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LE CAPORAL ÉPINGLÉ

Publié le 19/03/2014

Extrait du document

LE CAPORAL ÉPINGLÉ

 

Réalisation

Scénario et adaptation

D'après le roman de

Directeur de la photographie

Musique

Production

Distribution

Durée  

 

Jean RENOIR (1962)

Jean RENOIR

et Guy LEFRANC

Jacques PERRET

Georges LECLERC

Joseph KOSMA

Films du Cyclope (G.W. Byer)

Pathé

105 minutes

 

INTERPRÉTATION

Le Caporal Jean-Pierre CASSEL

Pater Claude BRASSEUR

Adrien Ballochet   Claude RICH

Le voyageur ivre dans le train   O.E. HASSE

Guillaume Jean CARMET

Penche-à-gauche Jacques JOUANNEAU

Erika Schmidt Cornelia (Conny) FROBOESS

Caruso Mario DAVID

L'adjudant Hippolyte Dupieu Raymond JOURDAN

Le Bègue Guy BEDOS

L'évadé travesti   Sacha BRIQUET

Le paysan François DARBON

L'électricien   Philippe COSTELLI

Le Louchard Gérard DARRIEU

L'employé de la gare Lucien RAIMBOURG

Un garde Bill KEARNS

L'HISTOIRE

 

Un camp de prisonniers en juin 1940. Parmi eux, trois bons amis, le Caporal, Pater et Ballochet. Ils ne songent qu'à s'évader. Un moment d'inattention des sentinelles et voilà le mur d'enceinte franchi. Mais la patrouille a tôt fait de les rattraper, et c'est la dure corvée du centre de triage. Seul, Caporal ne se décourage pas. Un jour, avec un autre copain, Penche-à-gauche, il parvient jusqu'à la frontière, où il se fait à nouveau épingler. Après plusieurs tentatives infructueuses, on retrouve les trois amis planqués dans un stalag « de luxe «, où ils ont cigares et foie gras à volonté. C'est la belle vie, mais la jolie Erika, 

 

fille du dentiste, va faire renaître leur désir d'évasion : « J'aime, dit-elle, les hommes qui ne sont pas des esclaves «. Nouvelle tentative, nouvel échec. Ballochet, lui, choisit la voie de l'évasion-suicide : une rafale de mitrail¬lette dans la nuit, et c'en est fini. Caporal et Pater trouvent enfin la meilleure formule : sortir du camp au nez et à la barbe des Allemands, en faisant semblant de mesurer les lieux. Dans le train qui les ramène en France ils sont sur le point d'être repris, mais un bombardement les sauve. C'est la dé¬bandade générale. Ils retrouvent Paris occupé : il va falloir « remettre ça «...

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