La troisième dimension en art
Publié le 14/03/2012
Extrait du document
Un siècle plus tard seulement, un génie éphémère, du nom de Tommaso Guidi (1401- 1429), qui s’illustra sous le pseudonyme de Masaccio dessinait des perspectives à partir de lignes qui se réunissent en un point non perceptible de l’horizon, ne tenait compte que d’une source unique de lumière et usait abondamment du chiaroscuro, le fameux clair-obscur formant un jeu d’ombres et de lumières. Ces conventions visant à remplacer la troisième dimension absente des oeuvres picturales furent reconnues et adoptées pendant quatre siècles par des générations successives de peintres. Ce n ’est qu’au début du XXe siècle, qu’elles furent remises en question par Pablo Picasso et Georges Braque (1882-1963), inventeurs du cubisme....
« ( 11 2 " # $ ! $ 1# ! + # ( # ( # $ $ " " 1 ( ) " ) . + 3456748759 1 "$$ # )" 0 3 45::488;9 + (" 3 ! 9 ) # $ . »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- La littérature présente le paradoxe inhérent au fait qu’elle soit à la fois art et langage, de s’inscrire dans une dimension universelle mais aussi actuelle.
- Pollice Verso, (1872) Jean-Léon Gérome Huile sur toile de dimension 97,5 x 146.7 cm Exposée au musée d'Art de Phoenix en Arizona.
- « L’art de la vie se rapproche de l’art de la lutte : il faut se tenir prêt sans broncher à répondre aux coups qui fondent sur nous, même s’ils sont imprévus » Marc Aurèle
- Cours sur l'art (références)
- [II n'y a pas d'art d'agrément] - Merleau-Ponty