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Comment soigner un enfant malade

Publié le 08/04/2012

Extrait du document

 

Pour une mère, le fait de soigner son enfant malade implique de grandes fatigues, sans compter les efforts supplémentaires et les soucis que cette situation comporte. Mais les enfants guérissent généralement vite, et il importe donc de ne pas s'alarmer et de faire preuve d'optimisme vis-à-vis de l'enfant. Les soins médicaux sont administrés par le médecin traitant, qui donnera tous les conseils nécessaires quant au traitement à suivre. Tout ce qui reste à faire, c'est veiller à ce que la convalescence de l'enfant se passe dans la bonne humeur et qu' il ait autant de confort que possible....

 

« Il est bon d'observer une hygiène de vie stricte avec un enfant malade: le laver et lui donner à manger aux mêmes heures; la même régularité devrait être respectée pour les heures de détente et de repos.

En outre, cette méthode présente l'avantage de permettre une planification de la journée.

Le matin, on commence par donner une boisson et par laver l'enfant avant le petit déjeuner.

Le médecin aura averti de la nécessité éventuelle de faire suivre un ré­ gime particulier.

Sinon, on donnera à l'enfant des ali­ ments légers, tels que du pain grillé, des céréales ou des biscuits secs, des fruits, du café ou du thé légers, du lait (sauf si ses troubles sont d'origine digestive).

Si, pendant les premiers stades de la maladie, l'enfant ne veut rien manger, ne pas s'inquiéter, ni insister, mais continuer à lui présenter des jus de fruits et des boissons sucrées; il est en effet important que l'enfant boive suffisamment sur­ tout s'il a de la fièvre.

Par la suite, lorsque son état s'a­ méliore, on peut recommencer petit à petit à offrir une nourriture plus consistante comme des oeufs, du poisson, de la viande hachée et des légumes.

Pendant la période de convalescence, qui fait suite à la '• .

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tl maladie, l'enfant peut ne pas avoir retrouvé tout son ap­ pétit.

Cet état n'est pas seulement une conséquence de la maladie, mais provient également du fait qu'il fait très peu d'exercices et qu'il consomme très peu d'énergie.

Il vaut mieux lui présenter les mets qu'il aime et préparer des repas aussi attrayants que possible.

Lorsque l'enfant aura franchi le cap difficile de la mala­ die, il est fort probable qu'il deviendra exigeant.

Aussi éprouvante que cette situation puisse être, il faut s'en ré­ jouir, car elle signifie que l'enfant va mieux.

A ce mo­ ment, il faudra trouver le moyen de lui faire passer le temps agréablement.

N'oublions pas cependant qu'un enfant malade ou convalescent se fatigue facilement et ne peut se concentrer longtemps.

~ Les médecins disent qu'un enfant malade rajeunit menta­ lement d'un an.

Il est vrai qu'il adopte des attitudes pué­ riles qui le rendent plus dépendant de sa mère et exigent d'elle des marques d'affection.

Cependant, dès qu'il va mieux, il est bon de l'encourager gentiment mais avec fer­ meté à perdre ces habitudes, afin qu'il ne s'attache pas trop au privilège de se faire dorloter.

A gauche: Les enfants convales­ cents se plaignent souvent de s'en­ nuyer.

Cette photo vous montre une excellente solution: on a placé sur le lit une petite table qui per­ met à l'enfant malade de se dis­ traire enjouant.

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