Comment dans ce texte sommes en présence à la fois d'une mystification du Moyen-Age et de la Renaissance ?

En examinant l'extrait du roman "Pantagruel" ,écrit par François Rabelais, on trouve une mystification du Moyen-Âge et de la Renaissance de laquelle je voudrais parler dans l'essai suivant.  Dans le texte cité Pantagruel,qui est le protagoniste de ce roman, s'adresse à son fils qui se trouve à Paris.Dans la première phrase, par exemple, Pantagruel, s'adresse à son fils disant que les mauvaises temps sont progressivement oubliés. On peut toujours et encore sentir les effets « du désastre causés par les Goths...mais par la bonté divine « on va dans le bon sens. Il mentionne aussi que les Goths, qui sont responsable de la destruction de la bonne littérature, ont traduit la bible du latin en gothique. Si on considère que le latin était surtout la langue de l'église, faisant cela, les Goths, qui sont des chrétiens, font quelque chose complément opposée à l'esprit du temps. Pantagruel parle de la bonté divine, il parle de Dieu, le

plus puissant pendant le temps du Moyen-Âge. D'une façon il critique le comportement des gens qui se soumettent à l'église. Les gens à cette époque n'étaient pas vraiment libre, ils n'étaient pas des êtres individuels, ils existaient seulement pour l'église.  Dans cet extrait du texte on peut aussi apprendre quelque chose sur les changements au cours du temps de la Renaissance. Pantagruel liste des langues comme le grec, l'hébreu, le chaldéen et le latin. Ces langues sont toutes très utiles, si on veut lire et comprendre des textes sacrés. Ça veut dire que les deux époques de lesquelles il parle ont des buts en commun. Apprendre ces langues servent à l'éducation morale et religieuse. On peut être plus au Dieu si on a un certain savoir. Pantagruel s'exprime aussi sur l'invention de l'imprimerie. Cette invention était une première étape en direction des ouvres en français. Par cette invention il était aussi plus facile de reproduire plus des livres et par ca plus de savoir. Si on garde en tête qu'il avait écrit à son fils, qui était étudiant

de la Sorbonne à ce moment, cela a du sens.  La mystification dans ce cas se compose du fait qu'on sait qu'il n'y avait pas seulement des étudiant bonnes et bien éduqués mais aussi des mauvais comportements avec l'alcool et la violence. Il y avait même des situations dans lesquelles on permettait la diffusion de l'information par l'imprimerie.  Les dernières lignes de la lettre adressé à son fils sont les suivantes: « Le monde entier est plein de gens savants, de précepteurs très doctes, de bibliothèques très importantes. Je pense que c'est une allusion au fait qu'il y avait plusieurs fondations des universités à cette époque. Il y avait tous qu'il faut pour être libre: Des universités, des professeures, des bibliothèques et, à première vue, des gens savant. Mais étaient-ils vraiment si savant, ils ont eu le savoir des langues, de traduction et de littérature, mais c'est tout. Avec la Renaissance le temps de langues romains a commencé.    La Renaissance était un temps du change mais au même temps un temps de réflexion aux valeurs antiques.