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NU ASSIS À LA CHEMISE de MODIGLIANI

Publié le 11/09/2012

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Le tableau fut offert par Geneviève et Jean Masurel au musée d'Art moderne de Villeneuved'Ascq. Il appartient à une longu e série de «Nus «, tous très proches par le style et la forme...

« NU ASSIS À LA CHEMISE 1917 Peintre italien Analyse ..., Du fond sombre ém erge une jeun e femme assise, peut- être s ur le bord d'une chaise, mas­ quant ses parties intim es avec un bout de drap tout en laissa nt un sein m a lici eusement déco u­ vert.

Le visage , profondém ent mé lancoliqu e, est , comme toujour s chez Modigliani , formé d'un ovale : les déta ils anatomiques sont indiqu és par de longu es lign es fermes et n oires, qui mordent s ur la couleur, compacte.

Les é paule s sont ron­ des, comme les cuisses ; les mains , étirées et fines .

Les contours, très marqu és, soudent le per son­ nage au fond.

S 'appuyant s ur la l eço n cubiste , la sculptur e africaine et celle de son a mi Constantin Brancu si, le p eintre dénatur e la forme , mai s san s intention iconoclaste : son d ésir est au contraire de mettre en relief le per sonnage peint.

xxe siècle Huile sur toile 92 x 67,5 cm Cette œuvre inaugur e la série des «N us», à laqu elle Modigliani deva it se consacrer d ès 1917 , d ate de l'exécution de ce t ableau.

Le thème d e la nudit é offusqua les es prit s bien pe nsants , qui inondèrent l'artiste de le ttr es calomnieuses ; la justice trancha en impo sant au peintr e de retirer ses toil es, offe nsantes pour la pudeur pub lique.

L'œuvre [] Le tableau fut offert par Geneviève et J ean Masure/ au musée d'Art moderne de Vill eneuve­ d'Ascq.

Il appartient à une longu e série de «Nus », tous très proches par le style et la forme.

La liaison de Modigliani avec Anna Akhmatova + Anna Akhmatova quitta la Russie pour Paris au plus.

Mais il m'écrivit tout l' hiver.

.

.

Il était en 1910 en compagnie de son mari , le poète encore pauvre alors et ne sava it comment gagner Nikolaï Goumilev (1886 -1921), dont elle divorça sa vie ; il n'était pas du tout reconnu comme en 1916.

La jeune femme fit la connaissance de artiste.

Il habitait impasse Falgui ère.

Il ava it si Modigliani durant son séjour dans la capitale peu d'argent que nous devions nous asseoir sur française : sa liaison avec le peintre fut brève les bancs du jardin du Luxembourg et non sur l es mais passionn ée.

chaises, réservées à la location.

Il ne se plaignait Voici comment Anna décrit sa rencontre avec jamais , ni de sa réelle misère, ni du fait qu'il lui : « En 1910 , je le vis peu, quelque s fois tout n'é tait pas reconnu .

» Du mêm e pei ntr e : PICT O 962 à 963c Photo donation G.

et J.

M asurel © Nardini Editore.

1994.

Liriade pour l'édition française, 1994.

35·35. »

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