Devoir de Philosophie

Charlie Chaplin

Publié le 25/08/2012

Extrait du document

chaplin

 

Le personnage à la petite moustache, au chapeau melon, aux souliers trop grands, aux pantalons trop larges et à la canne de jonc créé par Charlie Chaplin n'est plus à présenter mais n'a pas en fait de nom bien défini reconnu internationalement. Avec le succès, il sera connu des anglo-saxons sous le nom de " Charlie " ou de " The Tramp " ("Le Vagabond"). Le nom " Charlot " n'existe en fait que dans les pays francophones.

 

chaplin

« Keystone, Charlie Chaplin joua dans 35 films, déve­ loppa le personnage de " Charlot " pour lequel il hésita d'.abord entre la victime de la société etl'arriviste cynique, et s'initia à la réalisation.

En 1915, il signa avec une autre compagnie de production, 1 'Essanay, où il obtint le contrôle de ses films et· en écrivit et réalisa 14.

En 1916, il signa avec la Mutual pour laquelle il écrivit, joua et réalisa 12 films dont L'usurier (The pawnshop) et Charlot policeman (Easy street).

En 1917, il signa, pour plus d'un million de dollars, un contrat avec la" First National Corporation" et tourna par la suite 9 films pour cette compagnie dont Une vie de chien (A dog's life), Charlot soldat (Shoulder's arms), Idylle aux champs (Sunny-side) et Le kid (The kid).

Ce dernier contrat lui permit de construire ses propres stu­ dios et de fonder en 1919 une compagnie de production avec d • autres artistes.

De 1914 à 1936, Chaplin ne cessa d'affiner son style, le rythme, la sobriété et le mouvement dans ses films et devint la première véritable star internationale du cinéma, imposant au monde entier son personnage de Charlot au-delà des frontières, des classes sociales, des cultures et des langues.

Laissons Charlie Chaplin s'expliquer lui-même sur son comique : " Dans L'évadé, je mange une glace sur un balcon avec une jeune fille.

A l'étage au-dessous je place une dame forte, respectable et bien habillée.

En mangeant ma glace je laisse tomber une cuillerée qui glisse à travers mon pantàlon et, du balcon, vient tomber dans le cou de la dame.

Le premier rire est engendré par mon propre embarras.

Le second et de beaucoup le plus grand résulte de l'arrivée de la glace sur le cou de la dame qui hurle et se met à sauter .... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles