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les mousses et leurs proches cousines les hépatiques (Exposé – SVT – Collège/Lycée)

Publié le 12/05/2016

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Recherche documentaire, Pistes de travail & Axes de recherches pour exposé scolaire (TPE – EPI)

Comprenant près de 9000 espèces, ce groupe est traditionnellement divisé en deux sous-ensembles selon l'aspect extérieur que prend le gamétophyte. L'ordre des Marchantiales, ou hépatiques à thalle, doit son nom aux marchanties. La marchantie polymorphe est une espèce courante en Europe, qui colonise le sol humide des chemins forestiers ou des abords des mares et des abreuvoirs. Ses lames vertes et épaisses, pouvant passer pour les feuilles d'une plante grasse, sont mêlées à des chapeaux lobés produisant des gamètes mâles, ou bien à des ombelles découpées abritant les gamètes femelles. Les marchanties sont unisexuées et chaque plante ne porte que des organes mâles ou des organes femelles.

 

L'ordre des Jungermanniales, ou hépatiques à feuilles, rassemble la majorité des espèces de la classe. Malgré leur nom, elles incluent certaines espèces comme les Pellia qui ressemblent extérieurement beaucoup aux hépatiques à thalle. D'autres genres, comme les Calobruum ou les Frullania, les plus nombreux, se rapprochent de l'aspect des mousses vraies par l'apparition de tiges sur lesquelles s'étagent de petites feuilles arrondies.

 

La classe des Bryales

rassemble environ 300 espèces répandues dans le monde entier. Elles se caractérisent par leur étroite dépendance envers les milieux humides acides. Les sphaignes ont la particularité d'atteindre un âge très avancé, conséquence de leur type de croissance. Elles grandissent en effet par le sommet des tiges, alors que la base privée de lumière meurt, renouvelant sans cesse leur système végétatif. Elles constituent ainsi des tourbières bombées, par l'accumulation et la très lente décomposition de leurs parties mortes.

 

L'ordre des Eubryales, avec 14000 espèces, rassemble la grande majorité des mousses, tous groupes confondus. Elles se caractérisent par leurs tiges généralement dressées, pouvant être ramifiées, qui portent de petites feuilles toutes semblables souvent arrangées sur trois rangs.

Les mousses vraies qui constituent ce groupe sont de loin les plus nombreuses, avec environ 14500 espèces. C'est aux formes de ce groupe que nous pensons en général quand nous parlons des mousses, car elles sont les plus répandues et les plus visibles.

 

L'ordre des Andréales se limite à 120 espèces environ, aux caractères primitifs, qui peuplent les régions froides du globe. Elles ne développent en effet leurs petits coussinets brun noirâtre que sur les rochers acides des hautes montagnes, ou dans les régions polaires. L'ordre des Sphagnales

chez les autres mousses, de leur cycle de reproduction.

 

La classe des Hépatiques_

parmi les plus connues, s'installant sur les rochers, le faîtage des murs ou les toits. D'autres, au contraire, notamment dans les sous-bois, ont un port très lâche avec des tiges molles et élevées. Les Hypnum sont les plus répandues de ces mousses dans nos régions. L’espèce Hypnum splendens est particulièrement remarquable par sa végétation étagée,recouvrant le sol d'une couche moelleuse. Chaque année un nouveau rameau se développe sur les flancs du précédent, donnant un grand moelleux au tapis qui se développe ainsi en hauteur.

 

L'âge de la plante peut être facilement évaluée, avec autant d’étages qu'elle compte d'années.

 

Au confluent de ces deux formes extrêmes, la mousse typique, représentée jusque dans les jardins par le polytric commun, forme un tapis dense mais moelleux de tiges dressées s'appuyant les unes sur les autres. La palme de l'élégance revient chez les mousses aux espèces vivant dans les eaux douces, appartenant au genre Fontinalis Fixées au fond par leurs

poils-crampons, elles déploient dans le courant leurs tiges molles au feuillage léger et translucide.

 

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Les mousses comptent peu dans la vie des hommes, malgré leur relative importance numérique. Il est vrai qu'elles n'ont pratiquement aucun intérêt alimentaire ou médicinal, contrairement aux algues, aux lichens ou aux fougères. Aussi aucune espèce de mousse n'a jamais été domestiquée, c'est à dire n'a jamais connu l'apparition de variétés très modifiées par la culture pour accentuer un ou

Ces mousses sont très répandues sur les sols des forêts ou des prairies, sur les écorces, les rochers, les murs et les toits. Elles vivent rarement immergées dans les eaux douces, bien qu'elles aient toujours besoin d'une certaine humidité. Des espèces adaptées à des milieux assez arides, comme les troncs d'arbre, les rochers exposés aux vents ou les toits, peuvent supporter des mois, voire des années, de sécheresse en entrant en vie ralentie après s'être desséchées.

 

Certaines de ces mousses ont un port caractéristique en coussinet, leurs petites tiges serrées les unes contre les autres. Ceux du genre Bryum sont

bombés au pied des arbres, sert lui à décorer le socle des compositions florales. Une espèce commune dans les bois, l'Hypnum Iriquetrum, sert fréquemment à envelopper les racines des plants à racines nues, permettant leur transport dans de bonnes condition. Elle est connue pour cette raison sous le nom commun de mousse des jardiniers. Le ramassage intensif et excessif de ces mousses dans la nature, bois et forêts autour des villes, pour satisfaire la demande des fleuristes ou des pépiniéristes peut appauvrir considérablement ces milieux surexploités.

 

Les sphaignes sont également précieuses pour les jardiniers, la tourbe qu'elles produisent représentant une véritable éponge végétale qui permet de garder longtemps de la fraîcheur dans les terres auxquelles elle a été mélangée. Cette capacité extraordinaire a récemment retenu l'attention des industriels de la cellulose. Ils en introduisent dans la fabrication des serviettes périodiques, augmentant ainsi considérablement leur capacité d'absorption. Mais la nature y perd au change. Les tourbières qui ne croissent au mieux que de quelques millimètres par an sont détruites par une exploitation à grande échelle qui excède très largement leur capacité à se reconstituer naturellement, sans parler du drainage pour leur mise en culture.

 

Au jardin, les mousses sont considérées comme des gêneuses. Les traités de jardinage n'en parlent guère que pour donner des recettes pour en débarrasser la pelouse, les murs ou les toits. La nature a horreur des surfaces nues et les mousses ne font que remplir le rôle qui leur est assigné : les recouvrir en pionnières. Mais notre sensibilité occidentale est ainsi conditionnée que des plaques de mousse dans l'herbe ou sur des pierres sont considérées comme inesthétiques. Fort heureusement, cette vision des choses n'est pas partagée par tout le monde. Les japonais en particulier utilisent depuis longtemps les mousses comme un élément important de décoration de leurs jardins, auxquels elles apportent une touche 

« gamétophytes.

Les petites poivrières qui se dressent sur les mousses à certaines périodes de l'année con­ tiennent les spores qui seront répan­ dues dans l'atmosphère quand elles seront mûres, transportées par le vent et parfois par les eaux de ruissellement.

Elles iront germer un peu plus loin, voire très loin si le vent les emporte à haute altitude, gage de la pérennité de l'espèce.

Si les spores, à n chromosomes, sont produites sans fécondation , il n'en est pas de même de l'œuf qui donnera naissance au sporophyte.

La plante doit produire alors des gamètes mâles et des gamètes femelles qui sont obligés de se rencontrer pour fusionner avant de pouvoir donner naissance à un sporophyte.

C'est le talon d'Achille des mousses, qui les empêche de s'affranchir des milieux humides au moins une partie de l'année .

Au sommet des tiges du gamétophyte apparaissent des organes mâles et femelles de reproduction.

Chez certaines mousses, les tiges ou les thalles sont unisexués, ne produisant que des gamètes d'un seul sexe.

Chez d'autres, chaque tige peut produire des gamètes des deux sexes.

Le gamète femelle n'est pas libre.

C'est au gamète mâle, muni d'un flagelle pour se déplacer, qu'incombe la charge de nager jusqu'à l'œuf.

Cette nage obligatoire rend les mousses tributaire d'un film d'eau recouvrant les plantes, qui seul rend possible la fécondation.

Aussi dépendent-elles de pluies ou de brouillards importants pour pouvoir boucler leur cycle.

~œuf fécondé germe sur place et produit le sporophyte, alimenté en nutriments par le gamétophyte auquel il reste attaché.

LES GRANDES FAMILLES DE MOUSSES ET HÉPATIQUES LA CLASSE DES ANTHOCÉROTES Très primitives d'aspect, comme nous l'avons vu plus haut, les Anthocérotes ne regroupent que 300 espèces environ.

Elles se rencontrent dans les milieux humides , au bord des fossés ou sur la terre nue des champs où elles peuvent rapidement prospérer.

Lors de périodes trop sèches ou trop froides, le thalle meurt.

Mais de petits tubercules survivent en vie ralentie.

Dès que les conditions favorables sont revenues, ils se développent à nouveau.

Les Anthocérotes peuvent être considérées comme des fossiles vivants, derniers représentantes d'un chaînon reliant les algues, dont elles possèdent l'organisation très primitive, et les fougères, dont elles se rapprochent par des caractères, plus évolués que chez les autres mousses, de leur cycle de reproduction.

LA CLASSE DES H~PATIQUES Comprenant près de 9 ooo espèces, ce groupe est traditionnellement divisé en deux sous-ensembles selon l'aspect extérieur que prend le gamétophyte.

~ordre des Marchantiales, ou hépatiques à thalle, doit son nom aux marchanties.

La marchantie polymorphe est une espèce courante en Europe, qui colonise le sol humide des chemins forestiers ou des abords des mares et des abreuvoirs.

Ses lames vertes et épaisses, pouvant passer pour les feuilles d'une plante grasse, sont mêlées à des chapeaux lobés produisant des gamètes mâles, ou bien à des ombelles découpées abritant les gamètes femelles.

Les marchanties sont unisexuées et chaque plante ne porte que des organes mâles ou des organes femelles.

~ordre des Jungermanniales , ou hépatique s à feuilles, rassemble la majorité des espèces de la classe.

Malgré leur nom , elles incluent certaines espèces comme les Pellia qui ressemblent extérieurement beaucoup aux hépatiques à thalle .

D'autre s genres, comme les Calobruum ou les Frullania, les plus nombreux, se rapprochent de l'aspect des mousses vraies par l'apparition de tiges sur lesquelles s'étagent de petites feuilles arrondies.

LA CLASSE DES BRYALES Les mousses vraies qui constituent ce groupe sont de loin les plus nombreuses, avec environ 14 500 espèces.

C'est aux formes de ce groupe que nous pensons en général quand nous parlons des mousses, car elles sont les plus répandues et les·plus visibles.

~ordre des And réales se limite à 120 espèces environ, aux caractères primitifs, qui peuplent les régions froides du globe.

Elles ne développent en effet leurs petits coussinets brun noirâtre que sur les rochers acides des hautes montagnes, ou dans les région s polaires.

~ordre des Sphagnales rassemble environ 300 espèces répandues dans le monde entier.

Elles se caractérisent par leur étroite dépendance envers les milieux humides acides.

Les sphaignes ont la particularité d'atteindre un âge très avancé, conséquence de leur type de croissance.

Elles grandissent en effet par le sommet des tiges, alors que la base privée de lumière meurt, renouvelant sans cesse leur système végétatif.

Elles constituent ainsi des tourbières bombées, par l'accumulation et la très lente décomposition de leurs parties mortes.

~ordre des Eubryales, avec 14000 espèces, rassemble la grande majorité des mousses, tous groupes confondus.

Elles se caractérisent par leurs tiges généralement dressées , pouvant être ramifiées, qui portent de petites féuilles toutes semblables souvent arrangées sur trois rangs.

Ces mousses sont très répandues sur les sols des forêts ou des prairies, sur les écorces, les rochers , les murs et les toits.

Elles vivent rarement immergées dans les eaux douces, bien qu'elles aient toujours besoin d'une certaine humidité .

Des espèces adaptées à des milieux assez arides, comme les troncs d'arbre , les rochers exposés aux vents ou les toits , peuvent supporter des mois , voire des années, de sécheresse en entrant en vie ralentie après s'être desséchées.

Certaines de ces mousses ont un port caractéristique en coussine~ leurs petites tiges serrées les unes contre les autres.

Ceux du genre Bryum sont parmi les plus connues, s'installant sur les rochers, le faîtage des murs ou les toits.

D'autres , au contraire, notamment dans les sous-bois, ont un port très lâche avec des tiges molles et élevées.

Les Hypnum sont les plus répandues • .,., ...

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de ces mousses dans nos régions .

~espèce Hypnum splendens est particulièrement remarquable par sa végétation étagée, recouvrant le sol d'une plusieurs caractères utiles à l'homme.

Tout au plus ont-elles chez nous un rôle traditionnel pour décorer ou maintenir au frais le pied de certaines plantes en pot ou en bouquet.

Le Leucobryum glaucum , qui forme de gros coussinets bombés au pied des arbres, sert lui à décorer le socle des compositions florales.

Une espèce commune dans les bois, I'Hypnum triquetrum, sert fréquemment à envelopper les racines des plants à racines nues , permettant leur transport dans de bonnes condition.

Elle est connue pour cette raison sous le nom commun de mousse des jardiniers.

Le ramassage intensif et excessif de ces mousses dans la nature, bois et forêts autour des villes, pour satisfaire la demande des fleuristes ou des pépiniéristes peut appauvrir considérablement ces milieux surexploités.

Les sphaignes sont également précieuses pour les jardiniers, la tourbe qu'elles produisent représentant une véritable éponge végétale qui permet de garder longtemps de la fraîcheur dans les terres auxquelles elle a été mélangée.

Cette capacité extraordinaire a récemment retenu l'attention des industriels de la cellulose.

Ils en couche moelleuse.

introduisent dans la fabrication des Chaque année un nouveau rameau se développe sur les flancs du précédent, donnant un grand moelleux au tapis qui se développe ainsi en hauteur .

~âge de la plante peut être facilement évaluée , avec autant d'étages qu'elle compte d'années.

Au confluent de ces deux formes extrêmes, la mousse typique, représentée jusque dans les jardins par le polytric commun , forme un tapis dense mais moelleux de tiges dressées s'appuyant les unes sur les autres.

la palme de l'élégance revient chez les mousses aux espèces vivant dans les eaux douces, appartenant au genre Fontinalis.

Fixées au fond par leurs poils-crampons, elles déploient dans le courant leurs tiges molles au feuillage léger et translucide.

l 'HOMME ET LES MOUSSES Les mousses comptent peu dans la vie des hommes , malgré leur relative importance numérique .

Il est vrai qu'elles n'ont pratiquement aucun intérêt alimentaire ou médicinal, contrairement aux algues, aux lichens ou aux fougères.

Aussi aucune espèce de mousse n'a jamais été domestiquée, c'est à dire n 'a jamais connu l'apparition de variétés très modifiées par la culture pour accentuer un ou serviettes périodiques, augmentant ainsi considérablement leur capacité d'absorption.

Mais la nature y perd au change.

Les tourbières qui ne croissent au mieux que de quelques millimètres par an sont détruites par une exploitation à grande échelle qui excède très largement leur capacité à se reconstituer naturellement, sans parler du drainage pour leur mise en culture .

Au jardin, les mousses sont considérées comme des gêneuses .

Les traités de jardinage n'en parlent guère que pour donner des recettes pour en débarrasser la pelouse, les murs ou les toits.

La nature a horreur des surfaces nues et les mousses ne font que remplir le rôle qui leur est assigné : les recouvrir en pionnières.

Mais notre sensibilité occidentale est ainsi conditionnée que des plaques de mousse dans l 'herbe ou sur des pierres sont considérées comme inesthétiques .

Fort heureusement, cette vision des choses n'est pas partagée par tout le monde .

Les japonais en particulier utilisent depuis longtemps les mousses comme un élément important de décoration de leurs jardins, auxquels elles apportent une touche d'originalité et un charme indéniable.

Certains jardins anciens sont célèbres pour leurs tapis verdoyants de mousses, comme celui du temple zen Saiho-ji de Kyoto, construit au XVI' siècle.

Ce dernier est d'ailleurs plus connu sous le nom de « Temple des mousses ».

Les mousses les plus intéressantes pour le jardin, d'après les usages japonais, sont très diverses .

~hépatique à monnaie (Marchantia tosana) aime l'humidité et la chaleur.

La mousse des bois , ou polytric, rassemble diverses espèces qui toutes conviennent à la décoration des jardins japonais (Polytricum sp.).

Parmi les mousses en coussine~ Leucabryum scabrum et Leucabryum bowringii sont les plus appréciées .

Enfin la mousse pleurocarpe, Hylocamium splendens, est remar­ quable par ses rameaux rappelant les arbres d'une forêt.

Ses tapis denses et enchevêtrés sont du plus bel effet.

La tradition moderne des jardins nippons reste fidèle aux mousses, irremplaçables pour aménager les minuscules jardins d'un pays où le moindre espace est compté.

En Europe, cette nouvelle vision des mousses au jardin commence à s 'implanter.

Le jardin de Cligendael à Wassenaar aux Pays-Bas reprend cette tradition extrême-orientale et permet de se rendre compte de la beauté que les mousses peuvent apporter à un coin du jardin.

La culture des mousses ne pose pas de problème particulier, mais demande de la patience.

Les spores circulent dans l'air et une pierre, un tronc, une souche, situés dans un endroit humide et ombragé sont colonisés naturel­ lement en quelques années.

Une aide peut être apportée à la nature en étalant de petits morceaux de mousse, brins entiers ou fragments de coussine~ sur de la terre ou du sable nus et bien tassés.

Après quelques jours, si on a pris soin de les arroser régulièrement pour éviter le dessèchement, les brins auront développé des poils rhizoïdes et des sortes de bourgeons qui donneront de nouveaux brins par voie végétative.

En quelques mois, la place est occupée.

La survie des mousses dépend essentiellement de l'humidité atmosphérique.

Si le jardin de mousse est installé dans un endroit ensoleillé, venteux, favorisant l'assèchement de l'air, il faut prévoir un arrosage fréquent par brumisation.

À l'ombre , à une orientation ouest ou nord-ouest, la mousse trouve sous nos climats les conditions idéales pour se développer sans intervention du jardinier.

Un ensoleillement raisonnable n 'est pas une mauvaise chose.

Trop à l'ombre , elle pousse beaucoup moins vite.

Mais elle craint terriblement les changements brusques d'éclairage .

En revanche , pour résister à la concurrence des plantes vasculaires, la mousse a besoin d'être protégée par le jardinier.

Le meilleur outil de désherbage est la main : douceur et précision irremplaçables.

Les Japonais ont mis au point de petits outils qui ne sont indispensables que pour l'entretien de grandes surfaces en mousses.. »

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