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Excipit de « L'Etranger » de Camus (lecture analytique)

Publié le 15/11/2011

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* « privilégies « : Meursault utilise des termes religieux. On retrouve un cham lexical de la religion : « destin « ; « élire « ; « frères «.     La mort est un destin qui élit des privilégiés. Meursault croit en l’homme et non pas en Dieu.  La paix salvatrice  * L’accès à une nouvelle conscience  * Meursault semble renaître. « Pour la première fois depuis longtemps, j’ai pensé à maman «. il se compare à sa mère.  * « Moi aussi, je me sentais près à tout revivre « : Référence à la mère. Elle était heureuse et avait même un amoureux.  Le roman se termine sur la mort. Meursault n’en a pas peur. Elle fait partie de la vie.  * La possibilité du bonheur  Meursault devient libre. Il sait quand il va mourir. Il ne se demande pas « Vais-je mourir dans une semaine ? «.

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« sommes tous pareil. * La mort comme un gage de la valeur de la vie * « Rien n'a d'importance » : résonne comme la morale du discours de Meursault à l'aumônier. * Récurrence du verbe « importait ».

Meursault perd toute illusion de vie : « Je tenais cette vérité comme elle metenait » * Meursault refuse la religion, elle n'a pas de valeur. * « justifié » : Meursault veut prouver par son exécution qu'il est bel et bien humain.

Il est jugé car il est considérécomme un homme. * « privilégies » : Meursault utilise des termes religieux.

On retrouve un cham lexical de la religion : « destin » ;« élire » ; « frères ».

La mort est un destin qui élit des privilégiés.

Meursault croit en l'homme et non pas en Dieu.La paix salvatrice* L'accès à une nouvelle conscience* Meursault semble renaître.

« Pour la première fois depuis longtemps, j'ai pensé à maman ».

il se compare à samère.* « Moi aussi, je me sentais près à tout revivre » : Référence à la mère.

Elle était heureuse et avait même unamoureux.Le roman se termine sur la mort.

Meursault n'en a pas peur.

Elle fait partie de la vie.* La possibilité du bonheurMeursault devient libre.

Il sait quand il va mourir.

Il ne se demande pas « Vais-je mourir dans une semaine ? ».Meursault se réjouit que sa mère ait trouvé le bonheur avant de mourir.

Il comprend pourquoi elle a choisi un fiancéà la fin de sa vie, parce qu'il se sent revivre, évoque la possibilité du bonheur qui arrive.

Trait commun entre la mèreet le fils, tous deux trouvent bonheur et libération, sur la fin de leur vie.« Il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avecdes cris de haine » Par cette phrase, Meursault revendique son humanité.* Un attachement à la vie* A la fin, Meursault jouit des plaisirs que la nuit lui offre.* Meursault accepte de mourir mais reste attaché à la vie (attachement sensuel).

Après son court sommeil ; ilredécouvre la vie, c'est comme une petite mort.* Champ lexical de la nuit paisible « Bruits de campagne » ; « odeur de nuit » ; « étoile » ; « trêve » Meursault semble redécouvrir le monde.

La nature l'apaise et le console. * Cet extrait présente de la poésie : « Des odeurs rafraîchissaient mes tempes » => Synesthésies (correspondancesfaites entre les sens par Baudelaire ».

Alors que Meursault est enfermé, il semble enfin libre.Meursault est un mélange de stoïcisme et d'épicurisme.CONCLUSIONCamus écrit : « La mort ! A continuer ainsi je finirai bien par mourir heureux ».

Il fait un parallèle entre lui etMeursault. Camus : « Pessimiste quand à la condition humaine, optimiste quant à l'Homme ».A travers la révolte, la violent, la colère, Meursault découvre sa condition et refuse tout espoir.

Il se retrouve faceà la mort, seul.

Le salut, Meursault le trouve dans les deux postures grecques, le stoïcisme et l'épicurisme.Dans l'extrait (2°partie) on retrouve du lyrisme.

C'est le dernier cri de cet homme.

Il résonne comme un cri d'amouret de vie.. »

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