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bien riche, par ma foi, pour gaspiller ton argent de cette façon !

Publié le 15/12/2013

Extrait du document

bien riche, par ma foi, pour gaspiller ton argent de cette façon ! Je voudrais être leur maître... - Vous seriez le maître de tout le monde si vous l'osiez, riposta Orlick avec une grimace de mauvais présage. - Laissez-la dire, fit Joe. - Je pourrais être le maître de tous les imbéciles et de tous les coquins, repartit ma soeur, et je ne pourrais pas être le maître de tous les imbéciles sans être celui de votre patron, qui est le roi des buses et des imbéciles... et je ne pourrais pas être le maître des coquins sans être votre maître, à vous, qui êtes le plus lâche et le plus fieffé coquin de tous les coquins d'Angleterre et de France. Et puis !... - Vous êtes une vieille folle, mère Gargery, dit l'ouvrier de Joe, et si cela suffit pour faire un bon juge de coquins, vous en êtes un fameux ! - Laissez-la tranquille, je vous en prie, dit Joe. - Qu'avez-vous dit ? s'écria ma soeur en commençant à pousser des cris ; qu'avez-vous dit ? Que m'a-t-il dit, Pip ?... Comment a-t-il osé m'appeler en présence de mon mari ?... Oh !... oh !... oh !... » Chacune de ces exclamations était un cri perçant. Ici, je dois dire, pour rendre hommage à la vérité, que chez ma soeur, comme chez presque toutes les femmes violentes que j'ai connues, la passion n'était pas une excuse, puisque je ne puis nier qu'au lieu d'être emportée malgré elle par la colère, elle ne s'efforçât consciencieusement et de propos délibéré de s'exciter elle-même et n'atteignit ainsi par degrés une fureur aveugle. « Comment, reprit-elle, comment m'a-t-il appelée devant ce lâche qui a juré de me défendre ?... Oh ! tenez-moi !... tenez-moi !... - Ah ! murmura l'ouvrier entre ses dents, si tu étais ma femme, je te mettrais sous la pompe et je t'arroserais convenablement. - Je vous dis de la laisser tranquille, répéta Joe. - Oh ! s'entendre traiter ainsi ! s'écria ma soeur arrivée à la seconde période de sa colère, oh ! s'entendre donner de tels noms par cet Orlick ! dans ma propre maison !... Moi ! une femme mariée !... en présence de mon mari !... Oh !... oh !... oh !... » Ici, ma soeur, après avoir crié et frappé du pied pendant quelques minutes, commença à se frapper la poitrine et les genoux, puis elle jeta son bonnet en l'air et se tira les cheveux. C'était sa dernière étape avant d'arriver à la rage. Ma soeur était alors une véritable furie ; elle eut un succès complet. Elle se précipita sur la porte qu'heureusement j'avais eu le soin de fermer. Que pouvait faire Joe après avoir vu ses interruptions méconnues, si ce n'est de s'avancer vers son ouvrier et de lui demander pourquoi il s'interposait entre lui et Mrs Joe, et ensuite s'il était homme à venir sur le terrain. Le vieil Orlick vit bien que la situation exigeait qu'on en vînt aux mains, et il se mit aussitôt sur la défensive. Sans prendre seulement le temps d'ôter leurs tabliers de cuir, ils s'élancèrent l'un sur l'autre comme deux géants, mais personne, à ma connaissance du moins, n'aurait pu tenir longtemps contre Joe. Orlick roula bientôt dans la poussière de charbon, ni plus ni moins que s'il eût été le jeune homme pâle, et ne montra pas beaucoup d'empressement à sortir de cette situation piteuse. Alors Joe alla ouvrir la porte et ramassa ma soeur, qui était tombée sans connaissance près de la fenêtre (pas avant toutefois d'avoir assisté au combat). On la transporta dans la maison, on la coucha, et on fit tout ce qu'on put pour la ranimer, mais elle ne fit que se débattre et se cramponner aux cheveux de Joe. Alors suivit ce calme singulier et ce silence étrange qui succèdent à tous les orages, et je montai m'habiller avec une vague sensation que j'avais déjà assisté à une pareille scène, que c'était dimanche et que quelqu'un était mort. Quand je descendis, je trouvai Joe et Orlick qui balayaient, sans autres traces de leur querelle qu'une fente à l'une des narines d'Orlick, ce qui était loin de l'embellir, et ce dont il aurait parfaitement pu se passer. Un pot de bière avait été apporté des Trois jolis Bateliers, et les deux géants se la partageaient de la manière la plus paisible du monde. Ce calme eut sur Joe une influence sédative et philosophique. Il me suivit sur la route pour me faire, en signe d'adieu, une réflexion qui pouvait m'être utile : « Du bruit, mon petit Pip, et de la tranquillité, mon petit Pip, voilà la vie ! » Avec quelles émotions ridicules (car nous trouvons comiques chez l'enfant les sentiments qui sont sérieux chez l'homme fait), avec quelles émotions, dis-je, me retrouvais-je sur le chemin qui conduisait chez miss Havisham ! Cela importe peu. Il en est de même du nombre de fois que je passai et repassai devant la porte avant de pouvoir prendre sur moi de sonner. Il importe également fort peu que je raconte comment j'hésitai si je m'en retournerais sans sonner, ce que je n'aurais pas manqué de faire si j'en avais eu le temps. Miss Sarah Pocket, et non Estelle, vint m'ouvrir. « Comment ! c'est encore toi ? dit miss Pocket. Que veux-tu ? » Quand je lui eus dit que j'étais seulement venu pour savoir comment se portait miss Havisham, Sarah délibéra si elle me renverrait ou non à mon ouvrage. Mais ne voulant pas prendre sur elle une pareille responsabilité, elle me laissa entrer, et revint bientôt me dire sèchement que je pouvais monter. Rien n'était changé, et miss Havisham était seule. « Eh bien ! dit-elle en fixant ses yeux sur moi, j'espère que tu n'as besoin de rien, car tu n'auras rien. - Non, miss Havisham ; je voulais seulement vous apprendre que j'étais très content de mon état, et que je vous suis on ne peut plus reconnaissant. - Là !... là !... fit-elle en agitant avec rapidité ses vieux doigts. Viens de temps en temps, le jour de ta naissance. Ah ! s'écria-t-elle tout à coup en se tournant vers moi avec sa chaise, tu cherches Estelle, n'est-ce pas ? » J'avais en effet cherché si j'apercevais Estelle, et je balbutiai que j'espérais qu'elle allait bien. « Elle est loin, dit miss Havisham, bien loin. Elle apprend à devenir une dame. Elle est plus jolie que jamais, et elle est fort admirée de tous ceux qui la voient. Sens-tu que tu l'as perdue ? » Il y avait dans la manière dont elle prononça ces derniers mots tant de malin plaisir, et elle partit d'un éclat de rire si désagréable que j'en perdis le fil de mon discours. Miss Havisham m'évita la peine de le reprendre en me renvoyant. Quand Sarah, la femme à la tête en coquille de noix, eut refermé la porte sur moi, je me sentis plus mécontent que jamais de notre intérieur, de mon état et de toutes choses. Ce fut tout ce qui résulta de ce voyage. Comme je flânais le long de la Grande-Rue, regardant d'un air désolé les étalages des boutiques en me demandant ce que j'achèterais si j'étais un monsieur, qui pouvait sortir de chez le libraire, sinon M. Wopsle ? M. Wopsle avait entre les mains la tragédie de George Barnwell 1 , pour laquelle il venait de débourser six pence, afin de pouvoir la lire d'un bout à l'autre sans en passer un mot en présence de Pumblechook, chez qui il allait prendre le thé. Aussitôt qu'il me vit, il parut persuadé qu'un hasard providentiel avait placé tout exprès sur son chemin un apprenti pour l'écouter, sinon pour le comprendre. Il mit la main sur moi et insista pour que je l'accompagnasse chez M. Pumblechook. Sachant que l'on ne serait pas très gai chez nous, que les soirées étaient très noires et les chemins mauvais ; de plus, qu'un compagnon de route, quel qu'il fût, valait mieux que de n'avoir pas de compagnon du tout, je ne fis pas grande résistance. En conséquence, nous entrions chez M. Pumblechook au moment où les boutiques et les rues s'allumaient. N'ayant jamais assisté à aucune autre représentation de George Barnwell, je ne sais pas combien de temps cela dure ordinairement, mais je sais bien que ce soir-là nous n'en fûmes pas quittes avant neuf heures et demie, et que, quand M. Wopsle entra à Newgate, je pensais qu'il n'en sortirait jamais pour aller à la potence, et qu'il était devenu beaucoup plus lent que dans un autre moment de sa déplorable carrière. Je pensai aussi qu'il se plaignait un peu trop, après tout, d'être coupé dans sa fleur, comme s'il n'avait pas perdu toutes ses feuilles les unes après les autres en s'agitant depuis le commencement de sa vie. Ce qui me frappait surtout c'étaient les rapports qui existaient dans toute cette affaire avec mon innocente personne. Quand Barnwell commença à mal tourner, je déclare que je me sentis positivement identifié avec lui. Pumblechook s'en aperçut, et il me foudroya de son regard indigné, et Wopsle aussi prit la peine de me présenter son héros sous le plus mauvais jour. Tour à tour féroce et insensé, on me fait assassiner mon oncle sans aucune circonstance atténuante ; Millwood avait toujours été rempli de bontés pour moi, et c'était pure monomanie chez la fille de mon maître d'avoir l'oeil à ce qu'il ne me manquât pas un bouton. Tout ce que je puis dire pour expliquer ma conduite dans cette fatale journée, c'est qu'elle était le résultat inévitable de ma faiblesse de caractère. Même après qu'on m'eut pendu et que Wopsle eut fermé le livre, Pumblechook continua à me fixer en secouant la tête et disant : « Profite de l'exemple, mon garçon, profite de l'exemple. » Comme si c'eût été un fait bien avéré que je n'attendais, au fond de mon coeur, que l'occasion de trouver un de mes parents qui voulût bien avoir la faiblesse d'être mon bienfaiteur pour préméditer de l'assassiner. Il faisait nuit noire quand je me mis en route avec M. Wopsle. Une fois hors de la ville, nous nous trouvâmes enveloppés dans un brouillard épais, et, je le sentis en même temps, d'une humidité pénétrante. La lampe de la barrière de péage nous parut une grosse tache, elle ne semblait pas être à sa place habituelle, et ses rayons avaient l'air d'une substance solide dans la brume. Nous en faisions la remarque, en nous étonnant que ce brouillard se fût élevé avec le changement de vent qui s'était opéré, quand nous nous trouvâmes en face d'un homme qui se dandinait du côté opposé à la maison du gardien de la barrière. « Tiens ! nous écriâmes-nous en nous arrêtant, Orlick ici ! - Ah ! répondit-il en se balançant toujours, je m'étais arrêté un instant dans l'espoir qu'il passerait de la compagnie. - Vous êtes en retard ? » dis-je. Orlick répondit naturellement : « Et vous, vous n'êtes pas en avance. - Nous avons, dit M. Wopsle, exalté par sa récente représentation, nous avons passé une soirée littéraire très agréable, M. Orlick. » Orlick grogna comme un homme qui n'a rien à dire à cela, et nous continuâmes la route tous ensemble. Je lui demandai s'il avait passé tout son congé en ville. « Oui, répondit-il, tout entier. Je suis arrivé un peu après vous, je ne vous ai pas vu, mais vous ne deviez pas être loin. Tiens ! voilà qu'on tire encore le canon. - Aux pontons ? dis-je. - Il y a des oiseaux qui ont quitté leur cage, les canons tirent depuis la brune ; vous allez les entendre tout à l'heure. » En effet, nous n'avions fait que quelques pas quand le boum ! bien connu se fit entendre, affaibli par le brouillard, et il roula pesamment le long des bas côtés de la rivière, comme s'il eût poursuivi et atteint les fugitifs. « Une fameuse nuit pour se donner de l'air ! dit Orlick. Il faudrait être bien malin pour attraper ces oiseaux-là cette nuit. » Cette réflexion me donnait à penser, je le fis en silence. M. Wopsle, comme l'oncle infortuné de la tragédie, se mit à penser tout haut dans son jardin de Camberwell. Orlick, les deux mains dans ses poches, se dandinait lourdement à mes côtés. Il faisait très sombre, très mouillé et très crotté, de sorte que nous nous éclaboussions en marchant. De temps en temps le bruit du canon nous arrivait et retentissait sourdement le long de la rivière. Je restais plongé dans mes pensées. Orlick murmurait de temps en temps : « Battez !... battez !... vieux Clem ! » Je pensais qu'il avait bu ; mais il n'était pas ivre. Nous atteignîmes ainsi le village. Le chemin que nous suivions nous faisait passer devant les Trois jolis Bateliers ; l'auberge, à notre grande surprise (il était onze heures), était en grande agitation et la porte toute grande ouverte. M. Wopsle entra pour demander ce qu'il y avait, soupçonnant qu'un forçat avait été arrêté ; mais il en revint tout effaré en courant : « Il y a quelque chose qui va mal, dit-il sans s'arrêter. Courons chez vous, Pip... vite... courons ! - Qu'y a-t-il ? demandai-je en courant avec lui, tandis qu'Orlick suivait à côté de moi. - Je n'ai pas bien compris ; il paraît qu'on est entré de force dans la maison pendant que Joe était sorti ; on suppose que ce sont des forçats ; ils ont attaqué et blessé quelqu'un. » Nous courions trop vite pour demander une plus longue explication, et nous ne nous arrêtâmes que dans notre cuisine. Elle était encombrée de monde, tout le village était là et dans la cour. Il y avait un médecin, Joe et un groupe de femmes rassemblés au milieu de la cuisine. Ceux qui étaient inoccupés me firent place en m'apercevant, et je vis ma soeur étendue sans connaissance et sans mouvement sur le plancher, où elle avait été renversée par un coup furieux asséné sur le derrière de la tête, pendant qu'elle était tournée du côté du feu. Décidément, il était écrit qu'elle ne se mettrait plus jamais en colère tant qu'elle serait la femme de Joe.

« Miss Sarah Pocket, etnon Estelle, vintm’ouvrir. « Comment ! c’estencore toi ?ditmiss Pocket.

Queveux-tu ? » Quand jelui eus ditque j’étais seulement venupoursavoir comment seportait missHavisham, Sarahdélibéra si elle merenverrait ounon àmon ouvrage.

Maisnevoulant pasprendre surelle une pareille responsabilité, elleme laissa entrer, etrevint bientôt medire sèchement quejepouvais monter. Rien n’était changé, etmiss Havisham étaitseule. « Eh bien ! dit-elle enfixant sesyeux surmoi, j’espère quetun’as besoin derien, cartun’auras rien. – Non, missHavisham ; jevoulais seulement vousapprendre quej’étais trèscontent demon état, etque jevous suis onnepeut plusreconnaissant. – Là !...

là !...fit-elle enagitant avecrapidité sesvieux doigts.

Viensdetemps entemps, lejour detanaissance.

Ah ! s’écria-t-elle toutàcoup ensetournant versmoiavec sachaise, tucherches Estelle,n’est-ce pas ? » J’avais eneffet cherché sij’apercevais Estelle,etjebalbutiai quej’espérais qu’elleallaitbien. « Elle estloin, ditmiss Havisham, bienloin.Elleapprend àdevenir unedame.

Elleestplus jolie quejamais, etelle est fort admirée detous ceux quilavoient.

Sens-tu quetul’as perdue ? » Il yavait danslamanière dontelleprononça cesderniers motstantdemalin plaisir, etelle partit d’unéclat derire si désagréable quej’enperdis lefil de mon discours.

MissHavisham m’évitalapeine delereprendre enme renvoyant. Quand Sarah,lafemme àla tête encoquille denoix, eutrefermé laporte surmoi, jeme sentis plusmécontent que jamais denotre intérieur, demon étatetde toutes choses.

Cefut tout cequi résulta decevoyage. Comme jeflânais lelong delaGrande-Rue, regardantd’unairdésolé lesétalages desboutiques enme demandant ce que j’achèterais sij’étais unmonsieur, quipouvait sortirdechez lelibraire, sinonM. Wopsle ? M. Wopsleavaitentre les mains latragédie de George Barnwell 1 , pour laquelle ilvenait dedébourser sixpence, afindepouvoir lalire d’un bout àl’autre sansenpasser unmot en présence dePumblechook, chezquiilallait prendre lethé.

Aussitôt qu’ilmevit,ilparut persuadé qu’unhasard providentiel avaitplacé toutexprès surson chemin unapprenti pourl’écouter, sinonpourlecomprendre.

Ilmit lamain sur moi etinsista pourquejel’accompagnasse chezM. Pumblechook.

Sachantquel’onneserait pastrès gaichez nous, que lessoirées étaient trèsnoires etles chemins mauvais ; deplus, qu’un compagnon deroute, quelqu’ilfût,valait mieux queden’avoir pasdecompagnon dutout, jene fispas grande résistance.

Enconséquence, nousentrions chez M. Pumblechook aumoment oùles boutiques etles rues s’allumaient. N’ayant jamaisassisté àaucune autrereprésentation de George Barnwell, je ne sais pascombien detemps cela dure ordinairement, maisjesais bien quecesoir-là nousn’enfûmes pasquittes avantneufheures etdemie, etque, quand M. Wopsle entraàNewgate, jepensais qu’iln’en sortirait jamaispouralleràla potence, etqu’il était devenu beaucoup pluslentquedans unautre moment desadéplorable carrière.Jepensai aussiqu’ilseplaignait unpeu trop, après tout,d’être coupé danssafleur, comme s’iln’avait pasperdu toutes sesfeuilles lesunes après lesautres en s’agitant depuislecommencement desavie.

Cequi me frappait surtoutc’étaient lesrapports quiexistaient danstoute cette affaire avecmon innocente personne.

QuandBarnwell commença àmal tourner, jedéclare quejeme sentis positivement identifiéaveclui.Pumblechook s’enaperçut, etilme foudroya deson regard indigné, etWopsle aussiprit la peine deme présenter sonhéros sousleplus mauvais jour.Touràtour féroce etinsensé, onme fait assassiner mon oncle sansaucune circonstance atténuante ;Millwoodavaittoujours étérempli debontés pourmoi,etc’était pure monomanie chezlafille demon maître d’avoir l’œilàce qu’il neme manquât pasunbouton.

Toutceque jepuis dire pour expliquer maconduite danscette fatale journée, c’estqu’elle étaitlerésultat inévitable dema faiblesse de caractère.

Mêmeaprèsqu’on m’eut pendu etque Wopsle eutfermé lelivre, Pumblechook continuaàme fixer en secouant latête etdisant : « Profite del’exemple, mongarçon, profitedel’exemple. » Comme sic’eût étéunfait bien avéré quejen’attendais, aufond demon cœur, quel’occasion detrouver unde mes parents quivoulût bienavoir lafaiblesse d’êtremonbienfaiteur pourpréméditer del’assassiner. Il faisait nuitnoire quand jeme mis enroute avecM. Wopsle.

Unefoishors delaville, nous noustrouvâmes enveloppés dansunbrouillard épais,et,jelesentis enmême temps, d’unehumidité pénétrante.

Lalampe dela barrière depéage nousparut unegrosse tache,ellenesemblait pasêtre àsa place habituelle, etses rayons avaient l’air d’une substance solidedanslabrume.

Nousenfaisions laremarque, ennous étonnant quecebrouillard sefût élevé avec lechangement devent quis’était opéré, quandnousnoustrouvâmes enface d’un homme quisedandinait du. »

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