Code genetique

« suite des bases dans la molecule d'ADN, qui se traduit en Glair dans la suite des amino-acides de la proteine. 5 Un systeme de notation commode permet d'eclairer cette correspondance.

Si les quatre bases de I'ADN sont designees par leurs initiales (A pour aneine, T pour thy- mine, G pour guanine et C pour cytosine) et les vingt amino-acides des proteines par leur premiere syllabe (cys, glu, leu, asp, pro, etc.) le code genetique est le diction- naire qui traduit une suite telle que ATGCGTAAC...

en une sequence du type cys-leu-asp-glu-... 6 Puisque les bases de I'A'DN sont au nombre de quatre, et les amino-acides des proteines au nombre de vingt, est Glair qu'a un symbole du langage proteique (par exemple asp) doit correspondre plus d'un symbole du langage nucleottdique (par exemple UAG).

Des recherches theoriques etexperimentales conduisent aattribuer chaque amino-acide un triplet de trois bases.

Le dic- tionnaire de correspondance entre amino-acides et triplets est maintenant completement etabli : on connait la nature de chaque triplet du code. 7 Des 64 codons formes avec les triplets, 61 correspon- dent a des acides amines, les 3 autres sont des signaux de ponctuation correspondent a des arrets de lecture.

Les th6oriciens de ('information disent que le code est dege- nere, plusieurs codons peuvent correspondre a un meme acide amine.

Cette degenerescence se prete a differents phenomenes de regulation.

Le code est universe!, it vaut aussi bien pour le virus que pour l'homme. suite des bases dans la molécu.le d'ADN, qui se traduit en etalr dans la suite des amino-acides de la protéine.

5 Un système de notation commode permet d'éclairer cette correspondance.

Si les quatre bases de l'ADN sont désignées par leurs initiales (A pour anéine, T pour thy­ m'ine , G pour guanine et C pour •cytos ine) et les vingt amino-acides des protéines par leur .première syHa'be (cys, glu, leu, asp, pro, etc.) le code génétique est le dl'ctton­ nalre qui traduit u-ne suite telle que ATGCGTAAC ...

en une séquence du type cys- leu-asp-gllu- .

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6 Puisque les bases de l'AtON sont au nombre de quatre, et les amino -acides des protéines au nombre de vingt, il est olair qu'à un symbole du langage protéique (par exemple asp) doit correspondre plus d'un symbole du langage nucléottcnque • (par exem:ple UAG) .

Des recherches théoriques et e>Qpérimentales conduisent à attribuer à chaque amino-acide un triplet de trots bases.

Le dic­ tionnaire de correspondance entre amino-acides et triplets est ma1ntenant complètement établi : on connaît la nature de chaque triplet du code .

7 Des 64 codons formés avec les triplets, 61 correspon ­ dent à des acides aminés, les 3 autres sont des signaux de ponctuation corres •pondant à des al1'êts de lecture.

Les théoriciens de •l'information disent que le code est dégé­ néré, plusieur ·s codons peuvent correspondre à un même acide ami~.

Cette dégénérescence se prête à différents phénomènes de régulation .

Le code est universel, il vaut aussi bien pour le virus que pour l'homme .. »