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La vie sexuelle et la santé

Publié le 30/04/2012

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On trouve des troubles du fonctionnement sexuel comme conséquence du vieillissement beaucoup moins fréquemment que des troubles du coeur, du foie, des reins, du système nerveux ou d'autres organes et processus physiques. La probabilité de tels incidents peut être fortement réduite si on adopte un style de vie approprié, un régime ou une attitude mentale. Mais qu'en est-il des autres troubles organiques propres à la vieillesse et quel est leur effet sur la vie sexuelle?

« Ci-dessus: Au cours de l'acte sexue l, on constate une forte aug­ mentation du r ythme cardiaque, de la respiration et de la circula­ tion sanguine .

dant la relation sexuelle ont montré, non sans intérêt, que la majorité de ces cas arri­ vent au cours d'un coït avec une personne qui n'est pas le conjoint.

Les chercheurs en médecine proposent comme raison à cette découverte une consommation excessive d'alcool ou de nourriture riche et le fait que la relation sexuelle en dehors du mariage peut produire une tension émotionnelle ac­ crue sous forme d'excitation, de sentiments de culpabilité et de craintes d'être découvert.

Bien que l'alcoolisme ne soit pas, à stricte­ ment parler, un trouble organique, c'est un état dont les personnes âgées peuvent souf­ frir, et qui affecte fortement leurs fonctions sexuelles.

Plusieurs facteurs poussent à aug­ menter la consommation d'alcool à l'âge mûr, et cette consommation régulière peut entraîner un phénomène de tolérance.

Cer­ tains peuvent trouver dans l'alcool une diver­ sion agréable à leurs préoccupations et à leurs soucis.

Un tel accroissement de la con­ sommation peut aisément devenir de l'al­ coolisme, c'est-à-dire une dépendance physi­ que totale d'une absorption importante et régulière d'alcool, et même dans les cas les moins graves, l'alcoolisme peut sérieusement altérer l'activité sexuelle.

Bien qu'il soit exact qu'après un ou deux verres, on puisse ressen­ tir un relâchement de la tension, et que la suppression de l'angoisse et des inhibitions puisse amener une amélioration temporaire du fonctionnement sexuel, la limite au-delà de laquelle la consommation d'alcool désen­ sibilise le système nerveux et mène à l'échec sexuel est impossible à déterminer avec préci­ sion.

Il en est ainsi pour chaque individu, car les réactions varient en fonction de l'humeur, du moment de la journée et de la condition physique générale.

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