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CFPC

Publié le 17/01/2022

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Le Centre chrétien des patrons et dirigeants d'entreprises français a conservé l'ancien sigle CFPC (Centre français du patronat chrétien) après avoir changé le nom de son mouvement en 1958. Le CFPC n'est pas un organe de défense des intérêts professionnels du patronat, mais un centre de réflexion d'inspiration chrétienne. Il « réunit les dirigeants d'entreprise résolus à faire face en chrétiens à leurs responsabilités propres dans les entreprises, les professions et l'économie tout entière, voulant se pénétrer de la doctrine sociale de l'Eglise, la faire connaître, en faire progresser l'application par leurs recherches et leurs initiatives «....

« 1931, sur l'initiative de Ia CFP, est creee Ia Conference internationale des employeurs chretiens qui devient, en 1949, ['Union Internationale chretienne des dirigeants d'entreprise (UNIAPAC) et groupe 26 associations (dont le CFPC) dans 25 pays.

Abandonnant au profit du CNPF (Conseil national du patronat franpais) son caractere syn- dical et professionnel, la CFP devient le CFPC en 1948. 4 Le CFPC invite ses adherents a traduire dons les faits la doctrine sociale de I'Eglise telle que l'ont precisee, notamment, les encycliques a Mater et Magistra (1961) et a Pacem in Terris p (1963).

II se fonde egalement sur les travaux du concile Vatican II (Mission de l'Eglise dans le monde, Apostolat des lairs, Communications sociales). Un Centre de perfectionnement doctrinaleclaireles membres.

« Dans le couple patron-chretien, c'est le chre- tien qui se revele fondamental, le patron Iui &ant soumis (rapport moral aux assises de Pau en 1958).

Le CFPC cherche, entre autres, afaire deI'entreprise une communaute humaine P par le dialogue et la participation et a « valoriser la fonction patronale P. 5 Les assises d'Angouleme (1972) ont eu pour theme Les Pouvoirs dans I'entreprise ; celles de Caen (1974), Pour I'homme, quelle entreprise ? ; celles de Grenoble (1976), Recherche chretienne sur to role de I'entreprise dans la societe p.

Le CFPC, dont le president (Andre Aumonier) est membre es fonctlons de l'Assemblee per- manents du CNPF, a des liens etroits avec le monde patronal.

IIa cree en 1944 un Centre de perfectionne- ment pour chefs d'entreprise et cadres superieurs (ECE, Ecole du chef d'entreprise) qui a deja opere le recyclage de plus de 10 000 personnes (1976). 1931, sur l'initiative de la CFP, est créée la Conférence internationale des employeurs chrétiens qui devient, en 1949, l'Union internationale chrétienne des dirigeants d'entreprise (UNIAPAC) et groupe 26 associations (dont le CFPC) dans 25 pays.

Abandonnant au profit du CNPF (Conseil national du patronat français) son caractère syn­ dical et professionnel, la CFP devient le CFPC en 1948.

4 Le CFPC invite ses adhérents à traduire dans les faits la doctrine sociale de l'Eglise telle que l'ont précisée, notamment, les encycliques « Mater et Magistra » (1961) et « Pacem in Terris » (1963).

Il se fonde également sur les travaux du concile Vatican II (Mission de l'Eglise dans le monde, Apostolat des laïcs, Communications sociales).

Un Centre de perfectionnement doctrinal éclaire les membres.

« Dans le couple patron-chrétien, c'est le chré­ tien qui se révèle fondamental, le patron lui étant soumis » (rapport moral aux assises de Pau en 1958).

Le CFPC cherche, entre autres, à « faire de l'entreprise une communauté humaine » par le dialogue et la participation et à « valoriser la fonction patronale ».

5 Les assises d'Angoulême (1972) ont eu pour thème « Les Pouvoirs dans l'entreprise » ; celles de Caen (1974), « Pour l'homme, quelle entreprise ? » ; celles de Grenoble (1976), « Recherche chrétienne sur le rôle de l'entreprise dans la société ».

Le CFPC, dont le président (André Aumônier) est membre ès fonctions de l'Assemblée per­ manente du CNPF, a des liens étroits avec le monde patronal. Il a créé en 1944 un Centre de perfectionne­ ment pour chefs d'entreprise et cadres supérieurs (ECE, Ecole du chef d'entreprise) qui a déjà opéré le recyclage de plus de 10 000 personnes (1976).. »

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