Pechiney Ugine Kuhlmann

« noire, au Canada et en Amerique latine.

En URSS, le groupe dolt construire, dans le cadre d'un contrat de 6 milliards de francs, deux fabriques d'alumine et d'alu- minium d'une capacite d'un million et de 500 000 tonnes par an, payables en partie sous forme de !ingots d'alu- minium. 4 La politique industrielle de PUK consists a se tenir egale distance des activitds d'amont et d'aval :les premieres (mines) parce qu'elles consomment trop de capitaux, lessecondes (produitsfinis)parce qu'elles sont unesource d'instabilite. PUK portsainsises efforts sur les actIvItes de transformation en accentuant son caractere multinational et en s'associant a de grands groupes strangers (comme BASF en Belgique et Amax aux Etats-Unis). 5 La menaoe de nationalisation contenue dans Is pro- gramme commun de Ia gauche a peso un temps sur les cours de l'action PUK, macs Is groupe n'en a pas moans finance aisement ses Important Investissements en limitant son endettement a terms a 40 Vo de son capital permanent (dont 30 Vo en devises).

En 1973, plus de 80 % des Investissements ont etefinances par les fonds propres de Ia societe. 6 PUK, qui consomme annuellement quelque 6 millions de tonnes de bauxite, a conciu un accord avec la societe canadienne Alcan pour Ia production d'alumine a partir d'argdies et de schistes, mineraux tree abondants et tree repandus, dont Ia mice en valour annoncerait un nou- veau developpement de ('aluminium. noire, au Canada et en Amérique latine.

En URSS, le groupe doit construire, dans le cadre d'un contrat de 6 milliards de francs, deux fabriques d'alumine et d'alu­ minium d'une capacité d'un million et de 500 000 tonnes par an, payables en partie sous forme de lingots d'alu­ minium.

4 La politique industrielle de PUK consiste à se tenir à égale distance des activités d'amont et d'aval : les premières (mines) parce qu'elles consomment trop de capitaux, les secondes (produits finis) parce qu'elles sont une source d'instabilité.

PUK porte ainsi ses efforts sur les activités de transformation en accentuant son caractère multinational et en s'associant à de grands groupes étrangers (comme BASF en Belgique et Amax aux États-Unis).

5 La menace de nationalisation contenue dans le pro­ gramme commun de la gauche a pesé un temps sur les cours de l'action PUK, mais le groupe n'en a pas moins financé aisément ses importants Investissements en limitant son endettement à terme à 40% de son capital permanent (dont 30% en devises). En 1973, plus de 80% des investissements ont été financés par les fonds propres de la société.

6 PUK, qui consomme annuellement quelque 6 millions de tonnes de bauxite, a conclu un accord avec la société canadienne Alcan pour la production d'alumine à partir d'argiles et de schistes, minéraux très abondants et très répandus, dont la mise en valeur annoncerait un nou­ veau développement de l'aluminium.. »