Bayard, Hippolyte - photographes et photographie.
Publié le 18/05/2013
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secrétaire général en 1867, et où une grande partie de ses archives est conservée.
À l’imprimerie photographique de Louis-Désiré Blanquart-Évrard, il publie l’Art religieux : peinture (1853), le Musée photographique (1853) et l’Art
contemporain (1854).
5 UNE ŒUVRE TRÈS PERSONNELLE
Hippolyte Bayard a utilisé avec profit diverses techniques : calotypes, épreuves à l’albumine (Restes des barricades de la révolution de 1848, rue Royale à Paris, 1849), « collodions » sur verre, etc.
Auteur de vues de Paris ( Montmartre, 1842 ;
Percement de la rue Tholozé, 1842 ; Vues du quartier des Batignolles, 1840-1845), de portraits ( Portrait de Mlle C., av.
1850), d’autoportraits ( Autoportrait, v.
1846) et de compositions élaborées ( Nature morte, 1839), il a privilégié les clichés de
jardins et les mises en scène de personnages.
S’il n’a pas connu de son vivant la gloire et la célébrité comme Nicéphore Niépce, Jacques Daguerre ou William Henry Fox Talbot, son rôle dans l’invention de la photographie est aujourd’hui pleinement
reconnu.
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