Devoir de Philosophie

Définition du terme: COUSU, -UE, participe passé et adjectif.

Publié le 04/12/2015

Extrait du document

Définition du terme: COUSU, -UE, participe passé et adjectif. I.— Participe passé de coudre* II.— Adjectif. A.— [Correspond à coudre A] 1. Attaché à ou attaché ensemble par des points. Le drap de dessus est toujours cousu à la couverture (FRANÇOIS-RENÉ DE CHATEAUBRIAND,Mémoires d'Outre-Tombe, tome 4, 1848, page 200 ). Les tapis étaient faits d'échantillons cousus (HENRI, ALBAN FOURNIER, DIT ALAIN-FOURNIER, Le Grand Meaulnes, 1913, page 237 ). Tous ces petits champs comme un tapis fait de lambeaux cousus ensemble (VALÉRY LARBAUD, A. O. Barnabooth, 1913, page 275 ). — Cousu de.. Auquel est cousu quelque chose. Des étoffes cousues de pierreries (ÉMILE ZOLA, La faute de l'Abbé Mouret, 1875, page 1298 ). 2. Fait de morceaux assemblés par des points. De belles chemises bien cousues (HONORÉ DE BALZAC, Le Père Goriot, 1835, page 111 ). — Cousu main. Le fort crapaud cousu main, à multiples compartiments, article inusable (LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Mort à crédit, 1936, page 371 ). — Par métaphore. Le Louvre est une drôle de bâtisse, cousue de bouts et de morceaux (ALEXANDRE ARNOUX, Paris-sur-Seine, 1939, page 11 ). 3. [Correspond à coudre A 1 a] Ce trousseau de souris blanche, qui lui a mangé les yeux avec ses petits points si fin cousus (ALPHONSE DAUDET, Pages inédites de critique dramatique. 1897, page 90 ). 4. Enfermé dans un contenant cousu. Une pièce d'or de vingt francs cousue dans le haut de mon jupon (HONORÉ DE BALZAC, Le Médecin de campagne, 1833, page 257 ). Les soldats, violant les tombeaux Aymaras, En arrachaient les morts cousus dans leurs suaires (JOSÉ-MARIA DE HEREDIA, Les Trophées, 1893, page 191 ). Un énorme ballot soigneusement cousu dans une couverture brune (PIERRE BENOÎT, L'Atlantide, 1919, page 265 ). B.— Au figuré. 1. [Expression figée se référant à une manière de coudre] a) Cousu main. De bonne qualité, sûr, parfait : Ø 1. [L'inconnu] J'ai pris aussi mes renseignements sur la firme (...). Bonne position partout, du crédit et du large, tout ça solide et cousu-main. PAUL VIALAR, Le Bon Dieu sans confession, 1953, page 206. — Emploi comme substantif. C'était du cousu main (LANGUE VERTE ET NOIRS DESSEINS (AUGUSTE LE BRETON), Du Rififi chez les hommes, 1953, page 30 ). b) Cousu de fil blanc. Peu élaboré, grossier, qui ressemble à quelque chose dont les coutures seraient apparentes. Intrigue, film, roman, mensonge cousu de fil blanc. Des explications de femme cousues de fil blanc (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1859, page 675 ). C'est cousu de fil blanc leur machin (PAUL VIALAR, LES FINS DERNIÈRES, 1953, page 107 ). — Cousu de gros fil, de corde à puits. ... ça ne prend pas avec moi, ces malices cousues de cordes à puits (GEORGES MOINAUX, DIT GEORGES COURTELINE, La Vie de ménage, La Peur des coups, 1895, page 176 ). L'orgueil me retient d'amener à mon secours quelque diversion cousue de gros fil (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine en ménage, 1902, page 156 ). 2. [Correspond à coudre B 1 a] Attaché, dépendant : Ø 2.... c'était touchant de voir ces deux grands garçons (...) cousus à la robe de leur mère et lui obéissant et restés enfants pour elle. ADÈLE FOUCHER, MME VICTOR HUGO, Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie, 1863, page 230. 3. [Se référant à l'idée de fermeture] a) Cousu de quelque chose. — Qui a une grande quantité de. Aventurier cousu d'or et de pierreries (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le Comte de Morcerf, 1851, V, 3, page 121 ). Il est cousu de revolvers, ce vieux trappeur (EUGÈNE LABICHE, Doit-on le dire? 1873, III, 11, page 118 ). — Qui est plein de. · [En parlant de pers] Cousus de cicatrices, de coups, de dettes. [Un écrivain] cousu de grec et de latin (CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Portraits littéraires, tome 2, 1844-64, page 469 ). Il [Martial] la trouva [Mme. Matefan] cousue de rhumatisme, gémissante (LÉON DAUDET, Le Coeur brûlé, 1929, page 120 ). · [En parlant de choses] Je ne me suis pas contenté de ces sornettes cousues de mensonges (FERDINAND FABRE, Mon oncle Célestin, 1881, page 402 ). b) [Correspond à coudre B 2] Bouche cousue. Bouche fermée pour ne pas parler. Le prédicateur suprême doit ne pas avoir les mains liées et la bouche cousue (PAUL VERLAINE, Œuvres complètes, tome 4, Mémoires d'un veuf, 1886, page 255 ). Oreille ouverte, bouche cousue (HERVÉ BAZIN, L'Huile sur le feu, 1954, pages 178-179 ). — Lèvres cousues. Tais-toi, Ponce-Chumane, dit Zidore à lèvres cousues, mais si nettement que chacun l'entendit (ALEXANDRE ARNOUX, Rhône, mon fleuve, 1944, page 196 ). — Familier. Bec cousu. Silencieux (...), il demeurait bec cousu, mangeant la jeune fille de ses deux grands yeux affamés (FERDINAND FABRE, Barnabé, 1875, page 231 ). Le bec cousu à triple fil (MAURICE GENEVOIX, L'Assassin, 1948, page 154 ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 307. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 274, b) 611; XXe. siècle : a) 417, b) 493. Forme dérivée du verbe "coudre" coudre COUDRE1, verbe transitif. A.— Attacher ou assembler par des points faits avec un fil passé dans une aiguille. 1. [Avec la seule idée d'un assemblage de parties libres] a) Coudre quelque chose à (parfois sur, au milieu de). Coudre un ruban à un corsage, une semelle à une chaussure, des paillettes sur un habit. La vieille tira solennellement un pan de culotte, une pièce qu'elle voulait y coudre, des aiguilles, un dé (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 186) : Ø 1. Leur grand labeur était accompli. Maison payée. Pour finir les traites plus vite, les dernières, elle s'était même mise à coudre des boutons sur des gilets, pour le compte d'un grand magasin. « Ce qu'il faut en coudre pour cent sous, c'est pas croyable! » LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, page 312. — Locutions proverbiales, vieilles. Coudre la peau du renard à celle du lion. Joindre la ruse à la force. Flaminius (...) qui savait, comme l'autre, coudre la peau du renard à celle du lion (JULES MICHELET, Histoire romaine, tome 2, 1831, page 55 ). — [Par ellipse du complément prépositionnel] Coudre des agrafes, de la dentelle. Le petit Belin coud les boutons de sa capote avec du fil téléphonique (ROLAND LECALELÉ, DIT ROLAND DORGELÈS, Les Croix de bois, 1919, page 76 ). b) [Le complément d'objet désigne les parties à assembler] Elle coud les pièces d'un couvre-lit multicolore (JULIEN GREEN, Journal, 1941, page 128) : Ø 2. Il ne restait plus que quelques mauvais fragments [d'étoffe] usés et fatigués; cependant, en les cousant les uns au bout des autres, le tailleur parvint à dresser un petit collet qui arrivait au milieu du dos de Robert. JULES FLEURY-HUSSON, DIT CHAMPFLEURY, Les Souffrances du professeur Delteil, 1855, page 228. — RELIURE. Passer un fil à l'intérieur de chaque cahier d'un livre pour les assembler en volume. Finir un livre, c'est coudre les feuilles et leur mettre une couverture (JULES RENARD, Journal, 1901, page 682 ). — Par métonymie de l'objet. [le complément, qui peut être précédé de l'article partitif, désigne la matière dont est fait l'objet] Des femmes assises cousaient de la toile pour faire des tentes (GUSTAVE FLAUBERT, Bouvard et Pécuchet, tome 1, , 1880, page 121 ). Ceux qui cousent, accroupis, le cuir ou la laine (LOUIS ARAGON, Les Beaux quartiers, 1936, page 172 ). c) [Le complément d'objet désigne l'objet complexe résultant de l'assemblage de parties libres] Fabriquer en assemblant les morceaux. Coudre une chemise, un jupon, des guêtres, un sac, des souliers. Que le cordonnier se remette à coudre des bottes (GUSTAVE FLAUBERT, La Première éducation sentimentale, 1845, page 250 ). Les drapeaux que les femmes cousaient avec des morceaux de soie taillés dans leurs robes (JULIEN GREEN, Journal, 1933, page 177) : Ø 3. À quelques jours de là, maman revint d'une course en ville avec un énorme ballot qu'elle ouvrit, le soir, sur la table. C'étaient des pantalons d'homme, tout coupés; il ne restait plus qu'à les coudre. GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Notaire du Havre, 1933, page 187. — RELIURE. Jean fut un petit enfant chétif que sa mère nourrissait tout en cousant les livres, feuille à feuille, avec l'aiguille courbe (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les désirs de Jean Servien, 1882, page 1 ). d) [Avec un complément d'objet interne] En train de coudre de petits points blancs, rapides et méticuleux (JOSEPH MALÈGUE, Augustin ou le Maître est là, tome 2, 1933, page 122 ). e) emploi absolu. Coudre habilement, maladroitement; coudre serré; aimer coudre; aiguille à coudre. Elle cousait à points réguliers, avec une application d'ouvrière (ÉMILE ZOLA, Une Page d'amour, 1878, page 1008 ). On cousait sans relâche (HENRI BOSCO, Le Mas Théotime, 1945, page 16) : Ø 4.... elle qui disait toujours qu'elle ne pouvait pas coudre si elle n'avait pas le numéro de fil et les boutons qu'il fallait. MARCEL PROUST, Le Temps retrouvé, 1922, page 1033. · Dé à coudre : Le dé à coudre de maman frappant rêveusement la table (GEORGES DUHAMEL, Vue de la Terre promise, 1934, page 75 ). · Machine à coudre. J'ai vu à l'Exposition de l'Industrie une machine à coudre, qui fait le travail de 25 ouvrières par jour (EDMOND DE GONCOURT, JULES DE GONCOURT, Journal, 1855, page 207 ). Remarque : Coudre est souvent associé aux verbes suivants couper, tailler, faufiler, piquer, surfiler, broder. 2. [Avec une idée ou une visée de fermeture] a) [L'action implique la fermeture de quelque chose qui est, primitivement ou normalement, ouvert] Il ne peut s'empêcher de mettre ses mains dans ses poches (...). Elle finit par coudre un jour les poches, avec les mains (JULES RENARD, Poil de carotte, 1894, page 298 ). — CHIRURGIE. Synonyme : suturer. Coudre une plaie, les bords, les lèvres d'une plaie (Dictionnaire de l'Académie française. 1798-1932). b) Coudre quelque chose/quelqu'un dans quelque chose. Enfermer dans un contenant cousu. Coudre quelqu'un dans un linceul, coudre de l'or dans le revers d'une veste. Elle cousit dans un sachet, divers brimborions magiques (ÉLÉMIR BOURGES. Le Crépuscule des dieux 1884, page 256) : Ø 5. Pendant la traversée, la petite Francine fut si mal qu'on la crut morte. On allait la coudre dans un pavillon et la jeter par-dessus bord. ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Le Génie latin, 1909, page 55. Remarque : On rencontre exceptionnellement l'expression figurée coudre dans un même sac, équivalent à mettre dans le même sac, au sens de « considérer de la même façon (souvent avec réprobation) ». Il coud dans le même sac les réactionnaires, les modérés, les radicaux socialistes (JEAN JAURÈS, Études socialistes, 1901, page 24). B.— Au figuré. 1. Attacher, joindre, lier. a) [En parlant de pers] Tenir lié, attaché. Mme. Shermier (...) qui cousit sa fille à ses jupes (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, La Naissance du jour, 1928, page 21 ). b) [En parlant de réalités abstraites, de créations de l'esprit, d'entités sociales] Assembler, attacher, joindre. Coudre deux idées; coudre des phrases les unes aux autres; coudre une métaphore dans un style. Ces terribles scènes sont cousues dans la trame du livre (HONORÉ DE BALZAC, Œuvres diverses, tome 3, 1850, page 384 ). Il me reste deux rallonges à coudre au bout de ce discours (JEAN COCTEAU, Poésie critique 2, 1960, page 169) : Ø 6. Ce sont ceux [des radicaux] qui, après avoir, avec l'appui des socialistes, réalisé leur programme, s'étaient dit : Il faut y coudre un programme social. JEAN JAURÈS, Le Guêpier marocain, 1914, page 140. — Emploi pronominal. La pauvre vieille commençait à balbutier des lambeaux de phrases qui se cousaient mal les uns aux autres (ÉMILE ZOLA, Thérèse Raquin, 1867, page 163 ). 2. [Avec une idée de fermeture] (Se) coudre la bouche. (Se) forcer à se taire, à rester muet. Elle avait toujours eu plus de propension à se coudre la bouche qu'à se dépendre la langue (OCTAVE FEUILLET, Bellah, 1850, page 171 ). Pour les aimer [ces dames] , il faudrait d'abord leur coudre la bouche (JULES RENARD, Journal, 1898, page 485 ). Remarque : 1. La documentation atteste le substantif masculin cousage. Action de coudre ensemble les cahiers d'un livre en vue de sa reliure (d'après Dictionnaire général de la langue française au Canada (LOUIS-ALEXANDRE BÉLISLE) 1957); Nouveau Larousse illustré Supplément 1907 atteste, dans le même sens, le substantif féminin cousure. 2. Larousse du XXe. siècle en six volumes atteste le verbe intransitif cousailler, rare, populaire Coudre, raccommoder, en y mettant peu de soin, sens également illustré par cousillonner que l'on trouve chez Balzac (Correspondance, 1819, page 53) : Carrick Tourangeau que le céleste Grogniard de boustiquante mémoire a cousillonné. STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 667 (Cousant : 46). Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 423, b) 809; XXe. siècle : a) 1 314, b) 1 255.

« avec moi, ces malices cousues de cordes à puits (GEORGES MOINAUX, DIT GEORGES COURTELINE, La Vie de ménage, La Peur des coups, 1895, page 176 ).

L'orgueil me retient d'amener à mon secours quelque diversion cousue de gros fil (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine en ménage, 1902, page 156 ). 2.

[Correspond à coudre B 1 a] Attaché, dépendant : Ø 2....

c'était touchant de voir ces deux grands garçons (...) cousus à la robe de leur mère et lui obéissant et restés enfants pour elle. ADÈLE FOUCHER, MME VICTOR HUGO, Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie, 1863, page 230. 3.

[Se référant à l'idée de fermeture] a) Cousu de quelque chose. — Qui a une grande quantité de.

Aventurier cousu d'or et de pierreries (ALEXANDRE DUMAS PÈRE, Le Comte de Morcerf, 1851, V, 3, page 121 ).

Il est cousu de revolvers, ce vieux trappeur (EUGÈNE LABICHE, Doit-on le dire? 1873, III, 11, page 118 ). — Qui est plein de. · [En parlant de pers] Cousus de cicatrices, de coups, de dettes.

[Un écrivain] cousu de grec et de latin (CHARLES- AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Portraits littéraires, tome 2, 1844-64, page 469 ).

Il [Martial] la trouva [Mme.

Matefan] cousue de rhumatisme, gémissante (LÉON DAUDET, Le Coeur brûlé, 1929, page 120 ). · [En parlant de choses] Je ne me suis pas contenté de ces sornettes cousues de mensonges (FERDINAND FABRE, Mon oncle Célestin, 1881, page 402 ). b) [Correspond à coudre B 2] Bouche cousue.

Bouche fermée pour ne pas parler.

Le prédicateur suprême doit ne pas avoir les mains liées et la bouche cousue (PAUL VERLAINE, Œuvres complètes, tome 4, Mémoires d'un veuf, 1886, page 255 ). Oreille ouverte, bouche cousue (HERVÉ BAZIN, L'Huile sur le feu, 1954, pages 178-179 ). — Lèvres cousues.

Tais-toi, Ponce-Chumane, dit Zidore à lèvres cousues, mais si nettement que chacun l'entendit (ALEXANDRE ARNOUX, Rhône, mon fleuve, 1944, page 196 ). — Familier.

Bec cousu.

Silencieux (...), il demeurait bec cousu, mangeant la jeune fille de ses deux grands yeux affamés (FERDINAND FABRE, Barnabé, 1875, page 231 ).

Le bec cousu à triple fil (MAURICE GENEVOIX, L'Assassin, 1948, page 154 ). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 307.

Fréquence relative littéraire : XIXe.

siècle : a) 274, b) 611; XXe. siècle : a) 417, b) 493. Forme dérivée du verbe "coudre" coudre COUDRE1, verbe transitif. A.— Attacher ou assembler par des points faits avec un fil passé dans une aiguille. 1.

[Avec la seule idée d'un assemblage de parties libres] a) Coudre quelque chose à (parfois sur, au milieu de).

Coudre un ruban à un corsage, une semelle à une chaussure, des paillettes sur un habit.

La vieille tira solennellement un pan de culotte, une pièce qu'elle voulait y coudre, des aiguilles, un dé (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, Les Soeurs Vatard, 1879, page 186) : Ø 1.

Leur grand labeur était accompli.

Maison payée.

Pour 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles