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CHARON

Publié le 28/08/2013

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 Greek The ferryman of the UNDER-wORLD (1). Son of EREBUS (Darkness) and NYx (Night). The hideous old man ferried the shades, or spirits, of the dead across the rivers Acheron and STYx. If not presented with an obolus, a small coin, or bribe, the old man would drive away the dead soul, who was then condemned to wander the bleak shores of Acheron and Styx. Hence comes the custom of the Greeks (and others) of placing a coin on the mouth or eyelids of the dead.

« On comprend rapidement en s’attardant sur quelques ouvrages féministes que le rôle de la femme, particulièrement lorsqu’elle est mariée, est dans les cuisines et non sur les bancs d’école dans ces années.

Mais d’où viennent ces idées du rôle de la femme? Très présente au Québec dans les années 1900, on comprend que l’église en est responsable puisqu’elle est l’institution qui régit tout.

En effet, la religion catholique a une vision plutôt particulière de la femme et le peuple québécois se soumet longtemps à celle-ci en refusant d’admettre l’égalité des sexes sur tous les secteurs de la société.

. ÉTAPE III Les historiens fixent le début de la quête du droit de vote des femmes au 9 mars 1922.

C’est là que les femmes prirent leur place dans les médias et commencèrent réellement leurs revendications, sans se soucier de l’opinion du public et surtout de celui du clergé.

Par contre, «C'est sans doute le député du comté de Dorchester, M.

Lucien Cannon, qui amorça véritablement la longue marche pour l'admission des femmes au barreau du Québec en 1916.

Après une première lecture le 9 février, les véritables débats s'engagèrent le 23 février suivant quand le jeune député ne demanda rien de moins à ses collègues de l'Assemblée législative la permission pour les femmes d'être admises à la pratique du droit dans la province de Québec.» Comme le Gilles Boileau le souligne, il a fallu des hommes d’influence tel Cannon pour donner du courage aux femmes à que tout le monde sous-estimaient.

On appellera celles qui revendiquent ce droit les «suffragettes».

Les femmes en ont marre de ne pas pouvoir décider si elles veulent s’émanciper au plan intellectuel ou non.

C’est carrément le rejet des valeurs traditionnelles.

Peu à peu, dès les années 20, le mouvement s’installe et commence à prendre de l’ampleur. Rapidement, on peut apercevoir les femmes un peu partout.

Elles prennent leur place dans la place publique.

Comme mentionné plus haut, «[…] l'action véritable s'est déclenchée en 1922, après la fondation du Comité provincial pour le suffrage féminin, présidé par Madame Marie Gérin -Lajoie et qui comptait Madame Thérèse Casgrain et Mademoiselle Idola Saint-Jean parmi ses animatrices.» C’est là que l’on voit se formé un véritable mouvement social.

La plupart des militantes proviennent de la bourgeoisie anglo - protestante et franco-catholique de la ville de Montréal.

Dans un contexte d'industrialisation et d'urbanisation,. »

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