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Johann STRAUSS : LA CHAUVE-SOURIS (résumé & analyse)

Publié le 30/09/2015

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Johann STRAUSS

Musicien autrichien, né à Vienne, le 25 octobre 1825 ; mort dans la même ville le 3 juin 1899, surnommé le « roi de la valse » (son père el homonyme, premier du nom, fut le « père de la valse >> ). Il a composé des valses universellement connues et une opérette La Chauve-Souris si réputée et si solidement écrite qu’elle figure en pays germaniques au répertoire de toutes les scènes d’opéra.

LA CHAUVE-SOURIS

 

( « Die Fledermaus » ).

 

Opérette en 3 actes, d’après Meilhac et Halévy. Livret de Hoffner et Genée. Version française de Paul Ferrier. Musique de Johann Strauss.

 

Première représentation en français, à Paris, au Théâtre des Variétés, le 22 avril 1904.

« son départ ; le second chez le prince et le troisième à la prison, le lendemain matin.

PERSONNAGES : GAILLARDIN, bourgeois (t) TOURILLON, directeur de prison (tr) DUPARQUET, notaire (bar) ALFRED, chef d'orchestre hongrois (t ou baT) BIDARD.

avocat (b).

CAROLINE, femme de GAILLARDIN (s) LE PRINCE ORLOFSKY (s ou ms) ARLETTE, servante (s) FLORA, ballerine, sœur d'Ar­ lette (ms).

P etits rôles, chœurs et ballet.

ANALYSE AcTE I.

A Pontoise, chez Gaillardin.

La servante ATlette (s), depuis peu au service du ménage Gaillardin, époussette le salon en déchiffrant un billet de sa sœur Anna, qui l'invite à la rejoindre le soir même au bal masqué que donne le prince Orlofsky.

Mais Caroline (s), qui survient, fort énervée, lui refuse net l'autorisation qu'elle requiert sous un prétexte quelconque.

On entend à la cantonade la voix d'Alfred (t), musicien hongrois de tempérament ardent auquel Caroline eut l'imprudence de jurer autrefois fidélité éternelle [AIR n'ALFRED : Ma colombe, entends tu pas ? ..

.J.

Alfred surgit bientôt, en escaladant la fenêtre, et adresse des reproches passionnés à la belle infidèle, lui faisant promettre de la recevoir si son mari, présentement chez le juge d'instruction pour délit d'injures à un garde- champêtre, doit subir une incarcération.

C'est d'ailleurs à cette seule condition qu'Alfred consent à repartir rapidement par où il est entré.

Caroline compte bien que son mari, défendu par l'avocat Bidard, ne sera pas condamné.

Or, il l'est.

Et voici Gaillardin (t) qui entre de fort méchante humeur, en admonestant vertement Bidarè.

(b), son maladroit défenseur.

Il décide toutefois, puisqu'il doit passer huit jours à la prison de Pon­ toise, de s'y rendre immédiatement, non sans avoir partagé auparavant avec sa femme un magnifique souper d'adieux.

Au milieu des prépa­ r atifs arrive Duparquet (bar) qui, déjà au courant du jugement rendu, vient proposer à son ami de faire encore une fois la fête et le décide à l'accompagner chez le prince Orlofsky.

La servante Arlette, qui a entendu la conversation des deux hommes, en informe Mme Gaillardin.

Caroline décide alors de surprendre son époux en allant, elle aussi, masquée, chez le prince, sous le nom d'une grande dame hongroise ; Arlette l'accompagnera et sera Mlle de la Folle Avoine.

Gaillardin et Duparquet partis, Alfred ne tarde pas à revenir, au grand déplaisir de Caroline qui trépigne d'impatience.

Il s'installe corn. »

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