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Berlusconi

Publié le 08/12/2012

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Berlusconi « Berlusconi , l’oracle en Italie , diaboliser a l’étranger «. Silvio Berlusconi Écouter, surnommé il Cavaliere, né le 29 septembre 1936 à Milan, est un homme d'affaires et homme politique italien. Fondateur et dirigeant de la holding financière Fininvest, puis du groupe de communication Mediaset, Silvio Berlusconi est, en 2011, selon le magazine Forbes, le troisième homme le plus riche d'Italie et le 118e plus riche au monde, avec des actifs estimés à 7,8 milliards de dollars américains. Après avoir créé le mouvement politique de centre-droit Forza Italia, il est nommé président du Conseil des ministres en mai 1994, Président élu par trois fois il quittera ses fonctions en 2011 en pleine crise économique et européenne . Troisième chef de gouvernement à la plus grande longévité depuis la réunification de l'Italie, en 1861, il détient le record de longévité à la présidence du Conseil sous la République italienne (plus de neuf ans).Cependant sa politique particulière base sur un contrôle casi totale des médias et ses nombreux "truc avec la justice" cause de nombreux problèmes . Le président du Conseil italien Silvio Berlusconi a sauvé une fois de plus sa tête en décembre dernier. Comment cet homme, qui incarne des scandales à répétition et qui choque tant en Italie qu’à l’étranger par ses déclarations, peut-il se maintenir au pouvoir ?Et parallèlement comment la politique utilise par Berlusconi ,révèle -t-elle un problème plus général : la surmediation politique ? Dans un premier temps nous aborderons la politique berlusconienne ,analyse du pourquoi s'est il maintenu si longtemps au pouvoir et nous finirons par analyser les conséquences du régime berlusconien sur l'Italie et les rapports avec l'étranger . Berlusconi , qu'elle homme est-il ? Sa politique , ses procès 1) ascension politique Il Cavaliere entre pour la première fois dans le débat politique italien en apportant son soutien au candidat du MSI (extrême droite) à la mairie de Rome, Gianfranco Fini, en 1993. Le 18 janvier 1994, quatre jours après la dissolution du Parlement décidée par le président de la République, Oscar Luigi Scalfaro, il annonce la création d'un nouveau parti politique de centre-droit, Forza Italia (« Allez l'Italie «), dans lequel il investit 22 milliards de lires. À cette occasion, il se pose en défenseur de la liberté, de la famille – « noyau principal de la société « –, de la tradition chrétienne et du travail. Après avoir créé le mouvement politique de centre-droit Forza Italia, il est nommé président du Conseil des ministres en mai 1994, à la suite de la victoire de son parti aux élections générales. Huit mois plus tard, du fait du retrait de la Ligue du Nord de sa coalition gouvernementale, Silvio Berlusconi quitte ses fonctions. En juin 2001, après la victoire de sa coalition de centre-droit aux élections générales, il est à nouveau appelé à la tête du gouvernement ; il dirige deux gouvernements successifs jusqu'en avril 2006, lorsqu'il est défait de justesse par la coalition de centre-gauche menée par Romano Prodi. Deux ans plus tard, le 8 mai 2008, des élections générales anticipées lui permettent de retrouver la présidence du Conseil des ministres pour la troisième fois. Il quitte son poste en novembre 2011, en pleine crise économique nationale et européenne. 2) politique Il a mis ensemble des valeurs contradictoires, tradition et modernité, Europe et nation, libéralisme et protectionnisme, sécurité et compassion sociale, lutte contre l'immigration clandestine et réconciliation avec la Libye, etc. Cela lui permet de cimenter son bloc social composé de groupes très diversifiés : professions libérales et chefs d'entreprise (notamment dans le nord du pays), commerçants et artisans, mais aussi laissés-pour-compte de la modernisation, personnes apeurées par l'arrivée des immigrés, l'Europe, la mondialisation, gens de faible niveau d'instruction, catholiques pratiquants, bref un vaste électorat populaire. Berlusconi appuie sa politique sur un contrôle totale de l'informations et des médias ´ en effet D’une part , berlusconi est le propriétaire de quasiment tout les média italien sur lequel il exerce une emprise totale . effectivement durant sa carrière politique l’homme a mené une sorte de polilique visant a s’accaparé tout les médias italiens . chose faite ,le président est également le propriétaire le propriétaire des diffèrent journaux nationaux comme c’est le cas de canale 5 , Italia 1 et Rete 4,il giornale , il foglio Libero ect. mais aussi la totalité des chaine nationale de télévision privée.malgés cela quelque journaux peinent a se démarquer comme par exemple la Republica et l’unita qui sont délaissé par le reste de la presse écrite . Nouvelle manière de voir les choses , presque de la propagande par l'informat...
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« Dans un premier temps nous aborderons la politique berlusconienne ,analyse du pourquoi s'est il maintenu si longtemps au pouvoir et nous finirons par analyser les conséquences du régime berlusconien sur l'Italie et les rapports avec l'étranger . Berlusconi , qu'elle homme est-il ? Sa politique , ses procès 1) ascension politique Il Cavaliere entre pour la première fois dans le débat politique italien en apportant son soutien au candidat du MSI (extrême droite) à la mairie de Rome, Gianfranco Fini, en 1993. Le 18 janvier 1994, quatre jours après la dissolution du Parlement décidée par le président de la République, Oscar Luigi Scalfaro, il annonce la création d'un nouveau parti politique de centre-droit, Forza Italia (« Allez l'Italie »), dans lequel il investit 22 milliards de lires.

À cette occasion, il se pose en défenseur de la liberté, de la famille – « noyau principal de la société » –, de la tradition chrétienne et du travail. Après avoir créé le mouvement politique de centre-droit Forza Italia, il est nommé président du Conseil des ministres en mai 1994, à la suite de la victoire de son parti aux élections générales.

Huit mois plus tard, du fait du retrait de la Ligue du Nord de sa coalition gouvernementale, Silvio Berlusconi quitte ses fonctions.

En juin 2001, après la victoire de sa coalition de centre-droit aux élections générales, il est à nouveau appelé à la tête du gouvernement ; il dirige deux gouvernements successifs jusqu'en avril 2006, lorsqu'il est défait de justesse par la coalition de centre-gauche menée par Romano Prodi.

Deux ans plus tard, le 8 mai 2008, des élections générales anticipées lui permettent de retrouver la présidence du Conseil des ministres pour la troisième fois.

Il quitte son poste en novembre 2011, en pleine crise économique nationale et européenne. 2) politique Il a mis ensemble des valeurs contradictoires, tradition et modernité, Europe et nation, libéralisme et protectionnisme, sécurité et compassion sociale, lutte contre l'immigration clandestine et réconciliation avec la Libye, etc.

Cela lui permet de cimenter son bloc social composé de groupes très diversifiés : professions libérales et chefs d'entreprise (notamment dans le nord du pays), commerçants et artisans, mais aussi laissés-pour-compte de la modernisation, personnes apeurées par l'arrivée des immigrés, l'Europe, la. »

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