Devoir de Philosophie

LA BIOETHIQUE

Publié le 12/02/2012

Extrait du document

Bioéthique = ensemble des règles morales concernât la recherche du vivant. Quelque question de bioéthique, quelques réflexions sur le vivant et sur le vivant homme en particulier.

I-           Origines de ces questions :

Les pouvoirs sur le vivant suscitent méfiance => raison historique (expérience nazis). En effet au XXème siècle, s’est produit l’eugénisme (recherche de preuve de l’existence d’une race) > sélection des naissances.

Ø  Politique eugéniste ex : perfectionner la race allemande, l’aryenne création des « Lebensborn « maisons dans lesquelles se retrouvaient des parfaits aryens hommes et femmes pour se reproduire => régénérer la race « allemande « .Les enfants issus de ces Lebensborn ont un problème d’identité, ils se sentent conçus dans un but politique, non le fruit d’un amour. Pas de relation humaine sociale mais le fruit d’une expérience. Ce n’est pas non plus au hasard, une ambition politique a présidé leur naissance, idéologique et raciste. Il s’agissait juste d’améliorer la race, ils étaient désirés comme des choses

ð  Ces gens ont alors été dépossédés de leur naissance

Cet eugénisme est alors totalitaire. Mais => aussi un eugénisme libéral (réf : L’avenir de la nature humaine, Habermas en 2002) 

« vivre, donc avortement sous X (examens prénatales).

On les aurait sélectionnés puisqu’on aura exclu les malades (forme de Darwinisme) => sélectionné certaine caractéristiques avec don de spermes différents diagnostic prénatal pour sélectionner certaine qualités. La réflexion d’Habermas est de se demander, par la réflexion philosophique ce que signifie pour un individu d’avoir et de savoir programmer dans son corps, la volonté d’un autre.

De plus, il se demande vers quels types de société s’acheminerait-on si les membres de cette societe étaient programmez par le désir des autres. II- L’intention des parents inscrits dans le corps des enfants : Que signifieraient pour un enfant de savoir que ses parents ont décide ce qu’il soit ? L’impression d’être l’enfant parfait choisi par ses parents.

Habermas commence par anticiper un possible objectif visant à défendre l’eugénisme libéral.

Elle consiste à dire que les parents choisissant l’éducation de leur enfants, ils pouvaient les déterminer génétiquement.

Habermas répond que l’éducation est un devoir et non un droit, il récuse ce parallèle entre bio et éducation.

Déterminer génétiquement serait comme « passer commande ».

Apres commande on possède or les parents ne peuvent être considère comme propriétaire de leurs enfants.

De plus, nul ne reste prisonnier de son éducation et le but d’une bonne éducation est de rendre l’enfant libre et autonome or e programmer génétiquement consiste à définir en lui ses propres désirs.

Cela serait aussi agir sur son enfant dans son fondement, alors que l’éducation agit vers le futur, sur l’adulte à venir.

Le rapporte Ets inverse.

L’enfant n’est pas la chose de ses parents, il est le destinataire d’un projet d’éducation. III- Problème d’ordre politique et moral : La relation morale d’après Habermas est une relation de personne a personne (Je > tu, vous), elle obéit a ce schéma, le « tu » n’es pas considère comme une chose. (Utilisation de la 3 ème pers.

=> condescendance « relation épidermique » ).

La langue est a cet égard révélatrice, le « tu » es le symétrique du « je » .Je m’adresse a l’autre comme a moi-même « alter ego ».

D’âpres Habermas faire un projet en l’insérant dans le Corp.

même de l’enfant serait s’adresser a l’enfant comme a un tiers.

Enfant simple désir du parent--> « Comment être une personne avec le désir de quelqu'un d’autre ? ».

Dans une relation humaine normale rapport. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles