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Veillée de Noël Le 24 décembre de cette année-là, le petit salon familial, avait été interdit dès le matin aux enfants du docteur Stahlbaum.

Publié le 05/04/2015

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Veillée de Noël Le 24 décembre de cette année-là, le petit salon familial, avait été interdit dès le matin aux enfants du docteur Stahlbaum. Fritz et Marie étaient assis, pelotonnés l'un contre l'autre, dans un coin de la chambre du fond. Marie frappa joyeusement dans ses petites mains et s'écria: -Oh ! qu 'est-ce que notre parrain Drosselmeier peut bien nous avoir fabriqué cette fois ? Le juge Drosselmeier était petit et maigre, son visage était couvert de rides, et il portait un grand carré de tissu à l'emplacement de son oeil droit; en outre, comme il n'avait pas un cheveu sur le crâne, il ne sortait jamais sans une superbe perruque blanche. Le juge Drosselmeier était d'ailleurs luimême très habile de ses dix doigts ; les horloges n'avaient pas de secret lui, il savait aussi bien les fabriquer que les réparer. l'occasion de Noël, il s'appliquait de son mieux pour confectionner un chef d'oeuvre , si précieux que les parents s'arrangeaient toujours pour le ranger hors de portée des enfants. Les enfants essayèrent aussi de deviner ce que leurs parents leur donneraient cette année. Marie remarqua que Mlle Gertrude (sa grande poupée) était dans un état lamentable. Quant à Fritz, il affirma que, comme son père le savait bien, il lui fallait un alezan pour ses écuries royales et que son armée était totalement dépourvue de cavalerie. Louise leur rappela, alors qu'ils étaient absorbés par une grande discussion à voix basse sur tous les présents qu'ils espéraient, que c'était toujours le petit Jésus qui, par l'intermédiaire de leurs chers parents, apportait aux petits enfants ce qui leur ferait réellement plaisir car il savait mieux qu'euxmêmes ce qu'il leur fallait. Au même moment, une clochette fit entendre son tintement argentin, les portes s'ouvrirent toutes grandes et un flot de lumière en provenance du grand salon les éblouit au point qu'ils restèrent pétrifiés. Papa et maman apparurent à la porte, prirent les enfants par la main et leur dirent : - Venez, venez, chers petits. Venez voir ce que vous a apporté le petit Jésus. Les cadeaux Il faut croire que les enfants ont été particulièrement sages cette année car jamais auparavant ils n'avaient reçu autant de splendides cadeaux. Marie découvrit les plus belles poupées et toutes sortes de petits ustensiles flambant neufs. Le plus beau était une robe de soie, ornée de rubans de couleur, qui avait été accrochée à l'arbre de manière qu'on puisse l'admirer sous toutes les coutures. Et Marie ne s'en priva pas, s'exclamant à tout instant: -Oh, quelle belle robe ! Qu'elle est jolie ! Pendant ce temps-là, Fritz avait déjà fait trois ou quatre fois le tour de la table sur son nouveau cheval, qu'il avait trouvé attaché par la bride Puis il passa en revue ses hussards, montés sur des chevaux si blancs qu'ils semblaient, eux aussi, être en argent. Sachant que leur parrain Drosselmeier allait à son tour leur faire découvrir ses cadeaux, ils se précipitèrent vers la table dressée contre le mur. On retira le paravent qui la cachait et, devinez ce que les enfants découvrirent ? Sur une pelouse verte, parsemée de fleurs, s'élevait un magnifique château aux innombrables fenêtres illuminées et aux tours dorées. Des carillons se mirent en marche aussitôt, portes et fenêtres s'ouvrirent et de minuscules, mais ravissants personnages, des dames en robes à traîne et des messieurs aux chapeaux à plumes apparurent, déambulant dans les salles. Dans la pièce centrale les chandeliers d'argent portaient tant de bougies qu'on les aurait dits en feu, et des enfants vêtus de petites redingotes et de pourpoints dansaient au rythme du carillon. À l'une des fenêtres, un homme en manteau vert émeraude apparaissait régulièrement, agitait la main avant de disparaître, et le parrain Drosselmeier en personne, à peine plus grand que le pouce de papa, sortait de temps en temps sur le perron du château, puis rentra. Les bras croisés au bord de la table, Fritz examina longuement le merveilleux château ainsi que les différents personnages qui dansaient et s'y promenaient, puis s'écria : « Parrain Drosselmeier, laisse-moi entrer dans ton château. -C'est impossible, répondit le juge. » Et il disait vrai car c'était une absurdité de la part de Fritz que de vouloir entrer dans un château qui, en comptant ses tours dorées, était plus petit que lui. Cela, Fritz voulut bien en convenir, mais quelques instants plus tard, comme les dames et les messieurs continuaient à aller et venir, les enfants à danser, le monsieur au manteau vert émeraude à apparaître à la même fenêtre, et le parrain Drosselmeier à sortir sur le perron, Fritz s'exclama avec impatience: « Parrain Drosselmeier, la prochaine fois, je t'en prie, sors donc par l'autre porte ! - C'est impossible, mon petit Fritz, répondit le juge. - Alors, répliqua Fritz, dis aux personnages de changer leur promenade ! - Non, non et non ! Tout cela est impossible ! dit le juge d'un air fâché. Le mécanisme est ainsi fait et l'on n'y peut rien changer. -C'est vrai ?... demanda Fritz d'une voix traînante. On n'y peut rien changer ? Eh bien, dans ce cas, parrain Drosselmeier, si dans ton château tout ton cher petit monde ne peut faire qu'une seule chose jusqu'à la fin des temps, c'est qu'ils ne valent pas grand-chose, et ils ne m'intéressent pas spécialement. Donne-moi mes hussards! Ils obéissent à mon commandement, eux, et ils ne sont pas enfermés dans une maison ! » Le préféré de Marie Marie venait de remarquer quelque chose qui lui avait échappé jusqu'alors, un joli petit bonhomme apparut aux yeux de tous. Il se tenait tout droit, sagement, comme s'il attendait tranquillement son tour. On aurait pu le croire bizarrement proportionné : son buste était trop long et corpulent pour ses jambes courtes et maigrelettes, et sa tête beaucoup trop grosse par rapport au reste de sa personne. Il portait une veste de hussard violet chatoyant à la coupe irréprochable, ornée de galons et de boutons blancs, un pantalon assorti et les plus jolies bottes qu'un étudiant ou même un officier eût jamais portées. La petite fille l'aima au premier coup d'oeil , et plus elle contemplait le charmant petit personnage, plus elle était enchantée par son air de bonté. Ses yeux vert clair, quelque peu proéminents, respiraient eux aussi la gentillesse, et sa barbiche de coton blanc, soigneusement peignée, était des plus avenantes et faisait ressortir le doux sourire de sa bouche. « Oh, papa chéri ! s'exclama Marie. A qui appartient l'adorable petit bonhomme ? - Ma chère petite, répondit le docteur Stahlbaum, notre ami ici présent se mettra à votre service à tous : c'est lui qui croquera pour vous les noisettes trop dures, et il appartient à Louise, aussi bien qu'à toi et à Fritz. » Le docteur Stahlbaum apprit à ses enfants que l'adorable petit personnage était un descendant de la famille Casse-Noisette et qu'il exerçait le métier de ses ancêtres, ce qui fit s'exclamer joyeusement Marie. « Eh bien, chère Marie, puisque tu sembles si attachée à notre ami Casse-Noisette, c'est toi qui seras plus particulièrement chargée d'en prendre soin, mais n'oublie pas, comme je te l'ai déjà dit, que Louise et Fritz ont autant que toi le droit de s'en servir. » Marie prit le petit personnage et lui donna des noisettes à croquer. Louise se joignit à elle, et l'ami Casse-Noisette fit son ouvrage pour les deux petites filles. Il semblait enchanté de le faire, car il ne cessait de sourire le plus gracieusement du monde. Cependant, Fritz se lassa de chevaucher avec ses soldats et de les faire manoeuvrer . Au bruit des noisettes brisées, il se précipita vers ses soeurs et rit de tout son coeur à la vue du plaisant petit bonhomme, ce qui lui donna soudain envie de manger, lui aussi, des noisettes. Casse-Noisette passa d'une main à l'autre, ouvrant et fermant la bouche inlassablement. Fritz choisissait toujours les noisettes les plus grosses et les plus dures, quand tout à coup trois petites dents tombèrent de la bouche de Casse-Noisette et sa mâchoire inférieure se mit à trembloter. « Oh, mon pauvre Casse-Noisette s'écria Marie en l'arrachant des mains de Fritz. - Ce n'est qu'un pauvre imbécile constata Fritz. Ça se dit Casse-Noisette avec d'aussi mauvaises dents! Si tu veux mon avis, il ne connaît même pas son métier. Donne-le-moi, Marie ! Il va me casser des noisettes, dût-il en perdre toutes les dents qui lui restent et s'en déboîter la mâchoire ! Qu'a-t-on à faire d'un bon à rien pareil ? - Non, non ! sanglota Marie, c'est mon petit Casse-Noisette, tu ne l'auras pas ! Regarde comme il a l'air triste et me montre sa petite bouche tout endolorie. Tu n'es qu'un sauvage sans coeur , tu bats tes chevaux et tu es même allé jusqu'à tuer un de tes soldats ! C'est tout à fait normal, répliqua Fritz. Tu n'y comprends rien et Casse-Noisette m'appartient autant qu'à toi, alors rends-le-moi ! » Événements merveilleux En entrant dans le salon des Stahlbaum, il y a, le long du mur de gauche, une grande armoire vitrée dans laquelle les enfants rangent tous les beaux cadeaux qu'ils reçoivent chaque année. Dès que Marie se trouva seule, elle fit ce qui lui tenait tant à coeur et qu'elle n'avait pu, sans savoir pourquoi, avouer à sa mère. Pendant tout ce temps, elle avait gardé dans ses bras son petit blessé, toujours emmailloté dans son mouchoir. Elle le posa alors précautionneusement sur la table, défit délicatement le mouchoir et examina les blessures. Casse-Noisette était très pâle, mais il jeta à Marie un regard à la fois triste et tendre qui lui alla droit au coeur . « Cher Casse-Noisette, dit-elle tout bas, j'espère que tu n'en veux pas à mon frère Fritz de t'avoir blessé, il ne te voulait aucun mal. Tu vois, c'est la rude vie de soldat qui l'a quelque peu endurci, autrement, je t'assure qu'il n'est pas méchant. Et maintenant, je vais te soigner le mieux possible jusqu'à ce que tu te rétablisses tout à fait et que tu retrouves le sourire. On va te remettre convenablement tes dents, et le parrain Drosselmeier te replacera parfaitement les épaules, il sait très bien faire cela. » Et, prenant Casse-Noisette dans ses bras, elle s'approcha de l'armoire aux jouets, déposa doucement Casse-Noisette dans le lit de sa poupée, prit un joli ruban qu'elle portait ordinairement à la taille pour l'enrouler autour des épaules du blessé et lui remonta les couvertures jusqu'au nez. Marie prit le lit où reposait Casse-Noisette et le déposa sur l'étagère du dessus, juste à côté du petit village où étaient cantonnés pour la nuit les hussards de Fritz...

« Marie prit le petit personnage et lui donna des noisettes à croquer.

Louise se joignit à elle, et l'ami Casse-Noisette fit son ouvrage pour les deux petites filles.

Il semblait enchanté de le faire, car il ne cessait de sourire le plus gracieusement du monde. Cependant, Fritz se lassa de chevaucher avec ses soldats et de les faire man œuvrer .

Au bruit des noisettes brisées, il se précipita vers ses s œurs et rit de tout son c œur à la vue du plaisant petit bonhomme, ce qui lui donna soudain envie de manger, lui aussi, des noisettes.

Casse-Noisette passa d'une main à l'autre, ouvrant et fermant la bouche inlassablement.

Fritz choisissait toujours les noisettes les plus grosses et les plus dures, quand tout à coup trois petites dents tombèrent de la bouche de Casse-Noisette et sa mâchoire inférieure se mit à trembloter. « Oh, mon pauvre Casse-Noisette s'écria Marie en l'arrachant des mains de Fritz. - Ce n'est qu'un pauvre imbécile constata Fritz.

Ça se dit Casse-Noisette avec d'aussi mauvaises dents! Si tu veux mon avis, il ne connaît même pas son métier.

Donne-le-moi, Marie ! Il va me casser des noisettes, dût-il en perdre toutes les dents qui lui restent et s'en déboîter la mâchoire ! Qu'a-t-on à faire d'un bon à rien pareil ? - Non, non ! sanglota Marie, c'est mon petit Casse-Noisette, tu ne l'auras pas ! Regarde comme il a l'air triste et me montre sa petite bouche tout endolorie.

Tu n'es qu'un sauvage sans c œur , tu bats tes chevaux et tu es même allé jusqu'à tuer un de tes soldats ! C'est tout à fait normal, répliqua Fritz.

Tu n'y comprends rien et Casse-Noisette m'appartient autant qu'à toi, alors rends-le-moi ! » - Événements merveilleux En entrant dans le salon des Stahlbaum, il y a, le long du mur de gauche, une grande armoire vitrée dans laquelle les enfants rangent tous les beaux cadeaux qu'ils reçoivent chaque année. Dès que Marie se trouva seule, elle fit ce qui lui tenait tant à c œur et qu'elle n'avait pu, sans savoir pourquoi, avouer à sa mère.

Pendant tout ce temps, elle avait gardé dans ses bras son petit blessé, toujours emmailloté dans son mouchoir.

Elle le posa alors précautionneusement sur la table, défit délicatement le mouchoir et examina les blessures.

Casse-Noisette était très pâle, mais il jeta à Marie un regard à la fois triste et tendre qui lui alla droit au c œur . « Cher Casse-Noisette, dit-elle tout bas, j'espère que tu n'en veux pas à mon frère Fritz de t'avoir blessé, il ne te voulait aucun mal.

Tu vois, c'est la rude vie de soldat qui l'a quelque peu endurci, autrement, je t'assure qu'il n'est pas méchant.

Et maintenant, je vais te soigner le mieux possible jusqu'à ce que tu te rétablisses tout à fait et que tu retrouves le sourire.

On va te remettre convenablement tes dents, et le parrain Drosselmeier te replacera parfaitement les épaules, il sait très bien faire cela.

» Et, prenant Casse-Noisette dans ses bras, elle s'approcha de l'armoire aux jouets, déposa doucement Casse-Noisette dans le lit de sa poupée, prit un joli ruban qu'elle portait ordinairement à la taille pour l'enrouler autour des épaules du blessé et lui remonta les couvertures jusqu'au nez.

Marie prit le lit où reposait Casse-Noisette et le déposa sur l'étagère du dessus, juste à côté du petit village où étaient cantonnés pour la nuit les hussards de Fritz.

Puis elle referma l'armoire aux jouets et s'apprêta à regagner sa chambre quand, soudain, elle entendit des chuchotements et des bruissements autour d'elle. La grande horloge se mit à ronronner de plus en plus fort, mais sans sonner pour autant.

Le ronronnement s'accentua, et des paroles s'élevèrent soudain : « Horloge, horloge, ne sonnez pas, ronronnez doucement Le roi des rats a l'oreille fine, vous savez... rrr...

rrr...

Chantez-lui la vieille rengaine de jadis...

rrr...

rrr...

Sonnez, carillon, sonnez! Ding dong, ding dong! Il n'en a plus pour longtemps.

» Et l'horloge sonna les douze coups de minuit, douze coups sourds et rauques. Marie frémit.

Elle allait s'enfuir en courant quand elle vit le parrain Drosselmeier, assis sur le haut de l'horloge, à la place de la chouette.

Les pans de son manteau retombaient de chaque côté comme deux grandes ailes déployées. « Parrain Drosselmeier ! Parrain Drosselmeier ! s'écria Marie.

Que fais-tu là-haut ? Descends et arrête de me faire peur, méchant parrain Drosselmeier ! » Mais alors elle entendit des ricanements et des sifflements autour d'elle, suivis par le bruit de milliers de petites pattes qui trottinaient derrière les murs, et des milliers de petites lumières apparurent entre les fentes du plancher.

Mais ce n'était pas des lumières.

Mais non ! c'étaient des milliers de petits yeux pétillants.

Et Marie ne tarda pas à apercevoir des souris qui montraient le bout de leur nez dans tous les coins et se faufilaient par toutes les fentes.

Et bientôt, elles trottinèrent en tous sens dans la pièce, toujours plus nombreuses, et finirent par se mettre en rang, comme les soldats de Fritz avant la bataille. Marie les trouva amusantes et, n'éprouvant aucun dégoût pour les souris, elle aurait très vite retrouvé tout son calme si elle n'avait tout à coup perçu un petit cri perçant qui la fit frissonner de la tête aux pieds.

A ses pieds, du sable, de la chaux et de la pierre pilée surgirent du sol comme poussés par une force souterraine, et sept petites têtes de rat, surmontées de sept couronnes rutilantes, apparurent en couinant de façon abominable et en poussant des cris stridents. Puis le corps du rat, auquel étaient rattachées les sept têtes, sortit complètement du sol. Aussitôt, la bête monstrueuse, couronnée de sept diadèmes, fut acclamée par toute l'armée qui poussa trois couinements retentissants, avant de se mettre en marche, tout droit vers l'armoire aux jouets, droit vers Marie qui se tenait près de la vitrine.

Marie sentit son c œur battre si fort de peur et d'horreur qu'elle crut qu'il allait sauter de sa poitrine et, qu'elle en mourrait.

Puis, il lui sembla que son sang se figeait dans ses veines.

Près de s'évanouir, elle chancela en arrière, et la vitre qu'elle heurta du coude se brisa en mille morceaux.

Pendant l'espace d'un instant, elle ressentit une vive douleur au bras gauche, mais, en même temps, son c œur se fit plus léger.

Elle n'entendit plus ni couinements ni piaillements, et bien qu'incapable de regarder autour d'elle il lui sembla que les rats, effrayés par le fracas du verre brisé, avaient regagné leurs trous. Et que se passa-t-il alors ? Juste derrière Marie, d'étranges bruits sortaient de l'armoire et de petites voix murmuraient : « Réveillez-vous, réveillez-vous ! Venez au combat, c'est pour cette nuit, debout..

Réveillez-vous, réveillez-vous ! » Au même moment, les notes gracieuses de clochette s'égrenèrent. « Oh, c'est mon petit carillon ! » s'écria joyeusement Marie en faisant un bond de côté. Puis elle vit une étrange lueur à l'intérieur de l'armoire aux jouets.

Tout ce petit monde s'agitait.

Plusieurs poupées couraient en tous sens, battant l'air de leurs petits bras.

Tout d'un coup, Casse-Noisette se redressa, rejeta sa couverture, sauta d'un bond du lit et s'écria de tous ses poumons: «Crac, crac, crac ! Affreux rats dégoûtants On va vous battre comme plâtre On va vous écraser comme des araignées Crac, crac, crac ! » Sur ces bonnes paroles, il dégaina son petit sabre, le fit tournoyer dans les airs et s'écria : « Mes chers sujets, frères et amis, voulez-vous me prêter main-forte dans ce rude combat ?. »

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