CONSUS
Publié le 28/08/2013
Extrait du document
(The Storer) Roman An ancient but little-known Roman god of storage who protected the harvest once it was placed in silos, which were underground chambers in ancient ROME; an important god during the early agricultural days of Central Italy.
The cult that worshiped Consus faded from importance as Rome became a major city and empire. Consus was also known as the consort of OPS, an ancient goddess of plenty.
Rome celebrated Consus during horse races and during an annual harvest festival known as the Con-sualia when horses, mules, and other draft animals were decorated with flowers and allowed to rest.
Worshipers built an altar to Consus underground, beneath the middle of the Circus Maximus, a huge
with seating for 150,000 people. Here Rome held very popular horse races. Another temple to Consus stood between the Palatine and the Aventine hills.
«
(cf.
Pol.
V 7, 1307b6), mais préfère taxis (dont la connotation artificialiste a été soulignée par Hayek).
4 A
condition d’entendre par là des choix inséparables d’une délibération rationnelle, et non au sens où
l’entendrait
sans doute C.
Schmitt (cf.
Théologie politique, p.
20 : « L’ordre juridique repose, comme tout ordre, sur une
décision et non sur une norme »).
5 Philosophie politique, III, p.
49-50.
Cf.
plus récemment Renaut et Sosoe,
Philosophie du droit, p.
252 : la philosophie du droit d’Aristote « se fonde dans une vision du monde comme
cosmos hiérarchisé ».
6 C’est, semble-t-il, la confusion de l’ordre du monde et de celui de la nature qui
explique l’étonnante incompréhension de Renaut et Sosoe à l’égard de la thèse de Planty-Bonjour
(Philosophie du droit, p.
252, note).
7 Ferry, Homo Aestheticus, p.
333.
1
a/ La nature, c’est la fin (Pol.
I, 2, 1252b32).
Dire que l’homme est « naturellement » politique, c’est dire qu’il
ne peut atteindre sa fin, « devenir ce qu’il est », selon le mot de Pindare8, et être heureux, que dans une
communauté « politique ».
Cf .
Rousseau, CS I 8.
b/ Ce n’est pas un instinct grégaire.
De ce point de vue, la
« nature » de l’homme n’est pas plus grégaire que sauvage.
C’est ce qu’explique l’Histoire des animaux (I 1,
488a), qui distingue le grégaire du « politique » (les animaux politiques sont ceux qui ne peuvent réaliser leur
fin qu’en coopérant, ce qui suppose une division des tâches absente du simple regroupement « grégaire »).
c/ Le caractère « naturellement » politique de l’homme n’exclut pas, par conséquent d’instituer un ordre
politique (cf.
Pol.
I 2, 1253 a 30 : « c’est donc par nature qu’il y a chez tous les hommes la tendance vers une
communauté de ce genre, mais le premier qui l’établit n’en fut pas moins cause des plus grands biens »).
d/
Cette institution ne saurait se fonder sur l’observation d’une nature qui ne se révèle véritablement que
rétrospectivement, i.e.
une fois l’Etat institué.
Il ne s’agit pas, pour l’art politique, de suivre la nature, mais de
l’accomplir.
2/ L’esclavage « naturel ».
La « nature » esclave, dont l’existence reste problématique, est à
comprendre comme une nature provisoire (les esclaves, même lorsqu’ils le sont « naturellement » -
comprendre « inévitablement » - sont destinés à être éduqués et affranchis, et ne doivent pas être traités
seulement « en tant qu’esclaves »).
(voir Appendice I) 3/ La constitution « naturellement » la meilleure.
Y a-t-
il un ordre politique conforme à la nature ? Aristote a-t-il déterminé de façon précise les conditions
constitutionnelles de réalisation de la « nature politique » de l’homme ? Si oui, et si, comme on le dit parfois,.
»
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