La Paresse de Pieter Bruegel
Publié le 22/02/2012
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Après une série de dessins de paysages, l'éditeur Hieronimus Cock demande à Bruegel un cycle de dessins sur le thème des sept péchés capitaux. Bruegel élabore pour l'ensemble une formule qui consiste à organiser sa composition autour d'une figure allégorique centrale. L'allégorie féminine de la Paresse est endormie sur le dos d'un âne, son attribut habituel. Sa tête repose sur un oreiller tenu par un diable, comme il est dit dans un proverbe flamand. L'ensemble de la composition s'inscrit dans un espace cohérent, occupé par des éléments issus de l'imagination de Bruegel.
Liens utiles
- La Chute d'Icare Pieter Bruegel (env. 1525-1569)
- BRUEGEL Pieter, dit l'Ancien : La Tempête.
- Les Chasseurs dans la neige de BRUEGEL, Pieter dit l'Ancien
- BRUEGEL (D'après) Pieter II, dit Bruegel le Jeune : Les Noces villageoises (analyse du tableau).
- BRUEGEL Pieter, dit le Vieux ou l'Ancien : Jeux d'enfants (analyse du tableau).