« Il n'y a qu'un pas du fanatisme à la barbarie » ; Denis Diderot

« démonstratifs sont utilisés pour faire comprendre et essayer de faire appliquer cette règle ou idée à tout le monde. Le fanatisme se manifeste dans plusieurs domaines sociaux, tels que la politique, mais surtout la religion. Dans certains pays totalitaires, où le parti unique domine le pays, le peuple est fanatisé par un lavage de cerveau pour que les buts politiques et idéologiques se réalisent.

Dans les cas de fanatisme les plus extrêmes, le fanatique perd son instinct vital et est prêt à sacrifier sa vie.

Le fanatisme est à l’origine des actes terroristes et les fanatiques qui produisent ces actes sont vus par les leurs comme des héros, vénérés comme des saints, des martyrs, voire des dieux. Pour illustrer le mot fanatisme, on peut trouver quelques exemples, parmi lesquels les pilotes japonais dis « Kamikaze ».

En 1944, les américains ont presque vaincu les japonais.

Leur flotte est presque toute abattue.

L’empereur Hiro Hito décide alors de manipuler son armée, afin que celle-ci soit totalement sous son contrôle.

Après quelques jours de manipulation, l’empereur a convaincu son armée et ses soldats sont désormais prêt à sacrifier leur vie, en allant se jeter en avion sur des bateaux américains qui entouraient certaines parties capitales, pour le Japon, de la côte.

Le nom « Kamikaze » a été donné à ces fanatiques japonais car ce terme signifie « vent divin », et a aujourd’hui dans nos dictionnaires la définition de suicide en avion, qui fait référence à ces suicidaires japonais.

Le mot barbare vient du Grec Barbaros, qui signifie étranger.

Le terme barbare était autrefois donné par les Grecs à tout peuple qui ne parlait pas leur langue.

Il a été ensuite utilisé par les Romains pour nommer tous les peuples qui se trouvent à l'extérieur des limites de leur territoire.

Par après, les populations traitaient les autres peuples de barbares car ils ne respectaient pas les mêmes règles qu’eux, ne réagissaient pas de la même façon qu’eux face aux problèmes, ou qu’ils utilisaient des techniques autres que les leurs.

Au XVIème siècle, le mot barbare était repris pour qualifier les peuples nouveaux d’Amérique, qui représentaient les hommes primitifs à merveille .On constate donc qu’à la base, le mot était simplement un mot qui désignait quelque chose de bien précis, mais avec le temps, le mot est devenu un adjectif pour qualifier un acte que l’on pensait comme tel.

Aujourd’hui, par définition, la barbarie est un caractère de la nature humaine, qui se développe plus ou moins selon les circonstances dans lesquelles l’homme se trouve et selon ce à qui ou à quoi il a à faire. La barbarie est donc un vice de la civilisation, qui s’empare des hommes et dont on ne peut prendre le contrôle. Pour illustrer ce propos, l’exemple le plus démonstratif est sans doute celui de la guerre d’Algérie entre 1954 et 1962, où des personnes tuaient des autres, sans raisons particulières, sans se soucier des répercutions que cela pouvait avoir par après.

On peut également parler de barbarie lorsque des hommes emploient d’autres hommes comme du bétail, qui sont traités comme des bêtes sauvages, violentés, torturés, massacrés.

Cette illustration représente le mot barbarie à l’extrême. Ou encore, la guerre de Tchétchénie, exemple de barbarie moderne, récent, où des viols, des tortures, des meurtres ont été commis et dont on a essayé d’en cacher l’existence. « Il n’y a qu’un pas du fanatisme à la barbarie » signifierait donc que les deux termes sont plus ou moins égaux, qu’ils se ressemblent et que l’on aurait difficile de les différencier.

Néanmoins, le terme de. »