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vous êtes invisible.

Publié le 12/04/2014

Extrait du document

vous êtes invisible. Je vous demande de pardonner sa plaisanterie à ce vieux Peeves, Monsieur le Baron. --J'ai des affaires à mener ici, dit Harry de sa voix rauque. Ne reviens plus dans les parages cette nuit. --Oh mais bien sûr, Monsieur le Baron, bien entendu, dit Peeves en remontant dans les airs. J'espère que vos affaires se passeront bien, Monsieur le Baron. Je ne vous dérangerai plus. Et il fila ailleurs. --Formidable, Harry ! murmura Ron. Quelques secondes plus tard, ils s'étaient avancés dans le couloir et virent que la porte était entrebâillée. --Et voilà, dit Harry à voix basse, Rogue a déjà réussi à passer devant Touffu. La porte ouverte semblait leur faire redouter ce qui les attendait. Sous la cape, Harry se tourna vers les deux autres. --Si vous préférez ne pas aller plus loin, je ne vous en voudrai pas, dit-il. Vous pouvez garder la cape, je n'en aurai plus besoin, maintenant. --Ne dis pas de bêtises, répliqua Ron. --Bien sûr qu'on vient avec toi, dit Hermione. Harry poussa la porte. Des grognements retentirent aussitôt. Les trois museaux du chien reniflaient frénétiquement dans leur direction, bien qu'il fût incapable de les voir. --Qu'est-ce qu'il y a par terre ? demanda Hermione. --Ça ressemble à une harpe, dit Ron. C'est sans doute Rogue qui l'a laissée là. --Le chien doit se réveiller dès qu'on arrête de jouer, dit Harry. Bon, allons-y. Il porta la flûte à ses lèvres et se mit à jouer. Ce n'était pas vraiment une mélodie, mais dès la première note, les paupières du monstre devinrent lourdes, il arrêta de grogner, ses jambes faiblirent, il trébucha puis s'effondra sur le sol, profondément endormi. --Continue à jouer, dit Ron tandis qu'ils se débarrassaient de la cape et s'avançaient silencieusement vers la trappe. Lorsqu'ils approchèrent des trois têtes du chien, ils sentirent son souffle brûlant et fétide. --On devrait arriver à soulever la trappe, dit Ron. Tu veux passer la première, Hermione ? --Non, je n'y tiens pas. --Bon, tant pis. Ron serra les dents, enjamba les pattes du chien avec précaution, puis tira l'anneau de la trappe qui se souleva sans difficulté et s'ouvrit. --Qu'est-ce que tu vois ? demanda Hermione avec angoisse. --Rien, c'est tout noir, Il n'y a ni échelle ni corde pour descendre, il faudra se laisser tomber. Harry qui jouait toujours de la flûte fit un signe de la main à Ron et tapota sa poitrine de l'index. --Tu veux passer le premier ? Tu es sûr ? Je n'ai aucune idée de la profondeur. Donne la flûte à Hermione, sinon, il va se réveiller. Harry lui tendit la flûte. Lorsque la musique s'arrêta, le chien se remit à grogner et à bouger, mais dès que Hermione joua à nouveau, il replongea dans le sommeil. Harry l'enjamba à son tour et regarda à travers l'ouverture. On ne voyait pas le fond. Il se glissa dans le trou et se suspendit par les mains au bord de la trappe. --S'il m'arrive quelque chose, dit-il à Ron, n'essayez pas de me suivre. Allez chercher Hedwige dans la volière et envoyez-la avec un message à Dumbledore. D'accord ? --D'accord, dit Ron. --A tout de suite... J'espère... Et Harry se laissa tomber. Il sentait l'air humide lui siffler aux oreilles tandis qu'il tombait, tombait, tombait... Puis soudain, avec un drôle de bruit sourd, il atterrit sur quelque chose de mou. Il se redressa et regarda autour de lui. Ses yeux n'étaient pas encore habitués à l'obscurité, mais il avait l'impression d'être assis sur une sorte de plante. --C'est O.K. ! cria-t-il en direction de la trappe qui dessinait au-dessus de sa tête un carré lumineux de la taille d'un timbre-poste. On peut sauter, c'est mou, ici ! Ron fut le premier à suivre. Il tomba à côté de Harry. --Qu'est-ce que c'est que ce truc ? demanda-t-il. --Je ne sais pas, une espèce de plante, je crois. Elle a dû être placée là pour amortir la chute. Viens, Hermione ! La flûte qu'on entendait faiblement s'interrompit. Le chien aboya bruyamment, mais Hermione avait déjà sauté et elle atterrit de l'autre côté de Harry. --On doit être à des kilomètres sous le château, dit-elle. --Une chance qu'il y ait cette plante, fit remarquer Ron.--Une chance ? hurla Hermione. Regardez-vous, tous les deux !

« —Bon, tant pis.

Ron serra les dents, enjamba les pattes du chien avec précaution, pui\ s tira l'anneau de la trappe qui se souleva sans difficulté et s'ouvrit.

—Qu'est-ce que tu vois ? demanda Hermione avec angoisse.

—Rien, c'est tout noir, Il n'y a ni échelle ni corde pour descendr\ e, il faudra se laisser tomber.

Harry qui jouait toujours de la flûte fit un signe de la main à Ro\ n et tapota sa poitrine de l'index.

—Tu veux passer le premier ? Tu es sûr ? Je n'ai aucune idée de\ la profondeur.

Donne la flûte à Hermione, sinon, il va se réveiller.

Harry lui tendit la flûte.

Lorsque la musique s'arrêta, le chien s\ e remit à grogner et à bouger, mais dès que Hermione joua à nouveau, il replongea dans le sommeil\ .

Harry l'enjamba à son tour et regarda à travers l'ouverture.

On ne voyait pas le fond.

Il s\ e glissa dans le trou et se suspendit par les mains au bord de la trappe.

—S'il m'arrive quelque chose, dit-il à Ron, n'essayez pas de me su\ ivre.

Allez chercher Hedwige dans la volière et envoyez-la avec un message à Dumbledore\ .

D'accord ? —D'accord, dit Ron.

—A tout de suite...

J'espère...

Et Harry se laissa tomber.

Il sentait l'air humide lui siffler aux oreil\ les tandis qu'il tombait, tombait, tombait...

Puis soudain, avec un drôle de bruit sourd, il at\ territ sur quelque chose de mou.

Il se redressa et regarda autour de lui.

Ses yeux n'étaient pas \ encore habitués à l'obscurité, mais il avait l'impression d'être assis sur une sorte\ de plante.

—C'est O.K.

! cria-t-il en direction de la trappe qui dessinait au-de\ ssus de sa tête un carré lumineux de la taille d'un timbre-poste.

On peut sauter, c'est mou, ici \ ! Ron fut le premier à suivre.

Il tomba à côté de Harry.

—Qu'est-ce que c'est que ce truc ? demanda-t-il.

—Je ne sais pas, une espèce de plante, je crois.

Elle a dû ê\ tre placée là pour amortir la chute.

Viens, Hermione ! La flûte qu'on entendait faiblement s'interrompit.

Le chien aboya bru\ yamment, mais Hermione avait déjà sauté et elle atterrit de l'autre côté\ de Harry.

—On doit être à des kilomètres sous le château, dit-elle.\ —Une chance qu'il y ait cette plante, fit remarquer Ron.—Une chanc\ e ? hurla Hermione.

Regardez-vous, tous les deux !. »

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