BÉRANGER : J'aime qu'un Russe soit Russe, Et qu'un Anglais soit Anglais. Si l'on est Prussien en Prusse, En France soyons Français.
Publié le 17/01/2022
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Ainsi commence une chanson intitulée Le bon Français que Pierre-Jean de Béranger (1780-1857) composa au moment où les Alliés — Autrichiens, Russes, Prussiens — occupaient Paris et le Nord-Est de la France, afin de flétrir l'empressement exagéré que les Parisiens manifestaient à l'égard des cosaques et des uhlans, que ce fût par badauderie naturelle ou entraînés par leur joie de voir les guerres terminées.
La petite histoire prétend que cette chanson fut chantée devant les aides de camp du tsar Alexandre Ier en mai 1814.
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- J’aime qu’un Russe soit Russe, Et qu’un Anglais soit Anglais. Si l’on est Prussien en Prusse, En France soyons Français.
- Fénelon écrit dans la« Lettre à l'Académie » :« Le bon historien n’est d’aucun temps ni d'aucun pays. Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. L’historien français doit se rendre neutre entre la France et l’Angleterre.... » Expliquer et discuter cette théorie. Par ce que vous connaissez des historiens du XIXe siècle, vous direz si elle vous semble avoir été appliquée par eux et dans quelle mesure.
- MONTCALM DE SAINT-VERAN, Louis Joseph, marquis de (1712-1759) Général français, il prend la tête des troupes conquérantes du Nouvelle-France au Canada en 1756 et enlève quelques places fortes aux Anglais avant de périr au combat en défendant Québec.
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- Quels sont les rapports des Français et des Anglais en Nouvelle-France ?