Roland, Madame
Publié le 19/02/2013
Extrait du document
Roland, Madame, née Manon Philipon (1754-1793), femme politique sous la Révolution française.
Cultivée, ouverte à la pensée de son temps, Manon Philipon épouse le vicomte Jean-Marie Roland de La Platière en 1780. Désormais appelée Jeanne Roland de La Platière, elle s’enthousiasme très tôt pour les idées de la Révolution française. Celle qui est bientôt connue sous le nom de Madame Roland exerce, à partir de 1791, une très forte influence sur le mouvement girondin, qu’elle anime avec son époux, et dont elle accueille les membres dans son salon.
Lors de la proscription des Girondins (mai-juin 1793), Madame Roland est arrêtée et condamnée à mort par le Tribunal révolutionnaire, pour sympathies royalistes et conspiration. Le 8 novembre 1793, alors qu’on la mène à la guillotine, elle lance la célèbre phrase : « Ô Liberté ! que de crimes on commet en ton nom ! «.
Les mémoires de Madame Roland, écrites en prison, ont été publiées en 1795.
Liens utiles
- MÉMOIRES de Madame Roland (résumé)
- MÉMOIRES de Madame Roland (résumé)
- ROLAND, Marie-Jeanne ou Manon Philipon Roland de la Platière, dite madame Roland (17 mars 1754-8 novembre 1793) Femme politique Jeune fille, elle a reçu une éducation exceptionnelle.
- ROLAND, Marie-Jeanne ou Manon Philipon Roland de la Platière, dite madame Roland (17 mars 1754-8 novembre 1793) Femme politique Jeune fille, elle a reçu une éducation exceptionnelle.
- ROLAND, Marie-Jeanne ou Manon Philipon Roland de la Platière, dite madame Roland (17 mars 1754-8 novembre 1793) Femme politique Jeune fille, elle a reçu une éducation exceptionnelle.