulation « se tromper » au sens de « faire erreur » mérite notre attention. La construction du verbe n'est pas anodine. « Se tromper » : verbe pronominal et intransitif. Quand je fais erreur, c'est moi qui me trompe ! Je suis responsable de...
- Sujet : Sommes nous conscient ou avons-nous à nous rendre conscient ?
- Sujet : Sommes nous conscient ou avons-nous à nous rendre conscient ?
- Dissertation: Sommes nous conscient ou avons-nous à nous rendre conscient ?
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sommes nous conscients ou avons nous à nous rendre conscient ?
On peut en quelques sortes dire que la conscience est innée, car c’est notre cerveau qui la développe, qui permet de la mettre en forme. En effet, notre cerveau est différent de celui des animaux, si l’on élève un animal, comme on élèverait un humain, on n’obtiendra pas le même résultat. L’animal n’aura pas conscience de lui, ne sera pas capable de parler. La conscience semble alors être une qualité, une donnée que tous les Hommes ont en eux. Mais n’est-il pas possible que l’Homme ne po...
- et si nous nous apercevons que les autres nous sont inférieurs à cet égard, nous n'en éprouverons aucun plaisir, nous le déplorerons plutôt et formerons le souhait sincère que tous puissent nous ressembler.
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KANT: « La morale n’est pas à proprement parler la doctrine qui nous enseigne comment nous devons nous rendre heureux, mais comment nous devons nous rendre dignes du bonheur. »
SUJETS GÉ:'iÉIL\UX ré3.lise pa5 cette nécessaire conjonction de la vertu et du bonheur (1) que l'auteur de la critique conclut à l'existence, au-dessus de la nature, d'un être qui assurera cette conjonction indispensable pour assurer la cohé rence rationnelle de la morale; l'existence de Dieu est un postulat de la rai;,on pratique, et elle est exigée pour garantir le bonheur aux vertueux_ On ne peut donc pas reprocher à Knr de fair...
- sort peut être naturellement mêlé, et par des actions que nous-mêmes serions peut-être capables de commettre, si bien que nous ne pourrions accuser personne d'injustice envers nous : alors nous nous sentons tout frémissants et nous nous croyons déjà au milieu des supplices de l'enfer.
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Si nous faisons ce que nous voulons, sommes-nous libres ?
C’est donc pour cela que l’homme se croit libre mais qu’au contraire rien ne dépend de lui mais seulement d’une action extérieure dont l’homme n’en a pasconscience. Pour Spinoza, la volonté du sujet n’est qu’illusion dans le fait qu’il peut être libre. Pour reprendre cette idée, Spinoza dira donc que : "Leshommes, donc, se trompent en ce qu'ils pensent être libres ; et cette opinion consiste uniquement pour eux à être conscients de leurs actions et ignorantsdes causes par lesquelles ils sont dét...
- Sommes-nous séparés du réel par les représentations que nous nous en faisons ?
- Pourquoi nous trompons nous ?
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l'art peut-il nous servir à mieux nous connaître nous-mêmes ?
Transition : Quelle est la fonction de l'art dans ces conditions ? 2 . L'art peut servir à mieux nous connaître nous-même, en particulier parce qu'il nous renseigne sur lespassions des hommes. « L'art ne reproduit pas le visible ; il rend visible » (Paul Klee) L'artiste n'est pas une sorte de copiste du réel, se contentant de représenter le monde. De ce point de vue, nouspouvons jouer sur le verbe " représenter " qui signifie littéralement " présenter deux fois ". Il ne s'agit pas en effetde s...
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Lorsque nous percevons comment savons nous que nous ne rêvons pas ?
Et deuxièmement, on peut d'une manière générale estimer que même lorsqu'on perçoit des objets extérieurs, ce nesont peut-être toujours que des images de ces objets que nous percevons, et jamais les objets eux-même. Peut-être alors qu'au simple niveau de la perception, je ne peux pas savoir si je rêve ou pas. b) le doute est permis En constatant que les perceptions lors des rêves sont du même ordre que les perceptions en état de veille,puisqu'en effet on peut effectivement croire qu...
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Pourquoi nous trompons-nous ?
pose le problème de la culpabilité. Peut-on se tromper moralement, se tromper en faisant un choix, en agissant ? Pourquoi nous trompons-nous ? Dans un premier temps nous analyserons le phénomène de l’erreur pour essayer de mettre en évidence sa logique, ses causes. Nous verrons dans quelle mesure, dans un second temps, la responsabilité du sujet est engagée dans ce processus et en quoi la méthode peut permettre de bien juger. Enfin nous prendrons en compte le rôle des qualités d’...
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Les autres nous aident-ils a nous connaître ou nous en empêchent-ils ?
être-pour-soi absolu, par là même celle qui a préféré la vie à la liberté, et qui se révèle impuissante à faire,par elle-même et pour assurer son indépendance, abstraction de sa réalité sensible présente, entre ainsi dansle rapport de servitude. » Hegel, « Propédeutique philosophique ». C'est dans l'un des plus fameux passages de la « Phénoménologie de l'esprit », qui décrit la lutte à mort pourla reconnaissance avant que d'aborder la dialectique du maître et de l'esclave, que Hegel déclare : «...
- « L'important ce n'est pas ce qu'on a fait de nous, mais ce que nous-mêmes nous faisons de ce qu'on a fait de nous. », Sartre
- 179037 Nous nous tournâmes, et nous montâmes par le chemin de Basan.
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Qu'échangeons-nous lorsque nous parlons ?
3. La parole semble astreinte à « communiquer » et par là à rester au niveau du commun, de sorte que nousn'échangeons rien. Cependant on peut chercher des alternatives à la parole ou une sorte de parole alternative. Onpeut inventer des signes inédits, des signes corporels comme les mouvements du corps ou les inflexions de la voixqui viennent appuyer notre discours pour exprimer notre pensée. On peut aussi inventer un parole qui sort descodes de la communication pour exprimer ce que...
- Tant que nous aurons le corps associé à la raison dans notre recherche et que notre âme sera contaminée par un tel mal, nous n'atteindrons jamais complètement ce que nous désirons et nous disons que l'objet de nos désirs, c'est la vérité.
- Si nous violons [les règles morales], nous nous exposons à des conséquences fâcheuses ; nous risquons d'être blâmés, mis à l'index, frappés même matériellement dans notre personne ou dans nos biens.
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Savons-nous qui nous sommes ?
pensant. La certitude de moi-même comme être pensant étant posée, ma conscience peuts'affirmer comme conscience de soi, car le moi fait retour sur soi et se connaît ainsi. - Nous pourrions ainsi considérer avec Descartes que, s'il est tant d'opinions sur nous-mêmes dont nous pouvons douter, nous pouvons cependant être sûrs d'une chose : nous pouvons êtrecertains que nous sommes des « choses qui pensent », c'est-à-dire des êtres doués de raison.Comme cette raison est réflexive et q...
- KANT: «Nous ne connaissons a priori des choses que ce que nous y mettons nous-mêmes.»
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Devons nous désirer l'impossible ? Ne devons nous pas plutôt désirer ce qui dépend de nous ?
être heureux nous devons nous devons accepter le réel tel qu’il est. Plus nous sommes raisonnable dans nos désir, moins nous seront dépendant de l’espoir ou de la crainte. La vision du désir de l’impossible des stoïciens se rapproche ici de celle de Descartes qui a dit : « il faut changer nos désirs plutôt que l’ordre du monde ». Le philosophe a ici voulu dire qu’a défaut de désirer changer le monde, c'est-à-dire au lieu de tendre vers l’impossible nous devons nous contenter de chose...
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Sujet : Pourquoi nous trompons-nous ?
« Se tromper » : verbe pronominal et intransitif. Quand je fais erreur, c’est moi qui me trompe ! Je suis responsable de mon erreur. Comment comprendre cette responsabilité ? Quelle est ma faute ? Est-ce négligence de ma part ou bien volonté de me tromper ? Il semble difficile d’affirmer que ce soit volonté de se tromper. Cela ne correspond pas à l’idée que nous nous faisons de l’erreur. Il nous arrive régulièrement de nous trompons sans le vouloir. Reste donc la négligence. Comment...
- Cette table même, que nous voyons blanche et que nous sentons dure, nous croyons qu'elle existe indépendamment de notre perception, nous croyons qu'elle est quelque chose d'extérieur à notre esprit qui la perçoit.
- Que savons-nous de nous-mêmes ?
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La pensée et le mouvant - Bergson: la vérité - « nous appelons vraie toute affirmation qui, en nous dirigeant à travers la réalité mouvante, nous donne prise sur elle et nous place dans de meilleures conditions pour agir. »
vérité et régirais les faits eux même. Ce concept est naturel. Le caractère naturel de cette conception de la vérité, est je pense dû à la nature même de l'esprit humain qui préfère cereprésenter la réalité comme « un tout parfaitement cohérent » et que ce tout ne serait, a contrario de ce que pense Bergson,pas mouvant car il s'agit de quelque chose de rassurant pour l'homme, qui matérialise sa science comme outil pour exploré saréalité, cette armature qu'il croit logique. Dans sa deuxiè...
- Sommes-nous ce que nous possédons ?
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Les autres nous aident-ils à nous connaître ou nous en empêchent-ils ?
comme conscience, comme autre chose qu'un simple animal, vaut plus que par sa simple survie. Etre homme, c'est donc pouvoirmettre en jeu sa propre vie pour prouver la valeur même de son existence, c'est pourquoi cette lutte est à la fois nécessaire etabsurde. L'essentiel est que la conscience de soi véritable requière la médiation d'un autre homme : être conscient de soi-mêmecomme être humain, c'est être reconnu comme homme par un autre homme, par une autre conscience. Seul, je ne peux fai...
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179019
Nous nous tournâmes, et nous partîmes pour le désert, par le chemin de la mer
Rouge, comme l'Éternel me l'avait ordonné; nous suivîmes longtemps les contours
de la montagne de Séir.
179019 du pays des enfants d'Ammon, de tous les bords du torrent de Jabbok, des villesde la montagne, de tous les lieux que l'Éternel, notre Dieu, t'avait défendud'attaquer. (Deutéronome ) Pge p
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Dissertation : "Savons-nous qui nous sommes vraiment ?"
Clément Martel TS3 que nous pensons de nous-mêmes et de ce que pensent les autres de nous afin de nous définir réellement. 3. Une double définition Nous remarquons qu’il est difficile de se fier à un seul point de vue afin de nous déterminer qui nous sommes. En effet, si l’on s’en tient à l’idée de ce que nous savons de nous- même, nous avons une représentation fausse car nous n’avons pas accès à notre Inconscient et à la totalité de notre mémoi...
- C'est précisément à cause de ces dangers dont la nature nous menace que nous nous sommes rapprochés et avons créé la civilisation qui, entre autres raisons d'être, doit nous permettre de vivre en commun.
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Helika
aussi nous séparâmes-nous.
habitations dans l'état ou étaient nos amis. Lorsque le soleil du lendemain éclaira le lieu du carnage, je ne pus voir sans frémir les cadavres de ces hommes forts et braves, dont la vigueur et la jeunesse auraient pu être si utiles, si elles eussent été tournées au bien. Nos ennemis que nous n'avions pu lier que grâce à la perte de sang qui avait diminué leurs forces, conservaient sur leurs figures pâlies, l'expression d'une sauvage férocité. Cependant notre pauvre canadien s'affaiblissait visi...
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Comment se peut-il que nous puissions faire ce qui nous répugne et ne pas faire ce qui nous séduit ?
faire ce qui nous répugne et faire ce qui nous séduit L'injonction sociale incline l'individu à renoncer à la loi du plaisir a. Cependant, il faut bien voir que la règle générale de notre action est précisément de ne pas faire ce a quoi noussommes naturellement enclins, mais au contraire ce que l'on attend de nous et a tendance à nous répugner.L'exemple majeur de cette loi indubitable est sans doute le travail. Le travail est par définition une activité pénible,que nous nous imposons a...
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Quand nous percevons, comment savons-nous que nous ne rêvons pas ?
PREMIERE PARTIE : On peut confondre les perceptions de l'état de veille et du rêve. a) Qu'est-ce qui est perçu ? On peut donc commencer cette dissertation en remettant en question le fait que la perception soit nécessairementune perception des objets extérieurs. En effet, il n'est pas interdit de penser que ce que je crois être les objets extérieurs soient en fait des images néesdans mon esprit. Le rêve est un argument pour cela, puisqu'il témoigne de situations où je crois évoluer dans...
- 179148 Sur les bords des fleuves de Babylone, Nous étions assis et nous pleurions, en nous souvenant de Sion.
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Nous ne voyons pas les choses mêmes; nous nous bornons le plus souvent à lire les étiquettes collées sur elles.
1. Critique du langage - Non-coïncidence entre les choses et les mots (étiquettes arbitraires et superficielles). - Avant même l'intervention du langage, le besoin sélectionne ses versions du réel sans se préoccuper de l'être même des choses. Cette tendance est accentuée par l'usage du vocabulaire. - Tout mot représente un genre, il noie donc une singularité dans une communauté. Rappel: tout concept est en effet général et fait par définition abstra...
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Expliquez et appréciez cette pensée de Marcel Proust : « Une personne est une ombre où nous ne pouvons jamais pénétrer, pour laquelle il n'existe pas de connaissance directe, au sujet de quoi nous nous faisons des croyances nombreuses à l'aide de paroles et d'actions, lesquelles les unes et les autres ne nous donnent que des renseignements insuffisants et d'ailleurs contradictoires ».
II. DISCUSSION On peut élever contre la thèse de Proust trois sortes d'objections : d'une part certains auteurs prétendent qu'uneconnaissance directe des personnes est possible dans certaines conditions ; d'autre part la psychologie expérimentalemoderne croit qu'une étude scientifique des paroles et des actions peut conduire non à de vagues « croyances », mais àune connaissance précise ; d'autres enfin soutiennent que l'on n'a aucun effort, intuitif ou discursif, à faire pour connaîtreaut...