Les zones de collision

« Les zones de collision exemple des Alpes. Définir en introduction le terme de « collision » : dans un contexte de convergence, après disparition de la lithosphère océanique, deux lithosphères continentales peuvent s’affronter.

Ce phénomène est appelé collision.

Il est à l’origine de la formation d’une chaîne de montagnes ou orogénèse. Construction scientifique logique par rapport au sujet – Complétude des idées clés : Des reliefs observables sur le terrain. Des reliefs observables en profondeur. De reliefs qui s’expliquent par des mouvements des plaques lithosphériques, notamment des mouvements de convergence. Connaissances complètes et exactes, les arguments sont exacts et suffisants : Les connaissances associées aux idées clés sont présentes : 1)A l’échelle de l’affleurement, on recenses des failles inverses (déformations cassantes) et des plissements (déformations souples ou ductiles), qui correspondent à une diminution de la surface et à une augmentation d’épaisseur.La faille du Pas-Guiguet à Saint-Eynard et le pli de Sassenage + rajouter des mesures obtenues à suite de l’ECE : « Déformations tectoniques dans les Alpes ».Des structures à plus grande échelle (échelle kilométrique à échelle régionale), plis faillés, chevauchements ou nappes de charriage empilées les uns sur les autres témoignent de mouvements horizontaux de grande amplitude.Schéma du Front Pennique ou Chevauchement Pennique Frontal, dans le paysage du col du Lautaret dans les Alpes + exemple de la nappe de Glaris dans les Alpes Suisses. 2) Les images de sismique-réflexion montrent la présence d’une racine crustale à l’aplomb d’une chaîne de montagnes.

Cet épaississement de la croûte est lié à la superposition d’écailles de croûtes les unes sur les autres.Profil ECORS avec la position du MOHO pouvant atteindre 100 Km sous les reliefs attestant d’une racine crustale avec l’empilement d’écailles crustales visibles. 3) Les observations sur le terrain et.... »