La roussette

« document de référence.

L'étude des annexes embryonnaires valide totalement l'arbre phylogénétique de référence.

Document 3 Le document 3 est une comparaison au niveau moléculaire.

L'hémoglobine α est constit uée par une séquence d'acides aminés.

Quand on compare ces séquences, on constate des points communs (tirets) et des différences (changement de lettres).

Le tableau des pourcentages des différences, construit à partir de la comparaison des séquences d'hémo globines, montre que l'homme a moins de différences avec la roussette (9,93%) qu'avec le coq (29,79%) ou la carpe (52,11%).

Les similitudes entre les séquences d'acides aminés conduisent à la notion d'homologie.

Ces séquences dérivent d'une molécule ancest rale appartenant à un ancêtre commun aux espèces.

Moins il y a de différences entre les séquences de deux molécules homologues, plus les espèces qui les possèdent ont une parenté proche.

Ce document confirme bien la chronologie de la parenté donnée par le document de référence : l'homme est plus proche parent de la roussette puis vient le coq et enfin la carpe.

Conclusion Les données anatomiques, embryologiques et moléculaires valident à chaque fois l'arbre phylogénétique proposé en document de référence.

L 'homme est plus proche parent de la roussette et partage un ancêtre commun plus proche (3), puis vient le coq qui partage avec l'homme et la roussette, l'ancêtre commun (2) et enfin la carpe qui partage l'ancêtre commun (1) aux 4 vertébrés.. »