Gazit (Mordekhaï)

« 4 Abba Eban le rappelle aux Affaires etrangeres en 1970 et le charge du service le plus important, celui qui couvre les etats-Unis.

En 1972, itest directeur general du ministere, et, de mars a aoOt 1973, it est a nouveau a prate mais cette fois a la presidence du Conseil dont it est nomme directeur general.

II y retrouve Golda Melt* et redevient son conseiller politique.

C'estune consecration, d'autant plus qu'il ne porters aucune res- ponsabilite dans le Mehdal, cette impreparation grave a la guerre du Kippour qui concemera les milieux de l'etat-major de l'armee et de la Defense. 5 Fonctionnaire discret, au centre des affaires, compa- gnon d'armes de Moshe Dayan, d'Itshak Rabin, d'Ygal Allen, itconnait les principaux personnages politiques depuis les temps de Ia Hagana et des heures difficiles de Jerusalem en 1948.

N'ayant pas d'A priori politique, et surtout preoccupe d'efficacite, Mordekhai Gazit est a l'aise aussibienavec les afaucons qu'avec les colombes * et ses competences sont appreciees par Golda Melt' comme par Abba Eban.

Au fil des ans et au gre de son ascension dans Ia carriere, Gazit est devenu I'un des meilleurs specialistes israellens en politique Inter- nationale.

IIparticipe donc a Ia creation des comites interministerleis qui etudient et preparent les negociations israelo-arabes, et dirige ces groupes de travail en 1971, 1973 et 1975.

Aussi est-il nomme chef de la delegation israelienne a la premiere conference de Geneve en sep- tembre 1975, lorsdes pourparlers avec la delegation militaire egyptienne sur la planification du retrait israe- lien au Sinai.

La nomination de Gazit a Paris, a terrain neutre ', est le signe que le gouvernement Rabin passe A la diplomatic active dans les affaires israelo-arabes. 4 Abba Eban le rappelle aux Affaires étrangères en 1970 et le charge du service le plus important, celui qui couvre les ~tats-Unis.

En 1972, il est directeur général du ministère, et, de mars à aoQt 1973, il est à nouveau " prêté "• mais cette fois à la présidence du Conseil dont il est nommé directeur général.

Il y retrouve Golda Méir et redevient son conseiller politique.

C'est une consécration, d'autant plus qu'il ne portera aucune res­ ponsabilité dans le Mehdal, cette impréparation grave à la guerre du Kippour qui concernera les milieux de l'état-major de l'armée et de la Défense ..

5 Fonctionnaire discret, au centre des affaires, compa­ gnon d'armes de Moshé Dayan, d'ltshak Rabin, d'Ygal Allon, il connaît les principaux personnages politiques depuis les temps de la Hagana et des heures difficiles de Jérusalem en 1948.

N'ayant pas d'à priori politique, et surtout préoccupé d'efficacité, Mordekhaï Gazit est à l'aise aussi bien avec les " faucons " qu'avec les " colombes " et ses compétences sont appréciées par Golda Méir comme par Abba Eban.

Au fil des ans et au gré de son ascension dans la carrière, Gazit est devenu l'un des meilleurs spécialistes israéliens en politique inter­ nationale.

Il participe donc à la création des comités interministériels qui étudient et préparent les négociations israélo-arabes, et dirige ces groupes de travail en 1971, 1973 et 1975.

Aussi est-il nommé chef de la délégation Israélienne à la première conférence de Genève en sep­ tembre 1975, lors des pourparlers avec la délégation militaire égyptienne sur la planification du retrait israé­ lien au Sinaï.

La nomination de Gazit à Paris, " terrain neutre "• est le signe que le gouvernement Rabin passe à la diplomatie active dans les affaires israélo-arabes .. »