LA PHILOSOPHIE DE LA FONTAINE
Publié le 27/02/2011
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Terme un peu important peut-être, car il s'agit d'un artiste plus épris de rêverie et de fantaisie que de pensée pure. Pourtant, il y a une « pensée « et une morale de La Fontaine. Nous distinguerons deux parties dans cette étude: I. L'intérêt philosophique des Fables. II. La morale de La Fontaine, surtout.
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- « Les Fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste du vieillard, que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant », écrit, en 1849, Lamartine dans la préface à la réédition de ses Premières méditations. Vous commenterez ce jugement en vous appuyant sur les fables que vous avez étudiées. ?
- La Fontaine avait beaucoup de goût pour les lectures et discussions philosophiques. Il lisait, s'il faut l'en croire, Platon; il discutait le système de Descartes; il s'engouait, grâce à son ami Bernier, de la philosophie de Gassendi, etc. Dans quelle mesure, selon vous, peut-on trouver dans les Fables un intérêt philosophique ?
- Lamartine écrit dans la Préface de ses Méditations (1849) : « Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste d'un vieillard, que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant : c'est du fiel, ce n'est pas du lait pour les lèvres et pour les coeurs de cet âge. »
- La philosophie et la science dans les fables de LA FONTAINE
- L'oisiveté est la mère de la philosophie (Hobbes)