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nous contrôler en ce moment même en témoigne - et malgré tout, ils n'ont jamais fait la moindre tentative pour accroître leur puissance.

Publié le 15/12/2013

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nous contrôler en ce moment même en témoigne - et malgré tout, ils n'ont jamais fait la moindre tentative pour accroître leur puissance. Tout ce qu'ils demandent, c'est qu'on leur fiche la paix. » Trevize cligna des yeux. « Et alors ? -- Alors, tout cela est fort peu humain. Les vingt mille ans et plus de l'histoire de l'homme dans l'espace n'ont té qu'une suite ininterrompue de conquêtes et de tentatives de conquête. A peu près tous les mondes connus usceptibles d'être habités le sont effectivement. Presque tous ont dans le processus fait l'objet de dispute et ous, quasiment, ont eu, à un moment ou à un autre, l'occasion de se frotter à chacun de leurs voisins. Si Gaïa est ssez inhumaine pour se montrer différente sous cet aspect, c'est peut-être qu'elle est réellement... inhumaine. » Trevize hocha la tête : « Impossible. -- Pourquoi impossible ? » rétorqua Pelorat avec chaleur. « Je vous ai déjà dit quelle énigme posait le fait que a race humaine soit la seule intelligence évoluée de la Galaxie. Et si ce n'était pas le cas ? Ne pourrait-il pas en xister une autre - sur une seule planète - qui fût dépourvue des pulsions expansionnistes propres à l'homme ? n fait », et Pelorat s'excitait de plus en plus, « s'il y avait un million d'intelligences dans la Galaxie, mais une eule à être expansionniste - la nôtre ? Alors que toutes les autres resteraient discrètement chez elles, bien achées... -- Ridicule ! dit Trevize. Nous aurions fini par tomber dessus. Nous aurions débarqué sur leurs mondes. outes ces races représenteraient tous les types et tous les stades d'avancement technique, et la plupart auraient té incapables de nous résister. Or, nous n'en avons jamais rencontré. Par l'Espace ! Nous n'avons jamais trouvé e ruines ou de débris d'une civilisation non humaine, n'est-ce pas ? Vous êtes historien, alors dites-moi ? En vons-nous trouvé ? » Pelorat hocha la tête : « Non... Mais Golan, il pourrait en exister une ! Celle-ci ! -- Je ne le crois pas. Vous dites que le nom de cette planète est Gaïa, ce qui est plus ou moins une ancienne orme dialectale du mot Terre. Comment pourrait-elle être non humaine ? -- Ce nom, Gaïa, est donné à la planète par des êtres humains - et qui sait pourquoi ? La ressemblance avec n terme ancien pourrait n'être que fortuite... Et si l'on y réfléchit, le fait même que nous ayons été attirés par aïa - comme vous l'avez expliqué avec force détails tout à l'heure - et que nous soyons en ce moment attirés ers elle contre notre gré, est un argument en faveur de la non-humanité des Gaïens. -- Pourquoi ? Quel rapport avec la non-humanité ? -- Leur curiosité, à notre égard - à l'égard des humains ! -- Janov, vous êtes fou. Ils vivent dans une Galaxie envahie par les hommes depuis des milliers d'années. Pourquoi deviendraient-ils curieux aujourd'hui ? Pourquoi pas bien plus tôt ? Et si c'est aujourd'hui, pourquoi cet intérêt pour nous ? S'ils veulent étudier les hommes et leur culture, pourquoi ne pas étudier les mondes de Seychelle ? Pourquoi seraient-ils venus nous pêcher jusqu'à Terminus ? -- C'est peut-être la Fondation qui les intéresse. -- Absurde, dit avec violence Trevize. Janov, vous avez envie de rencontrer une intelligence non humaine et vous finirez bien par en trouver une. Mais en ce moment, j'ai bien l'impression que si on vous disait que vous alliez rencontrer des êtres non humains, peu vous importerait d'avoir été capturé, d'être réduit à l'impuissance et, qui sait, d'être promis à la mort, pourvu que ces non-humains vous laissent un petit répit, le temps de rassasier votre curiosité... » Pelorat commença de bégayer une dénégation outrée, puis s'arrêta, prit une profonde inspiration, et dit : « Eh bien, vous avez peut-être raison, Golan, mais je persisterai tout de même encore quelque temps dans mes convictions. D'ailleurs, je ne crois pas que nous aurons longtemps à attendre pour savoir qui de nous a raison... Regardez ! » Il indiqua l'écran. Trevize qui, dans son emportement, avait cessé de le surveiller, tourna les yeux : « Qu'est-ce que c'est que ça ? -- Ne serait-ce pas un vaisseau qui décolle de la station ? -- En tout cas, c'est quelque chose, admit à contrecoeur Trevize. Je n'arrive pas encore à distinguer de détails, t je ne peux pas agrandir la vue : on est au grossissement maximal. » Après un instant de pause, il reprit : « Ça m'a tout l'air d'approcher et je suppose que c'est effectivement un vaisseau. Allons-nous parier ? -- Quel genre de pari ? -- Si jamais on devait revoir Terminus, dit Trevize, sardonique, on se fait un grand dîner en invitant chacun qui l'on veut - jusqu'à concurrence, disons, de quatre convives - et l'addition sera pour moi si le vaisseau qui approche est occupé par des non-humains et pour vous, si ce sont des hommes. -- Je veux bien. -- Topez là ! » et Trevize scruta l'écran, cherchant à distinguer sur le vaisseau quelque détail significatif tout en se demandant si on pouvait raisonnablement attendre que tel détail ou tel autre pût trahir, sans discussion aucune, l'origine humaine (ou non humaine) des êtres qui étaient à son bord.   69. La chevelure gris acier de madame Branno était impeccablement coiffée et, à voir sa sérénité, on aurait pu la roire encore dans le palais de la Mairie. Rien en elle ne révélait qu'elle se trouvait dans l'espace lointain pour la econde fois seulement de son existence (et la première, pour accompagner ses parents lors d'une croisière vers algan, ne comptait guère : elle n'avait que trois ans à l'époque). Elle se tourna vers Kodell : « C'est le boulot de Thoobing, après tout », dit-elle avec une insistance un peu lasse, « d'exprimer son opinion et de m'avertir. Il m'a avertie, très bien. Je ne lui reproche rien. » Kodell (qui était monté à bord du vaisseau de Branno pour pouvoir lui parler sans les difficultés psychologiques de la représentation imagée) observa : « Il est en poste depuis trop longtemps. Il commence à penser comme un Seychellois. -- C'est le risque professionnel de la fonction d'ambassadeur, Liono. Attendons que tout ceci soit réglé et nous lui offrirons de longues vacances avant de lui redonner un poste ailleurs. C'est un homme capable - après tout, il a eu la présence d'esprit de transmettre sans retard le message de Trevize. » Kodell esquissa un sourire : » Oui, il m'a dit l'avoir fait à contrecoeur : " Je l'ai fait parce qu'il le fallait ", m'a-til avoué. Voyez-vous, madame, il était bien obligé de le faire, même contre son gré, vu que, à peine Trevize étaitil entré dans l'espace seychellois, j'informais monsieur l'ambassadeur Thoobing de la nécessité de transmettre sans délai toute information le concernant. -- Oh ? » Branno se retourna sur son siège pour le dévisager plus nettement. « Et qu'est-ce qui vous a poussé à faire ça ? -- Des considérations élémentaires, pour tout dire : Trevize utilisait un astronef de la Fondation du tout dernier modèle et les Seychellois allaient fatalement le remarquer. D'autre part, c'est un jeune crétin sans aucun sens de la diplomatie et, cela aussi, ils ne manqueraient pas de le remarquer. Par conséquent, il risquait fort de s'attirer des ennuis... et s'il est une chose dont un Fondateur peut être sûr, c'est que s'il a des pépins quelconques où que ce soit dans la Galaxie, il peut toujours aller pleurer auprès du représentant local de la Fondation. Personnellement, je n'aurais vu aucun inconvénient à ce que Trevize soit dans la panade - ça lui aurait toujours mis du plomb dans la tête, pour son plus grand bien - mais vous en avez fait votre paratonnerre et, comme je voulais que vous restiez en mesure d'analyser tout éclair susceptible de le frapper, je me suis simplement assuré que le plus proche représentant de la Fondation l'aurait bien à l'oeil, voilà tout. -- Je vois ! Eh bien, je comprends maintenant pourquoi Thoobing a réagi si énergiquement. Je lui avais envoyé de mon côté un avertissement similaire. Après ce concours d'interventions non concertées de notre part, on peut difficilement lui reprocher d'avoir estimé que l'approche de quelques malheureux vaisseaux de la Fondation devait signifier beaucoup plus qu'elle ne signifie en réalité... Mais comment se fait-il, Liono, que vous ne m'ayez pas consultée avant d'envoyer votre mise en garde ? -- Si je devais vous faire part de toutes mes initiatives, dit tranquillement Kodell, vous n'auriez plus le temps d'être Maire. Comment se fait-il que vous ne m'ayez pas, vous, informé de votre intention ? -- Si je vous informais de toutes mes intentions, Liono, répondit aigrement Branno, vous en sauriez beaucoup trop... Mais tout cela n'a guère d'importance, pas plus que les inquiétudes de Thoobing ou, en l'espèce, les éventuelles réactions de Seychelle. C'est surtout Trevize qui m'intéresse. -- Nos éclaireurs ont repéré Compor. Il suit Trevize et l'un comme l'autre font prudemment mouvement vers Gaïa. -- J'ai déjà les rapports complets de ces éclaireurs, Liono. Apparemment, Trevize comme Compor semblent prendre Gaïa au sérieux. -- Tout le monde ricane des superstitions concernant Gaïa, Madame, mais chacun pense quand même : " Oui mais, si... ? " Jusqu'à l'ambassadeur Thoobing que ça rend légèrement mal à l'aise. Ce pourrait être une astuce politique de la part de Seychelle. Une espèce de camouflage protecteur : si l'on propage ces histoires d'un monde invisible et mystérieux, les gens non seulement vont s'écarter de ce monde mais même de toutes les planètes avoisinantes - telles que celles de l'Union seychelloise. -- Vous pensez que c'est la raison pour laquelle le Mulet s'est détourné de Seychelle ? -- C'est possible. -- Vous ne croyez quand même pas que la Fondation s'est gardée de mettre la main sur Seychelle à cause de Gaïa, quand rien n'indique qu'on ait jusqu'à présent entendu parler de Gaïa ? -- J'admets qu'on ne trouve pas mention de Gaïa dans nos archives, mais il n'y a pas non plus d'autre explication à la modération dont on a pu faire preuve à l'égard de l'Union seychelloise. -- Alors, espérons que le gouvernement de Seychelle, malgré l'opinion contraire de Thoobing, s'est convaincu - au moins un minimum - de la puissance de Gaïa et de sa nature mortelle. -- Pourquoi ça ? -- Parce que dans ce cas, l'Union ne fera aucune objection à notre mouvement vers Gaïa. Moins ils apprécieront notre manoeuvre et plus ils se persuaderont qu'il faut nous laisser opérer, histoire de nous voir finir ans la gueule de Gaïa. La leçon, imaginent-ils, se montrera salutaire et ne sera pas perdue pour d'éventuels nvahisseurs futurs. -- S'ils avaient malgré tout raison de le croire, madame ? Si Gaïa était effectivement une menace mortelle ? » Branno sourit. « Vous soulevez à votre tour le " Et si ? ", Liono, pas vrai ? -- Je dois envisager toutes les possibilités, madame, c'est mon boulot. -- Et si Gaïa est un piège mortel, Trevize s'y fera prendre. C'est son boulot, en tant que paratonnerre. Et ompor avec lui, peut-être. J'espère. -- Vous l'espérez ? Pourquoi ? -- Parce que ça les rendra trop confiants, ce qui devrait nous être utile : ils sous-estimeront notre puissance, e qui les rendra d'autant plus faciles à manier. -- Mais si c'est nous qui sommes trop confiants ? -- Ce n'est pas le cas, dit Branno, catégorique. -- Ces Gaïens, quels qu'ils soient, représentent peut-être une chose dont on n'a aucune idée, si bien que nous ommes incapables d'estimer le danger qu'ils représentent. Je me permets simplement cette suggestion, adame, parce que même cette possibilité devrait être prise en compte. -- Vraiment ? Pourquoi une telle idée vous est-elle entrée dans la tête, Liono ? -- Parce que je crois que vous pensez que, dans le pire des cas, Gaïa est la Seconde Fondation. Je vous oupçonne de croire effectivement qu'ils sont la Seconde Fondation. Pourtant, Seychelle a une histoire intéressante, même sous l'Empire : Seychelle était la seule, déjà à l'époque, à bénéficier de mesures d'exception. Seychelle a été la seule à passer au travers des plus lourdes taxes décrétées sous le règne des prétendus mauvais mpereurs. En bref, Seychelle semble avoir eu la protection de Gaïa, même à l'époque impériale. -- Bon, et alors ? -- Mais la Seconde Fondation a été créée par Hari Seldon au même moment que notre Fondation voyait le our. La Seconde Fondation n'existait pas sous l'Empire - Gaïa, si. Par conséquent, Gaïa ne peut pas être la econde Fondation. C'est quelque chose d'autre - et il est bien possible que ce soit quelque chose de pire. -- Je ne compte pas me laisser terrifier par l'inconnu, Liono. Il n'y a que deux sources possibles de danger : les rmes physiques, et les armes mentales. Et nous savons parfaitement nous prémunir contre les unes et les utres... Vous allez regagner votre vaisseau et maintenir vos unités stationnées aux frontières de Seychelle. Ce aisseau fera seul mouvement vers Gaïa mais restera en contact permanent avec vous ; et je compte vous voir ous rejoindre en un seul saut, si nécessaire. « Allez, Liono, et ne faites pas cette tête-là. -- Une dernière question... Êtes-vous bien sûre de savoir ce que vous faites ? -- Oui. » Sa voix était résolue. « Moi aussi, j'ai étudié l'histoire de Seychelle et j'ai pu voir tout comme vous ue Gaïa ne pouvait pas être la Seconde Fondation mais, comme je vous l'ai dit, je dispose des rapports intégraux de nos éclaireurs et, à leur lumière... -- Oui ? -- Eh bien, j'ai pu localiser la Seconde Fondation et nous allons nous occuper des deux, Liono. D'abord de Gaïa. Ensuite, de Trantor. »

«   69. La chevelure grisacier demadame Brannoétaitimpeccablement coifféeet,àvoir sasérénité, onaurait pula croire encore danslepalais delaMairie.

Rienenelle nerévélait qu’ellesetrouvait dansl’espace lointain pourla seconde foisseulement deson existence (etlapremière, pouraccompagner sesparents lorsd’une croisière vers Kalgan, necomptait guère :ellen’avait quetrois ansàl’époque). Elle setourna versKodell : « C’estleboulot deThoobing, aprèstout », dit-elle avecuneinsistance unpeu lasse, « d’exprimer sonopinion etde m’avertir.

Ilm’a avertie, trèsbien.

Jene lui reproche rien. » Kodell (quiétait monté àbord duvaisseau deBranno pourpouvoir luiparler sanslesdifficultés psychologiques delareprésentation imagée)observa : « Ilestenposte depuis troplongtemps.

Ilcommence à penser comme unSeychellois. — C’est lerisque professionnel delafonction d’ambassadeur, Liono.Attendons quetout cecisoitréglé etnous lui offrirons delongues vacances avantdelui redonner unposte ailleurs.

C’estunhomme capable – après tout,il a eu laprésence d’espritdetransmettre sansretard lemessage deTrevize. » Kodell esquissa unsourire : » Oui,ilm’a ditl’avoir faitàcontrecœur : “ Jel’aifait parce qu’illefallait ”, m’a-t- il avoué.

Voyez-vous, madame,ilétait bienobligé delefaire, même contre songré, vuque, àpeine Trevize était- il entré dansl’espace seychellois, j’informaismonsieurl’ambassadeur Thoobingdelanécessité detransmettre sans délai toute information leconcernant. — Oh ? » Brannoseretourna surson siège pourledévisager plusnettement.

« Etqu’est-ce quivous apoussé à faire ça ? — Des considérations élémentaires,pourtoutdire : Trevize utilisait unastronef delaFondation dutout dernier modèle etles Seychellois allaientfatalement leremarquer.

D’autrepart,c’estunjeune crétin sansaucun sens deladiplomatie et,cela aussi, ilsne manqueraient pasdeleremarquer.

Parconséquent, ilrisquait fortde s’attirer desennuis...

ets’il est une chose dontunFondateur peutêtresûr,c’est ques’ilades pépins quelconques où que cesoit dans laGalaxie, ilpeut toujours allerpleurer auprèsdureprésentant localdelaFondation. Personnellement, jen’aurais vuaucun inconvénient àce que Trevize soitdans lapanade – ça luiaurait toujours mis duplomb danslatête, pour sonplus grand bien – mais vousenavez faitvotre paratonnerre et,comme je voulais quevous restiez enmesure d’analyser toutéclair susceptible delefrapper, jeme suis simplement assuré que leplus proche représentant delaFondation l’auraitbienàl’œil, voilàtout. — Je vois ! Ehbien, jecomprends maintenant pourquoiThoobing aréagi siénergiquement.

Jelui avais envoyé demon côtéunavertissement similaire.Aprèsceconcours d’interventions nonconcertées denotre part, on peut difficilement luireprocher d’avoirestiméquel’approche dequelques malheureux vaisseauxdela Fondation devaitsignifier beaucoup plusqu’elle nesignifie enréalité...

Maiscomment sefait-il, Liono, quevous ne m’ayez pasconsultée avantd’envoyer votremiseengarde ? — Si jedevais vousfairepartdetoutes mesinitiatives, dittranquillement Kodell,vousn’auriez plusletemps d’être Maire.

Comment sefait-il quevous nem’ayez pas,vous, informé devotre intention ? — Si jevous informais detoutes mesintentions, Liono,répondit aigrement Branno,vousensauriez beaucoup trop...

Maistoutcelan’aguère d’importance, pasplus quelesinquiétudes deThoobing ou,enl’espèce, les éventuelles réactionsdeSeychelle.

C’estsurtout Trevize quim’intéresse. — Nos éclaireurs ontrepéré Compor.

Ilsuit Trevize etl’un comme l’autrefontprudemment mouvementvers Gaïa.

— J’ai déjàlesrapports complets deces éclaireurs, Liono.Apparemment, Trevizecomme Compor semblent prendre Gaïaausérieux. — Tout lemonde ricanedessuperstitions concernantGaïa,Madame, maischacun pensequand même : “ Oui mais, si... ? ” Jusqu’à l’ambassadeur Thoobingqueçarend légèrement malàl’aise.

Cepourrait êtreuneastuce politique delapart deSeychelle.

Uneespèce decamouflage protecteur : sil’on propage ceshistoires d’unmonde invisible etmystérieux, lesgens nonseulement vonts’écarter decemonde maismême detoutes lesplanètes avoisinantes – telles quecelles del’Union seychelloise. — Vous pensezquec’est laraison pourlaquelle leMulet s’estdétourné deSeychelle ? — C’est possible. — Vous necroyez quandmêmepasque laFondation s’estgardée demettre lamain surSeychelle àcause de Gaïa, quand rienn’indique qu’onaitjusqu’à présent entendu parlerdeGaïa ? — J’admets qu’onnetrouve pasmention deGaïa dans nosarchives, maisiln’y apas non plus d’autre explication àla modération dontonapu faire preuve àl’égard del’Union seychelloise. — Alors, espérons quelegouvernement deSeychelle, malgrél’opinion contraire deThoobing, s’est. »

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