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La Naissance de Vénus (Oeuvre dix XVème siècle)

Publié le 20/02/2012

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La Naissance de Vénus a été peinte en 1845 par Sandro Botticelli. Cette oeuvre a été peinte avec la technique de la tempera sur toile. Elle mesure approximativement 172.5 cm de hauteur et 287.5 cm de large. On l'a trouve actuellement à la Galerie des Offices à Florence. C'est un sujet mythologique. Il a peint cette toile pour satisfaire à la demande des Médicis et pour décorer leur maison de campagne de Castello. Cette peinture est une allégorie de la déesse Vénus.

« Maye Abshir \ Décembre 2011 2M2 9 Contexte de l’œuvre : Au XV° siècle, l’Europe est touché par un grand mouvement de renouveau i ntellectuel et artistique, surtout en Italie dans les villes de Florence, Rome, Venise… Les peintres de la Renaissance ont été inspirés par les sculptures antiques qui datent de l’antiquité dans la façon de dessiner les corps humains.

Vénus, déesse romaine du temps, de l’amour et de la beauté qui est née de l’écume de la mer d’après la mythologie, est représentée par Botticelli.

Il représente également deux personnages : Zéphyr , le dieu du vent et Cupidon, le dieu de l’amour.

C’est la première fois qu’on pe int une nudité féminine non biblique telle que la Naissance de Vénus.

C’est vraiment nouveau et propre à la Renaissance.

À ce moment là, la Renaissance est en plein essor.

Des recueils rassemblant les mythes antiques inspiraient beaucoup les peintres.

En effet, ça leur procurait un large éventail de choix.

Botticelli reprend ce thème antique, détaché de la version chrétienne. Analyse de l’œuvre : C’est en trois groupes que Botticelli a organisé l’œuvre : Les anges, le coquillage puis la nymphe.

Tout d’abord au centre du tableau, on peut apercevoir Vénus qui sort de l’eau sur une coquille conduite sur le rivage par le Dieu du vent , Zéphyr.

On peut interpréter que le coquillage signifie la fécondité.

Mais il peut aussi signifier la virginité lorsqu’il form e une voûte au dessus de la madone.

Au Moyen-âge, on pensait que les coquillages étaient fécondés par la rosée.

Une nymphe accueille Vénus lorsqu’elle va poser le pied à terre.

En effet, on pourrait penser qu’il s’agit d’une des trois Grâces qui dans l’A ntiquité, faisaient partie de la suite de la déesse.

L’Heure du printemps, la saison durant laquelle Vénus faisait revenir la beauté et l’amour après l’hiver sont marqués par les anémones à ses pieds et sa robe parsemée de bleuets.

La déesse portant un manteau de pourpre sur le rivage a surement une signification rituelle et pas seulement une fonction esthétique.

Sur le tableau, Vénus est placée au centre, mise en valeur par la lumière.

On remarque aussi que Zéphyr pousse Vénus de par son souffle à rompre avec la nudité qui commence déjà à cacher les parties essentielles.

Mais encore, on voit que la loi de pesanteur est ignoré, les cheveux aux vents, le tissu qui vole accentue la légèreté de l’œuvre.

Par contre, on ne s’aperçoit pas directement des lon gueurs artificielles telles que son cou, la chute de ses épaules et la façon dont son bras gauche est relié au corps.

Sur cette œuvre, on peut définir Vénus comme la perfection de la beauté ce qui incite le spectateur à la regarder telle qu’elle est.

Pour terminer, ce tableau m’a beaucoup plu .

La beauté des formes des personnages et des couleurs sont extraordinaires.

Cette beauté du mouvement et des couleurs m’a ébloui.

J’adore le soin apporté aux détails.

C’est un grand classique dans l’histoire de la pe inture.. »

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