Aimer lire..., ne plus aimer penser ?
Publié le 22/03/2011
Extrait du document
Diderot écrit : « J'aime éperdument à lire, c'est vous dire nettement que je n'aime plus à penser. « En prenant appui sur votre propre expérience de lecteur, vous commenterez, et discuterez si vous le jugez nécessaire, cette affirmation.
Liens utiles
- Pour bien penser faut il ne rien aimer
- Pour bien penser faut-il ne rien aimer ?
- «J'aime lire comme lit une concierge : m'identifier à l'auteur et au livre. Toute autre attitude me fait penser au dépeceur de cadavres, écrit Cioran dans De l'inconvénient d'être né (1988). Vous commenterez cette réflexion en vous appuyant sur des exemples tirés de votre propre expérience de la lecture.
- Pour bien penser, faut-il ne rien aimer ?
- POUR BIEN PENSER, FAUT-IL NE RIEN AIMER ?