Air
Publié le 22/02/2012
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Dès la fin du XVe siècle, le terme qualifie en France une simple chanson à une voix avec accompagnement, généralement au luth (air de cour, air à boire...). Le mot s'applique aussi bien à une forme musicale instrumentale que vocale. Dans les oeuvres scéniques des XVIIe et XVIIe siècles, les airs font office d'interlude entre les récitatifs, soulignant des moments de tension dramatique. Forme fermée et prétexte au chant, l'air dans l'opéra subit de nombreuses réformes dans ses codifications qui tendent à favoriser la continuité et l'unité du drame. L'aboutissement de cette évolution conduit aux oeuvres de Puccini et de Wagner qui s'affranchissent de tout carcan formaliste.
Liens utiles
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