La transmission du message nociceptif
Publié le 12/05/2012
Extrait du document
· le système nerveux est constitué : - du système nerveux central (encéphale plus moelle épinière). - système nerveux périphériques (les nerfs).
· tissu nerveux ensemble des cellules nerveuses, cellules spécialisée : les neurones.
· neurones : corps cellulaire avec noyau et deux types de prolongement (dendrites : arborisation autour du corps cellulaire et les axones : arborisation terminale).
· les neurones émettent et transmettent le message nerveux.
· schéma du neurone
«
• elles agissent au niveau de la corne dorsale de la moelle épinière et ont le même mode d'action.
• elles interviennent au niveau des neurones nociceptif.
Elles sont libérées par des
inter-neurones spécialisés, au niveau d'une synapse.
• Elle se fix e sur des récepteurs spécialisés de la membrane des neurones post synaptiques.
La
morphine fait de même.
Ces récepteurs sont des récepteurs opioïdes.
• la fixation des enképhalines entraine une inhibition de la transmission du MNN : moins de
potentiel d'action dans le neurone post synaptique que pré synaptique : analgésie.
• action inhibitrice post synaptique.
Au niveau de la moelle épinière, aucun effet de dépendance.
Action sur les centres cérébraux du plaisir :
1) action des enképhalines sur le circuit de récompense :
• les enképhalines sont en relation avec les neurones du circuit de la récompense dont la
stimulation entraîne une sensation de plaisir.
• le neurotransmetteur à dopamine intervient dans la sensation du plaisir, elles sont normalement
inhibées par les inter-neurones à Gaba.
Ils ont des récepteurs à opioïdes.
Les enképhalines, en
se fixant sur ces récepteurs, entraîne une inhibition des gaba qui provoquent la levée
d'inhibition sur les neurones à dopamine : grande libération de dopamine : sensation de plaisir.
• circuit de la récompense
2) action de la morphine :
• la morphine a les mêmes réactions que les enképhalines.
• l'héroïne, quant à elle, se décompose en molécules de morphines et a donc le même effet.
Les mécanismes de la dépendance à une drogue :
• l'héroïne s'injecte par intraveineuse et a un effet plus rapide que la morphine.
Toutefois, la
sensation est éphémère donc cela est dangereux car la prise est répétée ; c'est la toxicomanie.
1) tolérance et dépendance à une drogue :
• la prise de morphine ou d'héroïne de façon répétée engendre la tolérance.
• Augmenter toujours la dose, l e nombre de prises pour avoir t oujours le même effet est la
dépendance.
2) le sevrage :
L'arrêt de toute prise de drogue nécessite la mise en place d'un protocole par diminution progressive
des doses ou par prises de molécules de substitution..
»
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