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Définition: ÉSOTÉRISME, substantif masculin.

Publié le 31/01/2016

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Définition: ÉSOTÉRISME, substantif masculin. A.— PHILOSOPHIE ANTIQUE. Enseignement professé à l'intérieur de l'École et réservé aux initiés. Monsieur Cabillaud ranimé, laissait de nouveau échapper de ses lèvres ce flux de paroles sages, dont l'élégance, la syntaxe et l'élévation morale le faisaient ressembler à un philosophe grec qui eût lâché l'ésotérisme pour se mettre davantage à la portée de la vie courante (FRANCIS DE MIOMANDRE, Écrit sur de l'eau. 1908, page 252 ). B.— Par extension. Caractère de ce qui exige une initiation pour être compris. Ésotérisme du Nouveau Roman. Il [le paranoïaque] affectionne l'ésotérisme, les divagations philosophiques, les pièces à thèse, les sciences occultes (EMMANUEL MOUNIER, Traité du caractère, 1946, page 552 ). Ils [des rites] ne placent toutefois pas leurs sources initiatiques dans l'ésotérisme chrétien (PAUL NAUDON, La Franc-maçonnerie, 1963, page 105 ). Remarque : On rencontre dans la documentation ésotériste, substantif, philosophie religieuse. Adepte de l'ésotérisme. Les spéculations des ésotéristes ramènent à la surface des idées gnostiques (Philosophie, Religion (SOUS LA DIRECTION DE GASTON BERGER), 1, page 4811). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 3

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