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Un classique : Casablanca

Publié le 26/03/2019

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Critiques et admirateurs ont élu Casablanca meilleur film de tous les temps. Paru en 1942 aux États-Unis, ses airs et ses dialogues sont célèbres dans le monde entier. Humphrey Bogart devient un monstre sacré pour plusieurs générations.

Lors de sa première projection en novembre 1942 à New York, le film ne rencontre qu'un faible écho auprès du public. Le déroulement de la Seconde Guerre mondiale doit aider au succès du film. L'action se déroule à Casablanca, ville sous l'administration de la France de Vichy qui collabore avec Hitler.

L'affiche américaine du film légendaire de Michael Curtiz, Casablanca

Après l'occupation du Maroc par les Alliés, ceux-ci tiennent une conférence à Casablanca, le 23 janvier 1943. Elle réunit les chefs d'État qui veulent s'unir contre Hitler. Pendant les négociations, le film ressort sur les écrans. Cette fois, les réactions sont différentes : l'enthousiasme du public et de la critique permet à Casablanca d'obtenir trois oscars : meilleur film, meilleure mise en scène et meilleur scénario, trois récompenses importantes.

 

De nombreuses reprises jusqu'à aujourd'hui consacrent le triomphe de ce film, et son pouvoir de séduction demeure intact. L'effet de Casablanca dépasse de loin l'action réelle du film : les personnages, joués par des acteurs pres-

tigieux, sont toujours vivants dans l'esprit du public.

 

La belle lisa (Ingrid Bergman) part pour Casablanca avec son mari, Victor Laszlo, un résistant tchécoslovaque évadé d'un camp de concentration, et compte obtenir de là un visa pour les États-Unis. 

« Laszlo et de son combat politique.

Par hasard, il trouve deux visas et oblige Louis, le préfet corrompu de la ville, à laisser fuir les époux.

Au dernier moment, Rick persuade lisa qui hésite, de rester avec son mari et tue un commandan t nazi qui veut empêcher l'avion de décoller.

Bogar t est brillant dans le rôle du héros romantique.

Sa méta­ morphose de cyn ique en combattant est émouva nte et très conva in­ cante.

C'est justement l'éc onomie de son jeu qui est effic ace : des petits gestes, une certa ine façon de fu mer , un regard mé pris ant, des remarques sèches et incisi ves caractérisent son talent inimitable.

Ingrid Bergman convainc dans le rôle de la sensible et intrépide lisa, ain si que Paul Henreid en Laszlo, re belle et respecta ble.

La célè bre phrase. »

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