5 résultats pour "sacrificielle"
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Comme la fête et tous les autres rites, la tragédie grecque n’est d’abord qu’une représentation de la crise sacrificielle et de la violence fondatrice. René Girard
48 • TRAGÉDIE GRECQUE (et rite) / 361 moins que, perdant la mémoire de la crise sacrificielle originelle, elle ne tourne mal ou ne se banalise. La tragé die grecque, au même titre que la fête et que tous les rites, commémore la crise violente des origines (donc fonda trice) et organise le sacrifice qui vient résoudre la crise. Selon Girard, la tragédie grecque témoigne d'une évolu tion de caractère historique qui l'éloigne de ses origines religie...
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YAJUR-VEDA [Veda des formules sacrificielles].
Griff?th (B?nar?s, 1899).
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Analyse de « Théorie de la justice », JOHN RAWLS (fiche de lecture)
pas à attaquer la position originelle la jugeant trop anhistorique et hypothétique. De plus les participants, même couvert par le voile de l’ignorance sont toujours soumis à l’envie, notamment, celle d’être plus riches et moins égaux, plutôt qued’être plus pauvres et moins inégaux.Sandel se demandera même si le lien social dans ce calcul de justice n’enlève pas toute possibilité de communauté humaine transformé alors en une communautéd’étranger.Par la suite, Sen, reprochera à Rawls son indiffér...
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Comme la fête et tous les autres rites, la tragédie grecque n'est d'abord qu'une représentation de la crise sacrificielle et de la violence fondatrice.René Girard
réjouissances. » (La Violence et le Sacré, ch. 5) Girard évoque aussi l'anti-fête, marquée par une période d'ascèse purificatrice, de privation expiatoire ou encore, àl'inverse, la fête qui tourne mal, dont la tragédie d'Euripide, Les Bacchantes, nous propose une illustration. Comme, pour Girard, toutes les institutions humaines dérivent de la violence sacrificielle, la tragédie grecque, de même que lafête, présente le caractère d'une cérémonie rituelle; plus précisément, elle s'affran...
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SIGNIFICATION ET VALEUR DU SACRIFICE ?
morbide décrit par le docteur Odier, certains malades « rachètent » leurs fautes réelles ou imaginaires par despratiques pénibles (se laver quarante fois les mains, tourner une heure autour de son lit, etc.). Sans doute lesacrifice compensateur a-t-il des racines biologiques profondes comme on le voit dans les pratiques inconscientesd'autopunition. Une malade de Tzanck est atteinte d'eczéma incurable ; la psychanalyse révèle que cette juivepratiquante a épousé un agnostique et re...