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La guerre de religion

Publié le 16/03/2016

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La guerre de religion : La cinquième guerre change de visage après l’évasion du duc d’Alençon. Avant c’est un affrontement indécis fait d’embuscades et de coups de main, entrecoupé de suspension d’armes et de négociations. Les opérations se déroulent surtout en Normandie, en Poitou, dans la vallée du Rhône, en Provence et en Languedoc. Les victimes les plus illustres sont Montgomery et Montbrun : Montgomery : Réfugié en Angleterre depuis la Saint-Barthélemy, le comte de Montgomery, chef huguenot échappé du massacre, lance une offensive sur la Normandie. (Est celui qui a été l’auteur du coup de lance fatal à Henri II) il est pris à Saint Lô en Mai 1574 et exécuté ; Montbrun qui est à la tête des Protestants dans le Dauphiné, est pris dans un combat qu’il livre aux troupes du roi, le parlement lui fait son procès, il est condamné à mort et sera exécuté le 12 aout 1575. En Languedoc, les paradoxes de cette guerre sont bien illustrés par le combat entre Damville, un catholique allié au réformés & Jacques d’Assier devenu Duc d’Uzès qui est lui huguenot et m&eg...
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« L’opposition à Henri 3 :  François d’Alençon le frère du roi, est le dernier né de la famille royale et souffre des grands égards qu'on porte à son frère aîné.

En 1575, François continue d'être à la cour le chef du parti d'opposition.

Il subit les brimades et les moqueries dont il fait l'objet de la part de l’entourage proche de son frère.

Catherine de Médicis tente de calmer le jeu mais cela ne fonctionnera pas car un soir de bal, François se fait directement insulter et prend la résolution de s'enfuir.

Il s'échappe à travers un trou creusé dans les remparts de Paris. Sa fuite crée la stupeur.

Les mécontents de la politique royale et les protestants s'unissent derrière lui. Henri de Navarre : Après avoir passé plus de trois ans comme otage à la cour, il profite des troubles de la cinquième guerre de religion pour s'enfuir, le 5 février 1576.

Ayant rejoint ses partisans, il renoue avec le protestantisme.

Il soutient naturellement la cause des Malcontents, mais animé d’un esprit modéré, il ne s’entend pas avec son cousin le prince de Condé qui, d’un tempérament opposé, se bat avec zèle pour le triomphe de la foi protestante Le Prince de Condé : Profondément calviniste, le prince de Condé se révèle être au départ le véritable chef du parti.

Il s'oppose à son cousin le roi de Navarre à qui il reproche sa désinvolture religieuse.

C’est lui qui fait entrer dans le royaume les reîtres (cavalerie lourde) qu'il a recrutés dans le Palatinat (compté allemand du Rhin) Jean-Casimir du Palatinat : En 1575, il mène une armée de 16 000 mercenaires aux princes protestants français et aux autres Malcontents, contre la promesse d’une pension et des Trois Évêchés.

Battu dès son entrée en France par le duc de Guise à Dormans. »

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