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CIMADE

Publié le 17/01/2022

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La CIMADE, service oecuménique d'entraide, a conservé comme sigle les initiales du mouvement qui lui a donné naissance : le Comité intermouvements auprès des évacués. Née de besoins et non de principes, la CIMADE « a pour but de témoigner de l'amour chrétien en venant en aide aux populations et aux personnes éprouvées sur le plan moral, matériel, social, éducatif et culturel «. De mouvement purement caritatif, la CIMADE a évolué en un organisme de lutte sociale pour la justice, contre le racisme, pour le développement du tiers monde....

« lance Mit en son sein une commission executive qui assume de facon permanente la responsabilite generale de la CIMADE et nomme le secretaire general, actuellement Roby Bois.

En 1976, l'organisation comprend 35 membres titulaires et 75 equipiers. 4 Le budget 1975 de Ia CIMADE, dont les ressources proviennent surtout de dons (75 p.

100), s'est sieve a 9 432 000 francs.

De ce montant, 63,5 p.100 ont ete consacres aux actions pour tiers (bourses, Sahel, Vietnam, programmes de developpement, operations d'urgence) ; 10 p.100 aux migrants ; 10,5p.100 aux ref ugles ; 13 p.

100 aux services communs, information, entraide et prisons ; 3 p.

100 aux frais de fonctionnement des actions de developpement.

Le service « Urgences et Catastro- phes sert de relaisaIa commission d'entraide du Conseil cecumenique (COE) qui participe pour 15 p. 100 aux ressources de ('organisation.

La CIMADE coils- bore avec le CCFD (Comite catholique contre Ia faim et pour le developpement) en faveur du tiers monde. 5 Le principe d'action de la CIMADE est d'aider les refugies, et lee habitants du tiers monde, a se liberer eux-memes, et non a en faire des assistes permanents. Depuis 1974, elle a etendu ses activites en creant un service « Habitat-Urbanisme n en liaison avec les pro- blames de logement des travailleurs immigres.

En 1975, c'est le service « Droits de I'homme en Amerique latine en relation avec le probleme des Menus politiques au Chili et ailleurs (Argentine, Sud-est asiatique).

Le racisme en France et ('apartheid en Afrique du Sud suscitent le « Fonds pour la dude contre le racisme m.

La 'name armee, un nouveau poste « Prisons est cree, °dente vers ('information de ('opinion publique. lance élit en son sein une commission executive qui assume de façon permanente la responsabilité générale de la CIMADE et nomme le secrétaire général, actuellement Roby Bois. En 1976, l'organisation comprend 35 membres titulaires et 75 équipiers.

4 Le budget 1975 de la CIMADE, dont les ressources proviennent surtout de dons (75 p.

100), s'est élevé à 9 432 000 francs.

De ce montant, 63,5 p.

100 ont été consacrés aux actions pour tiers (bourses, Sahel, Vietnam, programmes de développement, opérations d'urgence) ; 10 p.

100 aux migrants ; 10,5 p.

100 aux réfugiés ; 13 p.

100 aux services communs, information, entraide et prisons ; 3 p.

100 aux frais de fonctionnement des actions de développement.

Le service « Urgences et Catastro­ phes » sert de relais à la commission d'entraide du Conseil œcuménique (COE) qui participe pour 15 p.

100 aux ressources de l'organisation.

La CIMADE colla­ bore avec le CCFD (Comité catholique contre la faim et pour le développement) en faveur du tiers monde.

5 Le principe d'action de la CIMADE est d'aider les réfugiés, et les habitants du tiers monde, à se libérer eux-mêmes, et non à en faire des assistés permanents.

Depuis 1974, elle a étendu ses activités en créant un service « Habitat-Urbanisme » en liaison avec les pro­ blèmes de logement des travailleurs immigrés.

En 1975, c'est le service « Droits de l'homme en Amérique latine », en relation avec le problème des détenus politiques au Chili et ailleurs (Argentine, Sud-est asiatique).

Le racisme en France et l'apartheid en Afrique du Sud suscitent le « Fonds pour la lutte contre le racisme ».

La même année, un nouveau poste « Prisons » est créé, orienté vers l'information de l'opinion publique.. »

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