Art
Publié le 07/12/2012
Extrait du document
«
ensuite développ é au cours du 2 è me
& 3 è me
si ècles : une tombe a été identifi ée comme étant celle de St Pierre (tout
au moins les chr
étiens le croyaient à cette époque). La relique devient un objet de v énération pour les croyants. La
basilique est implant
ée au niveau des tombeaux, elle est construite au dessus de terrain mar écageux, ils servent
de caisson de fondation de la tombe de St Pierre.
Le premier caract
ère de la Basilique = occident ée (cœur vers l’ouest), les fondations constantiniennes sont sur
l’axe est / ouest (
≠ certaines orient ées à l’est : pas d’explications suffisantes).
Basilique : 122m de long & 66m de large. 5 nefs d
élimit ées par une nef transversale (= le transept). La nef lat érale
est s
épar ée des arcades. Pour ce qui est de la composition d’ensemble, tout m ène la pens ée du croyant dans l’axe
de la relique (colonnes ; horizontalit
é ; placement de la porte etc.) La nef centrale est plus haute que les
autres dans un int
érêt de lumi ère : de petites fen êtres sont mit au sommet des murs afin de laisser passer le plus
possible de lumi
ère (+ toit fait en charpente = plus l égère pour mettre des fen êtres). Lumi ère pour le chr étien =
image divine.
Relique du martyre = m
émoria (donc souvenir en grec) / confession.
Ce dernier est mis en sc ène dans un
parall
élépip ède en marbre, entour é de colonnes torses, & prot égé par une barri ère de parcelle.
Au d
épart, le c élébrant (= Pr être qui c élèbre la messe ) officiait sur une table face aux fid èles qui participaient
visuellement au sacrifice (l’autel se trouvait dans l’abside), g
énéralement il était occident é vers Rome, mais tr ès
rapidement cet autel fut sur
élev é au dessus d’une confession ( = Caveau fun éraire contenant le corps d'un martyr
audessus duquel s'
élevait un autel. (Il était interdit aux fid èles, qui pouvaient cependant voir le tombeau à travers
une petite ouverture dite fenestra ou fenestella.
) pour abriter le corps du saint comme St Pierre au VII
ème si ècle.
C’est dans le domaine religieux que la transformation est la plus radicale & qui fait la principale la mise en
évidence
de la rupture avec le monde antique. Constantin est le r
évélateur car il transforme les rapports d’Etat avec cette
nouvelle religion qui s’impose en Orient – Occident. Tol
éré dans un premier temps, l’Eglise fut vite privil égiée par
l’adh
ésion croissante du peuple. Cette nouvelle religion s’int ègre peu à peu dans la tradition romaine, m ême si il lui
fallu attendre 2 si
ècles pour être reconnu.
La reconnaissance du christ à eu un impacte imm édiat : celle de
l’
élaboration de monuments destin és à accueillir une foule de fid èles. A la diff érence pa ïenne, les laudateurs ne
mettent pas une statue de leur Dieu, mais font l’eccl
ésia en communaut é, d’o ù l’importance d’un édifice.
L’empire a eu une place dans les affaires religieuses : l’Empereur prend place dans la conception & la r
éalisation
des
édifices religieux. En 324, Constantin fonda la premi ère cath édrale ainsi que 5 églises martyrologiques (dont St
Pierre). Il se chargea de trouver le terrain ; assurer le financement ; & de se pr
éoccupa dd l’entretient, ainsi il prit
une part d
écisive dans l’ élaboration des diff érents partis architecturaux. .
»
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