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note de lecture : Le pire n’est pas certain, Catherine et Raphaël Larrère

Publié le 19/05/2022

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« Fiche de lecture N°2 Le pire n’est pas certain, Catherine et Raphaël Larrère2020 Editions Premier Parallèle • Point de présentation Le thème général de l’ouvrage : Au travers d’une démarche qui se veut analytique l’ouvrage tente de déconstruire la pensée catastrophiste / collapsologue en expliquant pour cette dernière qu’elle n’est pas si étrangère au business as usual.

Dans le sens ou les deux pensées prônent une non-actions.

Même si les raisons de cette non-action diffèrent largement entre les deux pensées.

De plus l’ouvrage tente de mettre en exergue les failles dans la pensée catastrophistes certaine. Thèse des auteurs : Catherine et Raphaël Larrère, défendent d’avantage l’idée d’un effritement du système que son effondrement certain et prévisible. Méthodologie : L’ouvrage s’ouvre sur la crise sanitaire de la covid – 19 et les prémisses de l’effondrement que certain peuvent y déceler.

D’entrée de jeu les auteurs désavoue cela.

Ils tentent d’expliquer en trois temps pour quoi le pire n’est pas certain.

Dans un premier chapitre ils rendent compte de l’émergence du catastrophisme et de la dualité qu’il porte.

Pour dans un second temps critiquer le discours collapsologue de plus en plus en vogue.

Afin dans un troisième temps de mettre en relief le fait que ces pensées collapsologue vident de leur sens les combats politiques et qu’elle peut finalement se définir comme un renoncement à agir, un refus de penser la diversité des possibles. • Point Bibliographique Connu pour avoir contribuée en France au dévloppement de la philosophie environnementale, Catherine Larrère fut également présidente de la Fondation de l'écologie politique.

Raphaël Larrère, second auteur de cet ouvrage est agronome et sociologue.

Ancien de directeur de recherche à l'INRA.

Il a également présidé le conseil scientifique du parc national du Mercantour.

Ensemble ces deux penseurs vont publier plusieurs ouvrages notamment « du bon usage de la nature pour une philosophie de l'environnement » paru en 2009 aux éditions champs essais. • Résumé Dans un chapitre introductif les auteurs posent comme point de départ la crise sanitaire et économique engendrée par la covid-19.

Mettant en évidence le rôle de l’humain dans la fragilisation des écosystèmes et donc du rôle plus ou moins directe de l’humain dans la multiplication des épidémies.

Le chapitre introductif met en relief l’idée que cette crise mondiale à de nouveau mis sur la scène international les failles de notre système monde hyperconnecté.

Toutefois la crise de la covid-19 est pour les auteurs la preuve que l’effondrement n’a pas eu lieu et qu’il n’est pas certain.

En effet la crise n’a guère provoqué l’effondrement effectif comme peuvent le prédire les collapsologues.

Les institutions. »

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