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bizutage - synthese

Publié le 04/06/2014

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Bizutage - utile ou inutile ? Le bizutage est considéré comme une épreuve initiatique destinée à l'intégration d'un certain groupe de personnes, traité comme le passage à la vie adulte. Le fondament de ce phénomène devrait être un bon amusement, mais la réalité est parfois différente. En conséquence, on observe l'influence dégradante de ces actions sur les jeunes, car leurs actes prennent des formes diverses. En fait le bizutage a ses côtés positifs, ce que démontre le document 2 « Point de vue d'un chef d'établissement » et négatifs, ce que René Devos illustre dans le document 3 « Le bizutage est totalitaire » écrite en 1998. Contre le bizutage est aussi Philippe Meirieu, qui dans son article « Aider l'adolescent à risquer raisonnablement sa vie » dans le document 1, présente les conditions qui doivent être réspectées pour que l'initiation procède correctement. Les avis sont partagés parmi les étudiants et cela est visible dans le document 4 « Points de vue d'étudiants ». Tous ces documents traitent le problème du bizut...

« qu’ils ne dépassent pas des principes de bon goût. Lorsque les conditions précédentes sont remplies, ce type de pratiques peut intégrer des personnes.

Après la retraite des rites trop drastiques, la volonté de participer aux actions qui favorisent la solidarité des étudiants revient, explique un chef d’établissement.

Ainsi, les fêtes renforcent les relations, unissent les gens et créent l’appartenance à un groupe.

Si le bizutage est pris avec humour les élèves voient aussi ses côtés amusants et son influence sur leur assimilation.

Par exemple, la possibilité de vivre en groupe enrichit la connaissance de soi-même.

En bref, le sentiment d’appartenance qui est formé, donne plus de confiance de soi et sert comme une bonne préparation à la vie dans la communauté. S’il y a autant de valeurs positives ou se trouve le problème avec le bizutage ? Q uels sont ses cotés négatifs ? L’un des aspects le plus sombre de cet acte est la brutalité.

Professeur Meirieu souligne qu’auparavant les préparations au passage de la transition a eu lieu en compagnie d’un patron.

Ce processus a duré longtemps et n’était pas aussi dramatique que celui d’aujourd’hui.

Il ajoute que maintenant les rituels n’ont pas de but précis, et ils ne sont que des caprices d’adultes qui donnent un seul privilège: le pouvoir d’avoir une supériorité sur les plus jeunes l’année prochaine.

Le socioloque explique que des étudiants abandonnent volontairement au bizutage, car ils ne veulent être exclus d’un groupe, et en fait c’est un plaisir forcé qui devient un traumatisme.

De plus, les bizuteurs dépassent la limite d’un amusement décent, en formant des témoignages dégradants et humiliants.

Ce mouvais traitement est visible surtout quand il s’agit des filles qui sont traitées objectivement.

Pour toutes ces raison, Assemblée Nationale a préparé la loi qui introduit un code pénal et impose des sanctions aux jeunes abuseurs.

Le bizutage est de plus en plus futile et c’est pourquoi il porte atteinte à la dignité de l’homme et devient trumatique et. »

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