accord - Définition.
Publié le 18/10/2013
                             
                        
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                                                                    Dans la théorie occidentale classique du système tonal, la note qui
sert de base à l'accord, constitué de tierces superposées, se nomme « fondamentale ».
Lorsque cette note reste placée à la basse, on dit de l'accord qu'il est à l'état fondamental.
Dans le cas contraire, il est à l'état de renversement.
                                                            
                                                                                
                                                                    Un accord de trois sons a deux
renversements, un accord de quatre sons, trois renversements, etc.
                                                            
                                                                                
                                                                    On distingue
généralement les accords classés (la plupart d'entre eux, et les plus utilisés) et les accords
non classés (par exemple l'accord de quinte augmentée et l'accord de septième majeure).
D'autre part, parmi les accords classés, on sépare habituellement les accords consonants
(accords parfaits majeurs et mineurs) et les accords dissonants (accords de 7	e, 9	e, 11	e,	
13	e et autres).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Voir aussi 	harmonie	.	
Selon l'harmonie traditionnelle  des grands théoriciens du  XIX	e siècle, l'accord  devait	
toujours pouvoir être reconstitué à l'état de tierces superposées.
                                                            
                                                                                
                                                                    Si tel n'était pas le cas,
on préférait parler d'agrégat, terme qui désigne un ensemble de sons dont les notes, les
dispositions et les enchaînements sont totalement libres, alors que l'accord est soumis, à
l'intérieur du système tonal, à certaines règles très précises concernant sa fonction et ses
résolutions.
                                                            
                                                                        
                                                                    Toutefois, avec l'apparition, au début du XX	e siècle, de l'atonalité, ces règles	
disparurent complètement,  l'accord n'ayant plus de fonction  tonale, ni d'obligation
d'enchaînements.
                                                            
                                                                                
                                                                    Debussy fut l'un des premiers à considérer l'accord comme une sonorité
et une couleur en soi.	
L'accord des instruments consiste à ajuster la hauteur des sons émis par un instrument	
par  rapport  à une  hauteur  de référence  qui est  le 	la 	du diapason.
                                                            
                                                                                
                                                                     Il existe  plusieurs	
systèmes d'accords dont les principaux sont : le système pythagoricien, qui procède par
cycles  de quintes  ascendantes  et descendantes  ; le  système  « naturel  », fondé  sur
l'équivalence des octaves ; les différents systèmes de tempérament, égaux ou inégaux.
                                                            
                                                                                
                                                                    À
de rares exceptions près, la musique occidentale adopte le tempérament égal établi par
Werckmeister en 1691, qui divise l'octave en douze demi-tons égaux.	
La musique afro-américaine a adopté le chiffrage américain des accords (par exemple	
C7 pour 	do 	septième) et leur présentation quadrillée sous forme de « grille » qui montre la	
progression  harmonique  du thème  servant  de base  à l'improvisation.
                                                            
                                                                                
                                                                     Dans le jazz
moderne, des accords de passage intermédiaires enrichissent cet enchaînement..
                                                                                                                    »
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