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Les mesure de sécurité face au nucléaire

Publié le 02/09/2012

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- Le champs social Le 21 septembre, dix jours après les attentats, l'AIEA avait mis en garde contre l'utilisation de matériaux nucléaires par des terroristes qui pourraient chercher à contaminer des villes entières. Dans une résolution sur la protection des matériaux et installations nucléaires, la conférence générale annuelle de l'agence mis en garde contre les risques d'utilisation de matériaux nucléaires par des terroristes et sur la nécessité de protéger les installations nucléaires. Le principal danger réside dans la fabrication d'une "bombe sale" combinant des matériaux radioactifs avec des explosifs conventionnels, avait alors expliqué l'AIEA. Les radiations émises pourraient contaminer toute la zone de l'explosion et dans le cas d'une ville la rendre inhabitable jusqu'à sa décontamination, (exemple, Tchernobyl). Le champs environnementale : Dans une centaine de millénaires, une nouvelle civilisation se sera peut-être bâtie sur les vestiges de celle que nous connaissons. Et quand cette nouvelle société explorera la terre et ses secrets, il se peut qu’elle tombe à la base de la Yucca Mountain, dans le Nevada, sur des ruines portant des signes avertissant ceux qui les trouveraient - de la façon la plus universelle que les hommes ayant vécu dans un passé lointain avaient pu concevoir - de ne pas s’en approcher.Pourquoi ? Parce que sous cette montagne il y aura quelques 100 000 tonnes de déchets nucléaires encore actifs entreposés dans des containers, et que, d’ici là, même en l’absence de bouleversements géologiques dans les millénaires à venir, environ 1 % de cette matière mortelle (d’après les estimations du Département américain de l’énergie) aura fui et aura pu pénétrer les nappes phréatiques, créant ainsi une source de contamination.

« Notre but final devrait être d’assurer le succès de ce programme en construisant une coalition mondiale pour nous protéger et contrôler les armes nucléaires,chimiques et biologiques, les matières qui les composent et leur technologie.

La vraie question est de savoir s’il y a suffisamment de volonté politique pour consacrerles moyens et l’attention nécessaires à ce programme.

Si nous voulons empêcher l’acquisition d’armes de destruction massive par des terroristes, cela demandera dela prévoyance, de la diplomatie et de la patience sur de nombreuses années.

» - Le champs économiquePour prévenir une nouvelle catastrophe, le directeur de l'AIEA a demandé aux 132 pays membres d'augmenter de 55 millions d'euros (50 millions de dollars), soit de15%, le prochain budget de cette agence des Nations unies chargée de surveiller les installations nucléaires dans le monde. - Le champs socialLe 21 septembre, dix jours après les attentats, l'AIEA avait mis en garde contre l'utilisation de matériaux nucléaires par des terroristes qui pourraient chercher àcontaminer des villes entières.Dans une résolution sur la protection des matériaux et installations nucléaires, la conférence générale annuelle de l'agence mis en garde contre les risques d'utilisationde matériaux nucléaires par des terroristes et sur la nécessité de protéger les installations nucléaires.

Le principal danger réside dans la fabrication d'une "bombe sale"combinant des matériaux radioactifs avec des explosifs conventionnels, avait alors expliqué l'AIEA.

Les radiations émises pourraient contaminer toute la zone del'explosion et dans le cas d'une ville la rendre inhabitable jusqu'à sa décontamination, (exemple, Tchernobyl).Le champs environnementale :Dans une centaine de millénaires, une nouvelle civilisation se sera peut-être bâtie sur les vestiges de celle que nous connaissons.

Et quand cette nouvelle sociétéexplorera la terre et ses secrets, il se peut qu’elle tombe à la base de la Yucca Mountain, dans le Nevada, sur des ruines portant des signes avertissant ceux qui lestrouveraient - de la façon la plus universelle que les hommes ayant vécu dans un passé lointain avaient pu concevoir - de ne pas s’en approcher.Pourquoi ? Parce quesous cette montagne il y aura quelques 100 000 tonnes de déchets nucléaires encore actifs entreposés dans des containers, et que, d’ici là, même en l’absence debouleversements géologiques dans les millénaires à venir, environ 1 % de cette matière mortelle (d’après les estimations du Département américain de l’énergie) aurafui et aura pu pénétrer les nappes phréatiques, créant ainsi une source de contamination.Bien sûr, nous ne pouvons pas prédire ce qui arrivera d’un point de vue biologique, géologique ou sociologique pendant les 100 000 prochaines années.

Mais lesdéchets atomiques sont entreposés dans 131 sites peu sécurisés aux Etats Unis - et dans beaucoup d’autres à travers le monde - et la nécessité d’enrayer cette menacedevient de plus en plus pressante.En réalité, nous commençons à peine à réaliser que la mise en lieu sûr des déchets nucléaires est un pas essentiel pour protéger l’environnement et assurer la sécuritémondiale.

Avec l’effondrement de l’Union Soviétique, les mécanismes de contrôle de ces stocks de déchets nucléaires et armes de destruction massive ont peu à peudisparus.

Entre les 1,5 tonnes de plutonium utilisables à des fins militaires générées chaque année par les centrales nucléaires russes, les armes nucléaires tactiques,les générateurs thermiques à radio-isotope qui sont facilement transportables et peu surveillés, et les milliers d’ingénieurs en armement au chômage, la menace queconstitue le nucléaire pour l’environnement et la population mondiale est indéniable.Heureusement, en Russie, un mouvement s’est amorcé pour mettre en lieu sûr les armes de destruction massive et leurs composants.

En 1991, peu après la fin de laguerre froide, la Russie a accepté l’aide des Etats Unis pour sécuriser et en partie réduire son arsenal.

Sous la direction des sénateurs américains Sam Nunn etRichard Lugar, le programmeCooperative Threat Reduction (Coopérer pour réduire la menace) a été mis en place et a permis, sur une période de dix ans, de détruireplus de 6000 têtes nucléaires, d’augmenter la sécurité dans 40% des sites abritant des matières nucléaires, et d’employer des dizaines de milliers d’ingénieurs enarmement à des fins pacifiques. Les applications civiles de l’énergie nucléaire sont controversées en raison,des risques d’ accident nucléaires grave sur un réacteur nucléaire ou au cours du cycle decombustibles ; de problèmes non résolus liés à la gestion à très long terme de déchets radioactifs notamment en ce qui concerne le financement ;du risqueprolifération nucléaire et du risque de terrorisme nucléaire par le détournement de matière radioactive pour l’utiliser comme toxique ou pour fabriquer une « bomberadiologique», ou par l’attaque directe d’un réacteur ;du coût économique de la filière de production de l’électricité nucléaire, de l’extraction des minerais à la gestiondes déchets et au démantèlement nucléaire.

La construction de nouvelles centrales en Grande-Bretagne coûterait 44 livres (48 €) supplémentaires par an (en plus de lafacture de 500 livres/an selon wikepedia) à chaque contribuable anglais; de ressources en combustibles extrêmement limités (exception faite des surgénérateurs, detype Superphénix).

Ces ressources sont disponibles dans des ordres de grandeurs comparables aux ressources pétrolières et gazières (soit environ 60 ans àconsommation constante).Cependant, les partisans de l'énergie nucléaire avancent d'autres arguments :les ressources potentielles (écorce terrestre, eau de mer) seraient selon eux plus élevées que les ressources existantes pour les combustibles carbonés (charbon, gaz,pétrole), pour la filière de génération IV permettant la surgélation, ainsi que les filières utilisant le thorium, ou les centrales à fusion.

Les partisans de l'énergienucléaire affirment ainsi que ces dernières, si elles étaient mises au point, pourraient alimenter la planète durant plusieurs milliers d'années ;les filières nucléairesproduisent relativement peu de dioxyde de carbone qui est un gaz a effet de serre, et seraient, selon leurs partisans, incontournables dans l'optique d'une lutte contre leréchauffement climatique, tandis que les énergies fossiles - vers lesquelles on serait selon eux contraints de se tourner en cas de fermeture des centrales nucléaires -en produisent, eux, énormément ;du côté de l'européisme, on estime également que le nucléaire permet de réduire la dépendance européenne au pétrole acheté auxpays du golfe, et qu'il fait partie des outils permettant de construire une Europe relativement autonome et indépendant.Les risques et les coûts ne sont pas évalués de la même façon par les pro-nucléaires et les anti-nucléaires, qui se divisent aussi au sujet de l’utilité des applicationsnucléaires civiles et militaires, en particulier de la production d’électricité nucléaire et de l’opportunité d’une sortie du nucléaires civile ( d’apres wikipedia). »

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