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Saqqarah, la cité des morts

Publié le 24/12/2014

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JEAN-PHILIPPE LAUER, L'ÂME DE SAQQARAH Jeune architecte parisien de vingt-quatre ans, Jean-Philippe Lauer débarque à Saqqarah le 2 décembre 1926, en des temps où l'on voyageait à dos d'âne. Sa mission : aider l'archéologue anglais Cecil Firth à décrypter les mystères du complexe funéraire de Djoser, découvert deux ans plus tôt. Depuis, Jean-Philippe Lauer n'a pas levé le pied, au rythme des campagnes de fouilles, huit mois en Égypte, quatre mois en France. En plus de soixante-dix ans, il a accompli un travail de fouilles et de restauration sans égal, identifiant chaque pierre avant de reconstituer les monuments à l'identique selon les méthodes des anciens Égyptiens. Faisant revivre l'oeuvre d'Imhotep, il n'a cessé de mettre son talent et son énergie au service du site et de "sa" pyramide, que certains appellent même... la "pyramide de Lauer" !

« JEAN-PHILIPPE LAUER, L'AME DE SAQQARAH Jeune architecte parisien de vingt-quatre ans, Jean-Philippe Lauer débarque à Saqqarah le 2 décembre 1926, en des temps où l'on voyageait à dos d'âne.

Sa mission : aider l'archéologue anglais Cecil Firth à décrypter les mystères du complexe funéraire de Djoser, découvert deux ans plus t6t.

Depuis, Jean-Philippe Lauer n'a pas levé le pied, au rythme des campagnes de fouilles, huit mois en Égypte, quatre mois en France.

En plus de soixante-dix ans, il a accompli un travail de fouilles et de restauration sans égal, identifiant chaque pierre avant de reconstituer les monuments à l'identique selon les méthodes des anciens Égyptiens.

Faisant revivre l'œuvre d'lmhotep, il n'a cessé de mettre son talent et son énergie au serv ice du site et de •sa• pyramide, que certains appellent même .•• la •pyramide de Lauer• I. »

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