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Définition: EXAGÉRÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.

Publié le 03/02/2016

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Définition: EXAGÉRÉ, -ÉE, participe passé et adjectif. I.— Participe passé de exagérer* II.— Emploi adjectival. Qui présente un aspect excessif (voir ce mot B 1). (Quasi-)synon, extrême, outrancier, outré. Car enfin, parmi ces derniers il n'en est aucun à qui l'impôt, quelque exagéré qu'il soit, ravisse la totalité de son revenu (JEAN-BAPTISTE SAY, Traité d'économie politique, 1832, page 555 ). Les attitudes et les gestes de la fille me paraissaient aussi exagérés, aussi faux que ceux de la mère (ANDRÉ GIDE, Isabelle, 1911, page 656) : Ø ... l'histoire touchante des petites filles abandonnées ou perdues dont la vie est condensée sur l'écran en douze minutes de misère atroce et trois minutes de réparation et d'apothéose dans un salon d'un luxe exagéré... LOUIS HÉMON, Maria Chapdelaine, 1916, page 178. — [En construction impersonnelle] Il est exagéré de + infinitif, c'est exagéré (de + infinitif). Il est excessif de. Vous tombez, chère Athéna, dans un moment de l'entretien qu'il n'est pas exagéré de dire pathétique (GEORGES DUHAMEL, Cécile parmi nous, 1938, page 49 ). — Emploi comme substantif masculin. Personne qui a des idées, un comportement extrême, excessif. À 5 h le dépouillement terminé a donné pour résultat trois majorités : Messieurs Maine de Biran, Verneilh et Laval. La force du parti constitutionnel a été ainsi prouvée; les exagérés ont été abattus (MARIE-FRANÇOISE-PIERRE GONCTHIER DE BIRAN, DIT MAINE DE BIRAN, Journal, 1817, page 63 ). Dénoncé aux Jacobins comme un exagéré, ce jeune soldat pouvait la compromettre et la perdre [la citoyenne Rochemaure] (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Dieux ont soif, 1912, page 146 ). Remarque : Ce mot était un terme politique employé à l'époque de la Révolution. · Substantif masculin à valeur de neutre. Ce qui est exagéré, excessif (dans quelque chose). Hugo, dans l'expression, rencontre souvent ce qui est bien, ce qui est lumineux et éclatant, mais il part de là pour redoubler et pour pousser à l'exagéré, à l'éblouissant, à l'étonnant (CHARLES-AUGUSTIN SAINTE-BEUVE, Mes Poisons, 1869, page 36 ). Fréquence absolue littéraire : 1 064. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 1 769, b) 1 563; XXe. siècle : a) 1 759, b) 1 118. DÉRIVÉS : Exagérément, adverbe D'une manière exagérée. Exagérément drôle. Synonymes : excessivement, à l'excès; antonyme : modérément. Vous vous désolez exagérément (Dictionnaire de l'Académie française. 1932). Tout ce que je désire, c'est qu'elle ne devienne pas trop la petite souveraine de cette école, et qu'elle ne tourmente pas exagérément cette petite (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, Claudine à l'école, 1900, page 144 ). À tort ou à raison, j'en voulais à ma mère de ce que j'étais. Il me semblait que j'expiais le malheur d'avoir été, depuis l'enfance, exagérément couvé, épié, servi. Je fus, en ce temps-là, avec elle, d'une dureté atroce (FRANÇOIS MAURIAC, Le Noeud de vipères, 1932, page 33 ). Un chauvinisme qui me semble subsister dans une certaine presse exagérément anti-allemande (VALÉRY LARBAUD, Journal, 1935, page 346 ). Forme dérivée du verbe "exagérer" exagérer EXAGÉRER, verbe transitif. A.— [Le complément direct désigne une réalité concrète ou abstraite sur laquelle la personne désignée par le sujet émet une opinion ou un jugement] 1. [Avec un complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Présenter (à quelqu'un) un aspect de quelque chose comme plus important qu'il n'est réellement. Exagérer l'étendue des dégâts. (Quasi-)synonymes : amplifier, surestimer; antonyme : minimiser. Exagérer l'importance d'une action (Dictionnaire de l'Académie Française). Avec une hardiesse abominable, il exagérait certains aspects de la nature (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Le Rouge et le Noir, 1830, page 408 ). — Emploi pronominal réfléchi indirect. Il s'exagère l'importance de ce contrat. Leconte de Lisle s'exagère l'éminente dignité du rôle de la volonté dans l'art (MAURICE BARRÈS, Le Voyage de Sparte, 1906, page 132 ). Nul ne peut s'exagérer la valeur scientifique de telles considérations (ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, 1932, page 4 ). · [Le sujet désigne un attribut de la personne] La sensibilité détruite par les distractions n'a le temps de s'exagérer le prix de rien (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Vie de Rossini, 1823, page 258 ). Leur candeur s'exagère sans doute les mérites de plusieurs de leurs amis (ABBÉ HENRI BREMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux en France, tome 4, 1920, page 279 ). 2. [Sans complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Présenter (une chose) (à quelqu'un) en lui donnant une importance ou des proportions plus grandes qu'elles n'en a réellement. Exagérer une victoire; il exagère les vertus, le mérite de son ami (Dictionnaire de l'Académie Française). (Quasi-)synonymes : amplifier, surestimer; antonymes : minimiser, sous-estimer. Tout le détail que l'on vient de lire, nous ne le connaissons que par M. Olier, qui, tout ensemble, l'exagère et l'atténue (ABBÉ HENRI BREMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux en France, tome 3, 1921, page 441 ). Peut-être, pour se vanter, la doucheuse exagérait-elle le pourboire (MARCEL PROUST, La Fugitive, 1922, page 520) : Ø 1.... voici un fait... un fait réel... un fait horrible... un fait révélateur... celui-là, je ne l'invente pas... je ne l'exagère pas... je ne l'ai pas rêvé... il est bien tel qu'il est... OCTAVE MIRBEAU, Le Journal d'une femme de chambre, 1900, page 180. — Emploi pronominal réfléchi indirect. Il s'exagère les torts de cet enfant — Je veux croire, dit-elle, que vous vous exagérez le danger. Sinon, c'est en effet très fâcheux. Mais qu'y puis-je? (EUGÈNE MELCHIOR, VICOMTE DE VOGÜÉ, Les Morts qui parlent, 1899, page 316 ). — Mais non, Auguste voyons, je t'assure!... tu te fais des idées! tu t'exagères les moindres mots! (LOUIS-FERDINAND DESTOUCHES, DIT CÉLINE, Mort à crédit, 1936, page 86) : Ø 2. François soupçonnait peut-être mal la noblesse de sa mère. Aussi était-il porté, dans la vie qu'il menait, à s'exagérer son mérite personnel... RAYMOND RADIGUET, Le Bal du Comte d'Orgel, 1923, page 80. — emploi absolu (Quasi-)synonymes : amplifier, charrier (familier), pousser (familier); antonyme : minimiser. Il lisait le « Daily Mail ». « Lisait » est une façon de parler, car il ne savait pas l'anglais. Allons, n'exagérons pas : il en savait quelques mots (HENRI DE MONTHERLANT, Les Célibataires, 1934, page 768) : Ø 3. — J'ai trente ans, Monsieur. — Je vous en donnais vingt. — Oh! Monsieur, vous exagérez. Je vous jure que j'en ai trente, et je m'étonne que vous me rajeunissiez, car, ce matin, je ne suis pas moi-même. JULES RENARD, Journal, 1898, page 511. B.— [Le complément direct désigne une réalité concrète sur laquelle le référent du sujet exerce une action; sans complément datif] 1. [Le sujet désigne un animé agent du procès] a) [Avec un complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Rendre (un aspect de quelque chose) trop (ou très) grand, long, intense, etc. (par quelque chose). (Quasi-)synonymes : accentuer, outrer; antonymes : diminuer, modérer. Pas besoin pour Brague, de poudrer mon nez, ni d'exagérer, d'un trait bleu, la longueur de mes paupières (GABRIELLE COLLETTE, DITE COLETTE, La Vagabonde, 1910, page 52) : Ø 4. Nana, s'oubliant devant cette brusque attaque, allait se mettre les poings aux hanches et la traiter de salope. Elle se retint, elle exagéra le ton flûté de sa voix, avec un geste de marquise qui va marcher sur une pelure d'orange. ÉMILE ZOLA, Nana, 1880, page 1345. b) [Sans complément spécifiant] Rendre quelque chose excessif (voir ce mot B 1) (par l'emploi de quelque chose). Il exagère son accent. Elle [ma soeur] avait vieilli avant le temps, et elle avait l'habitude d'exagérer encore son âge par son costume et ses manières (ERNEST RENAN, Ma soeur Henriette, 1862, page 39 ). Lorsqu'elle aperçut que Daniel les épiait, elle exagéra sa gaieté (ROGER MARTIN DU GARD, Les Thibault, La Belle saison, 1923, page 854) : Ø 5. Son âge — il était mon aîné de cinq ans — ses façons et son titre m'en imposaient plus que je ne voulais me l'avouer, et je m'en vengeais en exagérant, à l'occasion, une familiarité qu'il avait le bon goût de ne jamais rembarrer. ROGER CRÉTIN, DIT ROGER VERCEL, Capitaine Conan, 1934, page 42. — emploi absolu. Aller au-delà de la mesure dans ses actions. Synonymes : abuser, charrier (familier), pousser (familier). Il exagère : il a pris la plus grosse part (DICTIONNAIRE DU FRANÇAIS CONTEMPORAIN (JEAN DUBOIS) ). Remarque : La documentation atteste la construction exagérer quelque chose en quelque chose. Cependant il ne lui fallait pas exagérer le mépris en obsession pour pouvoir mépriser encore (MARCEL JOUHANDEAU, M. Godeau, 1926, page 114). 2. [Le sujet désigne le moyen] a) [Avec un complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Rendre (quelque chose) trop (ou très) grand, long, intense, etc. Son costume exagère l'ampleur de sa carrure. (Quasi-)synonymes : accentuer, outrer; antonymes : diminuer, modérer. La gorge ronde des mannequins gonflait l'étoffe, les hanches fortes exagéraient la finesse de la taille (ÉMILE ZOLA, Au Bonheur des dames, 1883, page 392 ). Le bouffant des manches [de la dame du portrait] exagérait encore la minceur de son cou (PAUL DUVAL, DIT JEAN LORRAIN, Sensations et souvenirs, 1895, page 73 ). Confer atrophier exemple 1 : Ø 6. Cette prétention d'aristocratie jurait singulièrement avec sa personne. Comme il était petit, sa grande redingote marron exagérait la longueur de son buste. Quand il ôtait sa casquette, on apercevait un visage presque féminin avec un nez extrêmement pointu... GUSTAVE FLAUBERT, L'Éducation sentimentale, tome 1, 1869, page 121. b) [Sans complément spécifiant] Donner (à quelque chose) des proportions excessives (voir excessif B 1). Cette veste exagère sa taille. (Quasi-)synonymes : accentuer, outrer; antonymes : diminuer, réduire. Qu'elle [la photographie] (...) exagère les animaux microscopiques (...), jusque-là rien de mieux (CHARLES BAUDELAIRE. Curiosités esthétiques, 1859, page 224 ). Voici le moment où flottent dans l'air Tous ces bruits confus que l'ombre exagère (VICTOR HUGO, L'Art d'être grand-père, 1877, page 51 ). La jupe, enflée encore sous les reins, déguisait les formes en les exagérant (ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Les Dieux ont soif, 1912, page 51 ). C.— [Le sujet désigne une réalité sur laquelle porte l'exagération] 1. [Avec un complément direct indiquant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Présenter un aspect (taille, ligne, etc.) excessif (voir ce mot B 1). La rivière exagère sa sinuosité. (Quasi-)synonyme : accentuer. Sous l'influence des passions, le sourcil (...) exagère sa courbure (DOCTEUR PAUL RICHER, Nouvelle anatomie artistique du corps humain, tome 2, 1920, page 121 ). Devant lui [Gaston] , une colline exagérait sa rondeur grâce aux talus qui la striaient (JEAN-BALTHASAR MALLARD, COMTE DE LA VARENDE, Le Centaure de Dieu, 1938, page 193) : Ø 7.... les Pyrénées écrasaient le village; les cimes espagnoles ou les cimes françaises étaient là, toutes également proches, comme plaquées les unes sur les autres, exagérant leurs bruns calcinés, leurs violets intenses et sombres. JULIEN VIAUD, DIT PIERRE LOTI, Ramuntcho, 1897, page 261. 2. Emploi pronominal à sens passif. La surdité s'exagère avec l'âge; la peur s'exagère de plus en plus. Devenir excessif (voir ce mot B 1); prendre des proportions excessives. (Quasi-)synonymes : s'accentuer; antonymes : diminuer, régresser. Quand je lisais, accroupi sur mon tabouret, je sentais s'exagérer tout ce qu'il y a de défectueux dans mon attitude ordinaire (GEORGES DUHAMEL, Confession de minuit, 1920, page 173 ). Les muscles s'exagèrent ou se rétrécissent, les doigts s'écartent en étranges masses osseuses (GILLES DE LA TOURETTE, Léonard de Vinci, 1932, page 40) : Ø 8. La santé ne réside-t-elle pas dans le pouvoir d'équilibre qui nous permet d'arrêter nos impressions avant qu'elles ne s'amplifient, qu'elles ne s'exagèrent, jusqu'à dépasser notre force? PAUL BOURGET, Nouveaux Essais de psychologie contemporaine, préface. 1885, page 156. Remarque : 1. La documentation atteste a) Exagérant, ante, participe présent en emploi adjectival. Qui exagère, qui est excessif. On peut dire (...) sans tomber dans les illusions exagérantes auxquelles on est sans cesse conduit lorsqu'il s'agit d'un homme tel que Mozart, que rien absolument ne peut être comparé à l'Idoménée (Henri Beyle, dit Stendhal, Haydn, Mozart et Métastase, 1817, page 265, 266). Et c'est le moment que choisit son autonomie pour affirmer avec une fermeté exagérante qu'il ne comprend pas le vilain mot, qu'il ne le comprendra jamais (Joseph Malègue, Augustin, tome 1, 1933, page 17). b) Exagéreur, euse, substantif. Personne qui exagère. Pour lui [fils de Dieu] le contradicteur est un ennemi, l'exagéreur et le lanceur est un ami (Denis Poulot, Le Sublime, 1872, page 111). 2. La plupart des dictionnaires enregistrent exagératif, ive, adjectif, vieux. Qui tient de l'exagération. Ordinairement les nouvellistes sont exagératifs; terme exagératif (Dictionnaire de l'Académie Française 1798-1835). Expression exagérative (Dictionnaire de l'Académie Française 1835). STATISTIQUES : Fréquence absolue littéraire : 1 303. Fréquence relative littéraire : XIXe. siècle : a) 1 539, b) 1 293; XXe. siècle : a) 2 141, b) 2 246.

« vipères, 1932, page 33 ).

Un chauvinisme qui me semble subsister dans une certaine presse exagérément anti-allemande (VALÉRY LARBAUD, Journal, 1935, page 346 ). Forme dérivée du verbe "exagérer" exagérer EXAGÉRER, verbe transitif. A.— [Le complément direct désigne une réalité concrète ou abstraite sur laquelle la personne désignée par le sujet émet une opinion ou un jugement] 1.

[Avec un complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Présenter (à quelqu'un) un aspect de quelque chose comme plus important qu'il n'est réellement.

Exagérer l'étendue des dégâts.

(Quasi-)synonymes : amplifier, surestimer; antonyme : minimiser.

Exagérer l'importance d'une action (Dictionnaire de l'Académie Française).

Avec une hardiesse abominable, il exagérait certains aspects de la nature (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Le Rouge et le Noir, 1830, page 408 ). — Emploi pronominal réfléchi indirect.

Il s'exagère l'importance de ce contrat.

Leconte de Lisle s'exagère l'éminente dignité du rôle de la volonté dans l'art (MAURICE BARRÈS, Le Voyage de Sparte, 1906, page 132 ).

Nul ne peut s'exagérer la valeur scientifique de telles considérations (ÉTIENNE GILSON, L'Esprit de la philosophie médiévale, 1932, page 4 ). · [Le sujet désigne un attribut de la personne] La sensibilité détruite par les distractions n'a le temps de s'exagérer le prix de rien (HENRI BEYLE, DIT STENDHAL, Vie de Rossini, 1823, page 258 ).

Leur candeur s'exagère sans doute les mérites de plusieurs de leurs amis (ABBÉ HENRI BREMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux en France, tome 4, 1920, page 279 ). 2.

[Sans complément spécifiant l'aspect sur lequel porte l'exagération] Présenter (une chose) (à quelqu'un) en lui donnant une importance ou des proportions plus grandes qu'elles n'en a réellement.

Exagérer une victoire; il exagère les vertus, le mérite de son ami (Dictionnaire de l'Académie Française).

(Quasi-)synonymes : amplifier, surestimer; antonymes : minimiser, sous-estimer.

Tout le détail que l'on vient de lire, nous ne le connaissons que par M.

Olier, qui, tout ensemble, l'exagère et l'atténue (ABBÉ HENRI BREMOND, Histoire littéraire du sentiment religieux en France, tome 3, 1921, page 441 ).

Peut-être, pour se vanter, la doucheuse exagérait-elle le pourboire (MARCEL PROUST, La Fugitive, 1922, page 520) : Ø 1....

voici un fait...

un fait réel...

un fait horrible...

un fait révélateur...

celui-là, je ne l'invente pas...

je ne l'exagère pas...

je ne l'ai pas rêvé...

il est bien tel qu'il est... OCTAVE MIRBEAU, Le Journal d'une femme de chambre, 1900, page 180. — Emploi pronominal réfléchi indirect.

Il s'exagère les torts de cet enfant — Je veux croire, dit-elle, que vous vous exagérez le danger.

Sinon, c'est en effet très fâcheux.

Mais qu'y puis-je? (EUGÈNE MELCHIOR, VICOMTE DE VOGÜÉ, Les Morts qui parlent, 1899, page 316 ).

— Mais non, Auguste voyons, 2. »

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